La cérémonie des vœux se déroule le samedi 6 janvier 2024 au château à 15h30.
Le Maire présente ses vœux en présence des élus locaux. Son intervention est suivie de celle de Nicolas MAYER-ROSSIGNOL Président de la Métropole et d’un film de Bernard OBERMOSSEUR sur quelques manifestations de l’année 2023.
Paris Normandie du 16 janvier 2024 :L’Émeraude succède à Chez Tonton
Depuis la fermeture de Chez Tonton en février 2023,- faute d’accord sur la façon de renouveler le bail entre l’ancien gérant, parti à Montville depuis, et la municipalité, - Hautot-sur-Seine n’avait plus de restaurant. Le vide laissé vient d’être comblé depuis début janvier avec l’ouverture de l’Émeraude. A sa tête, Ilhame Kadadry, 39 ans, arrivée du Val-de-la-Haye, où elle vit et s’occupait jusque-là, avec son mari, d’Eurosnack, un bar-restaurant situé dans le hameau de Quenneport, à l’entrée du Val en arrivant de Rouen. Dans l’intervalle, un espace de loisirs pour enfants avait temporairement vu le jour, mais « il aurait fallu des équipements, respecter des normes, tout cela était très compliqué », explique le maire d’Hautot-sur-Seine, Jean-Louis Roussel. Sous réserve des demandes de la mairie, à savoir être ouvert les midis et week-ends, une convention d’occupation temporaire a donc été proposée à Ilhame Kadadry, arrivée du Maroc en 2007 avec un BTS art culinaire en poche, pour qu’elle puisse ouvrir son établissement. La carte propose des menus comportant des plats classiques et de saison dont le prix varie autour d’une quinzaine d’euros hors boissons. Au chapitre des projets, celui d’« aménager également la terrasse pour l’été, de permettre aux nombreux touristes, randonneurs et cyclistes de faire une agréable pause déjeuner dans une ambiance chaleureuse » détaille la gérante.
Le Conseil Municipal du 16 janvier 2024 autorise le Maire à signer le protocole transactionnel concernant les sommes à recouvrer dans le cadre des travaux de la maison de l’école.
Une réunion publique s’est tenue le 26 janvier 2024 à 18h30 salle Maurice Brunel pour évoquer les projets en cours et à venir : point sur la situation financière, le château, l’école, la place Poullard, les projets pour 2024 & la vitesse rue du Rouage et dans l’ensemble du village.
Tribune chrétienne du 27 février 2024 : Églises cambriolées en Normandie : vol d’hosties et d’objets Sacrés
À Hautot-sur-Seine et à Val-de-la-Haye (Seine-Maritime), deux églises ont été la cible de cambrioleurs. Les paroissiens sont sous le choc après le vol survenu les samedi 24 et dimanche 25 février 2024. Des objets sacrés, incluant des hosties consacrées, ont été dérobés, laissant derrière eux une profonde consternation. (…)
Les autorités sont alertées : deux plaintes ont été officiellement déposées à la gendarmerie à la suite de ces actes de profanation. Les fidèles, ainsi que Monseigneur Dominique Lebrun (archevêque de Rouen) et l’abbé Henri Delavenne, expriment leur consternation face à cette atteinte à la sacralité des lieux de culte. « Les deux églises ont fait l’objet d’une effraction et des objets du culte ont été volés mais il n’y a pas eu d’acte de vandalisme gratuit », réagit Jean-Louis Roussel, maire d’Hautot-sur-Seine. « Les tiroirs et les placards de la sacristie ont été ouverts. » L’élu ne cache pas que ce type de fait, « qui n’est pas arrivé depuis 25 ou 30 ans, pose le problème de la sécurité des édifices religieux et nous allons certainement l’évoquer au prochain conseil municipal ». Les détails précis des objets volés n’ont pas été divulgués, mais selon les paroissiens, le Saint-Sacrement, accompagné des hosties consacrées, fait partie des biens dérobés. L’archevêque de Rouen et l’abbé Delavenne soulignent la gravité de cette offense, appelant les voleurs à la conscience et les conjurant de restituer ces objets d’une valeur spirituelle inestimable. En réponse à cet acte odieux, une “célébration de réparation” est prévue le samedi 16 mars 2024 en l’église de Saint-Jean-Baptiste au Val-de-la-Haye.
Lors du Conseil Municipal du 10 avril 2024, le Maire souligne le geste de solidarité pour déménager le restaurant l’Emeraude (3 personnes de l’équipe municipale et 3 habitants de la commune), lors des fortes marées de la Seine des 8 et 9 avril. Le restaurant n’a pas été inondé et les deux riverains concernés n’ont pas eu de gros dégâts. Le système de buses a bien fonctionné. Les choses ont changé depuis mars 2020, la commune a été accompagnée par la gendarmerie de Duclair et l’assistance des sapeurs-pompiers.
Au mois d’avril 2024, la canalisation d’eau potable sur la totalité de la rue de l’Ancien Vignoble, jusqu’à sa jonction à la rue du Rouage, est renouvelée par la Métropole Rouen Normandie pour un montant de 244 000 Euros HT. Les travaux de régénération de la chaussée ont été réalisés en « enrobé » au mois de juillet 2024 sur l’ensemble de la rue.
Le 5 mai 2024 l’office de tourisme de Rouen propose un déjeuner champêtre dans le parc du château dans le cadre du Festival Normandie Impressionniste.
Le Conseil municipal de Val-de-la-Haye du 11 juin 2024 vote le retrait du SIVU de la crèche-halte-garderie intercommunale à la suite de l’ouverture au Val-de-la-Haye d’une maison d’assistantes maternelles (MAM).
Un reportage de France 3 est tourné le mardi 4 juin, après-midi, sur l’Ecole du dehors de la classe de Mme Carpentier Vallot. Ce reportage s’inscrit dans le cadre des 50 ans du Parc National Régional des Boucles de la Seine Normande et de la valorisation des actions menées par ce partenaire : PodEduc - L'École Du Dehors.Mp4 (education.gouv.fr)
La deuxième édition du festival artistique « Pavillon-s témoins » se déroule du 24 juin 2024 au 12 juillet 2024 sur quatre communes de la boucle de Roumare : Val-de-la-Haye, Hautot-sur-Seine, Sahurs et Saint-Pierre-de-Manneville.
Le Conseil municipal du 26 juin 2024 autorise Monsieur le Maire à signer l’acte administratif correspondant au transfert définitif des voiries au profit de la Métropole Rouen Normandie sans contrepartie financière. Ces voiries ont été mises à disposition de plein droit lors de la création de la Métropole Rouen Normandie le 1er janvier 2015 puis transférées dans le patrimoine de la métropole. Ce transfert a été constaté par procès-verbal en date du 11 octobre et 8 novembre 2016. Il convient de réitérer les termes du transfert dans le cadre d’un acte authentique.
Tableau des voiries communales transférées par acte authentique
Le Conseil municipal du 26 juin 2024 entérine le recrutement de Carole BÉRANGER comme agent contractuel sur un emploi permanent de secrétaire générale de mairie, à raison de 35 heures hebdomadaires à compter du 1er juillet 2024. Elle remplace Valérie QUINIO démissionnaire.
Petit journal d’Hautot n°12 d’octobre 2024 : Une nouvelle secrétaire générale à la mairie d’Hautot
Madame Carole Béranger est arrivée à Hautot-sur-Seine. Elle a pris le poste de Secrétaire Générale de mairie depuis juillet. Dans un petit village comme le nôtre, chacun sait que la place qu’elle occupe est fondamentale. Secrétaire général de mairie est une fonction difficile, qui demande des compétences nombreuses, de la polyvalence et une faculté d’adaptation à des situations et à un public très divers. Madame Béranger découvre progressivement les dossiers en cours, elle prend ses repères. Nous lui souhaitons la bienvenue, une bonne installation et un épanouissement professionnel.
La réduction de la fréquence de collecte des déchets managers végétaux démarre en juillet 2024. La collecte des déchets végétaux en porte à porte est réalisée tous les 15 jours et non plus toutes les semaines et ce, jusqu’à fin octobre.
Stand gratuit au profit de la coopérative de l’école Maurice Genevoix tenu par les parents d’élève (Justine, Angèle, Ingrid) avec de nombreuses réalisations des élèves, au marché de Noël du 15 décembre 2024 organisé par le Comité des Fêtes au château d’Hautot-sur-Seine.
Lors du Conseil municipal du 12 décembre 2024, Jean-Louis ROUSSEL annonce sa démission de Maire et de Conseiller municipal pour raison de santé.
Paris-Normandie du 30 décembre 2024 : Le maire Jean-Louis Roussel a démissionné
Jean-Louis Roussel n’est plus maire d’Hautot-sur-Seine. L’élu a démissionné et quitté ses fonctions le 20 décembre dernier, laissant pour le moment cette petite commune d’environ 400 habitants, à l’ouest de Rouen, aux mains de son premier adjoint, Alain Langlois. Une décision mûrement réfléchie : « Je suis dans la situation des 1300 maires qui ont déjà démissionné depuis 2020. Il y a une surcharge mentale due à cette fonction. Je voulais quand même aller jusqu’au bout, mais de gros problèmes de santé sont venus se greffer », explique Jean-Louis Roussel. « Je ne voulais pas laisser l’équipe municipale livrée à elle-même, j’ai donc décidé de démissionner maintenant pour que des élections partielles puissent être organisées avant les municipales de 2026 », poursuit l’ancien élu. Ces élections municipales partielles, qui devraient se tenir au premier trimestre 2025, permettront de renouveler une partie du conseil municipal. Ce dernier élira ensuite le maire pour finir le mandat jusqu’en mars 2026.
Le Conseil Départemental de la Seine-Maritime (CD76) est la structure officielle qui gère et exploite les bacs en service sur la Seine conformément aux prescriptions du Code Général des Collectivités Territoriales, et notamment de l’article L3213-4. Les bacs sont ainsi considérés comme une extension des routes départementales, et non comme un service de mobilité.
Le CD76 assure son rôle de gestionnaire et d’exploitant, via un service en régie depuis 2001 : le service départemental des bacs de seine. L’exploitation et l’entretien étaient précédemment assurés par le Port Autonome de Rouen via une délégation. C'est le service territorial de Caudebec-en-Caux qui en avait la charge.
C’est une compétence départementale depuis la loi du 10 août 1871, l'entretien des bacs, qui desservent les routes et chemins à la charge des départements, cesse alors d'être supporté par l'Etat et incombe aux départements.
Le Conseil départemental de l’Eure (CD27) apporte une contribution financière au fonctionnement du bac de Quillebeuf qui assure une liaison entre la Seine-Maritime (Port-Jérôme) et l’Eure (Quillebeuf-sur-Seine).
Le Conseil départementale de la Seine-Maritime est membre Groupement des armateurs de Services Publics Maritimes de Passages d'Eau (GASPE), association constituée depuis le 22/10/1951 : http://www.gaspe.fr/
Les anciens ateliers de Caudebec-en-Caux
Le bac 14 à l’appontement de Caudebec-en-Caux en 2013
En 2007 le service du Conseil Général gérant le quotidien des bacs a déménagé de Villequier à Yainville dans des locaux neufs : Gestion du personnel, plannings, bacs de remplacement. Ce service ne gère pas les enjeux structurants (travaux d'aménagements, commande d'un nouveau bac, etc.). Cependant, les relations entre usagers et personnels, au jour le jour, sont du ressort de ce service. Le Service des Bacs départementaux est établissement secondaire du Département de la Seine-Maritime créé le 16 juin 2008. Il est situé rue du Bac à Yainville.
La flotte est composée de 10 bacs dont 2 de secours pour les 8 passages d’eau.
Situation en 1960 après l’ouverture du Pont de Tancarville et l’arrivée des bacs 10 et 11 :
Cinq bacs motorisés : Quillebeuf, 10 (Caudebec), 9 (La Mailleraye), 8 (Duclair) et 11 (La Bouille) et un bac de remplacement : 7 (Duclair jusqu’en 1977).
Cinq vedettes avec barges : Yainville, Jumièges, Yville-sur-Seine, Grand-Couronne et Dieppedalle
Douze passages d’eau piétons sont affermés : Villequier (fermé en 1972), Le Trait, La Roche (fermé en 1972), La Fontaine (fermé en 1972), Saint-Georges (fermé en 1968), Caumont (fermé en 1967), Trémauville (fermé en 1968), Hautot-sur-Seine, Petit-Couronne (fermé en 1972), Croisset, Jehan Ango et Amfreville-la-Mivoie
Situation en 1977 après la fermeture des passages d’eau de Caudebec et de la Mailleraye : Les bacs des 8 passages d’eau : 11 (La Bouille), 13 (Quillebeuf), 14 (Duclair), 15 (Petit-Couronne), 16 (Yainville), 17 (Jumièges), 18 (Mesnil-sous-Jumièges) et 19 (Dieppedalle). Bac de secours : 10 (Duclair). Cinq passages d’eau piétons sont affermés. Ils sont successivement fermés : Le Trait en 1980, Croisset en 1986, Hautot-sur-Seine après 1987, Jehan Ango et Amfreville-la-Mivoie en 1995.
Situation en 2000 après la mise en service des bacs 20 et 21 : Les bacs des 8 passages d’eau : 13 (Quillebeuf), 15 (Petit-Couronne), 16 (Yainville), 17 (Jumièges), 18 (Mesnil-sous-Jumièges), 19 (Dieppedalle), 20 (La Bouille) et 21 (Duclair). Bac de secours : 14 (Duclair).
Situation en 2007 après la mise en service du bac 22 : Les bacs des 8 passages d’eau : 13 (Quillebeuf), 16 (Yainville), 17 (Jumièges), 18 (Mesnil-sous-Jumièges), 19 (Dieppedalle), 20 (La Bouille) 21 (Duclair) et 22 (Petit-Couronne). Bacs de secours : 14 (Duclair) et 15 (Petit-Couronne).
Situation en 2011 après la mise en service du bac 23 : Les bacs des 8 passages d’eau : 16 (Yainville), 17 (Jumièges), 18 (Mesnil-sous-Jumièges), 19 (Dieppedalle), 20 (La Bouille) 21 (Duclair) et 22 (Petit-Couronne) et 23 (Quillebeuf). Bacs de secours : 13 (Quillebeuf), 14 (Duclair) et 15 (Petit-Couronne).
En 2017, le bac 21 de Duclair est désarmé en raison des frais engendrés par les nombreuses pannes. Le bac 23 est transféré de Quillebeuf à Duclair. Les bacs 13 et 14 assurent le service à Quillebeuf. Le bac 22 est transféré de Petit-Couronne à Yainville.
Situation en 2023 après la mise en service des bacs 24, 25 et 26 : Les bacs des 8 passages d’eau : 17 (Jumièges), 18 (Petit-Couronne), 19 (Dieppedalle), 22 (Mesnil-sous-Jumièges), 23 (Duclair), 24 (Quillebeuf). 25 (Yainville) et 26 (La Bouille). Bacs de secours : 13 (Duclair), 15 (Petit-Couronne) et 20 (La Bouille). Bacs désarmés destinés à la déconstruction : 14 (en 2021) et 16 (en 2022).
En 2024, les bacs 14 et 16 sont déconstruits au chantier de démolition DEMONAVAL RECYCLING du Trait.
Le Bac 23 a été baptisé le mardi 11 mai 2010 par Marie-Françoise GAOUYER, Vice- Présidente aux transports à Boulogne-sur-Mer.
Le service départemental est composé d’environ 130 agents composés d’officiers, de marins, de mariniers et de sédentaires (administratifs et services techniques) qui permettent le fonctionnement du service tous les jours de l’année, sauf le 1er mai qui est chômé.
La gratuité des passages d’eau des piétons est effective depuis le 01/01/1910 pour les bacs départementaux. Les passages interdépartementaux de Caumont et du Vieux-Port le deviennent le 01/07/1911, Quillebeuf restant payant.
La suppression totale des péages sur les huit bacs de la Seine et sur le pont de Brotonne date du 1er septembre 2005. Les traversées en bacs sont ouvertes à tous les véhicules (auto/moto, vélos, piétons).
Indicateur des passages d’eau de la régie des BACS à vapeur de la Seine Maritime en 1937
Instauration d’une pause méridienne pour les bacs maritime de Duclair et de Quillebeuf à partir du 1er janvier 2008.
Panneau à message variable de Yainville
16 panneaux à message variable ont été mis en service le 23 mars 2009.
Panneau à message variable « camping-cars interdits sur le bac »
Ils sont installés à chaque cale et correspondent à une revendication de l'association des usagers des bacs de Seine.
Panneau à message variable « Nous sommes tous Charlie »
Entre la prise de décision par le Conseil Général et la réalisation, il a fallu plusieurs appels d'offres pour trouver une entreprise répondant au cahier des charges.
Panneau à message variable en amont de Quillebeuf-sur-Seine
D’autres panneaux ont été installés sur les grands axes routiers desservant les passages d’eau.
Nouveau panneau à message variable à La Bouille
En 2022, les panneaux à message variable ont été rénovés.
Le bac 21 à l’appontement de Yainville en 2008 et 2009
Le bac 23 à l’appontement de Yainville en 2011
Après les bacs, les pontons sont les plus importants équipements du service des bacs. Ils permettent au personnel un plus accès sécurisé au bac que les passerelles.
Logos successifs du Département de la Seine Maritime
Extrait du commentaire de Sevran du 27/03/2011 : Bonjours à tous, j’ai appris en attendant le bac, et vue l’attente on lie connaissance avec son voisin de galère, qu’il existait un blog, donc voilà je vais vous dire mon ressenti, 3 quart d’heure d’attente vendredi en fin d’après-midi, je suis VRP et j’habite sur paris donc imaginé tous ce temps perdu d’attente pour rejoindre mon lieu d’habitation, il est vrai que je viens dans la région UNE à deux fois par mois et j’ai dû avoir de la chance car généralement je passe assez vite la seine avec le bac de Duclair, donc surprise de voir un petit bac, je ne savais pas qu’il avait des petits bacs sur la seine , donc je comprends assez vite le pourquoi de cette attente. Enfin je vois que vous en avez après l’équipage !! ha je suis surpris car je les ai trouvé courtois, un peu débordé, mais en deux minutes je suis tombé sur un matelot qui m’a expliqué qu’ils étaient venu du bac du mesnil (je crois) pour remplacer se grand bac, et qu’il faisait NON STOP de midi à 22h ,ils ont beau être 3 personnes à bord , je pense que ce ne doit pas être simple pour cette équipage de travailler 10 heures sans interruption ,et malgré tous cette effort ils se font régulièrement insulté pour leur lenteur , je n’ai pas l’impression que vous ne voyez pas la chance que vous avez ,et si vous n’aviez pas eu ce petit bac et bien comme je l’ai lu sur d’autres commentaires vous auriez fait combien de KM en plus ?? je ne défends pas l’organisation et les galère que vous avez tous les jours mais juste dire que malgré tout ça il y a des hommes qui font un maximum pour vous traverser d’une rive à l’autre avez les moyens qu’ils ont , bon je pense qu’il faut certainement écrire aux responsables pour qu’ils prennent des décision pour pallier cette galère, bon maintenant je dois repasser dans deux semaines en espèrent que le gros bac fonctionnera, sinon avec un bon bouquin j’attendrais, soyons zen ….
Le Centre d’Information et de Gestion de trafic (CIGT) informe sur l’état du réseau routier départemental. Inforoute 76 permet de suivre ouvertures et fermetures des passages d'eau au jour le jour :
Le primeur Mathis PEREZ est le premier ambulant à s’installer sur la place Poullard tous les mardis depuis le 1er août 2023 pour y proposer des fruits et légumes frais.
Le food-truck PIZZ LE PARTAGE de Déville-lès-Rouen, déjà présent à Sahurs le jeudi soir, s’installe place Poullard tous les mardis soir, depuis le 7 novembre 2023.
Conseil Municipal du 13 décembre 2023 : Exposants de la Place Poullard
Deux exposants sont installés sur la Place Poullard. Il est donc demandé au Conseil Municipal de donner l’autorisation au Maire de signer une convention avec chacun d’entre eux afin qu’ils puissent exercer. Ce droit d’exposer moyennent une somme de 250 € par an.
A partir de la rentrée de septembre 2024 GD Poissonnerie propose ses produits de la mer.
La « Route du Fromage » de Daniel Cascella
« Alex Pâtissier » : pâtissier en atelier privé pour particuliers et professionnels
« Les Bouchées Doubles » : le traiteur Mickaël Thifagne de Saint-Pierre-de-Varengeville
La gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations (GEMAPI) est une compétence confiée aux intercommunalités depuis le 1er janvier 2018.
Le Syndicat Mixte de Gestion de la Seine Normande est composé de 10 membres :
- les départements de l’Eure et de la Seine-Maritime,
- 8 Établissements Publics de Coopération Intercommunale, dont la Métropole Rouen Normandie
Il s’étend de Vernon jusqu’au Havre et Honfleur. Son siège est à Rouen.
Le syndicat mixte de gestion de la Seine Normande a été créé le 1er janvier 2020. Il est chargé d’organiser la gouvernance à l’échelle du fleuve en Normandie afin d’unifier les stratégies des différents acteurs et mettre en cohérence leurs actions.
Le Syndicat dispose de deux compétences obligatoires (planification stratégique, animation, coordination de la GEMA et mise en œuvre opérationnelle de la GEMA sur le lit mineur de la Seine) et trois compétences optionnelles (animation et programmation en matière de prévention des inondations, mise en œuvre opérationnelle de la prévention des inondations et la mise en œuvre opérationnelle de la GEMA sur le lit majeur vallée de la Seine).
Nouveau panneau installé le long de la Seine par le SMGSN en 2023
Concernant les systèmes d’endiguement le long de la Seine, il est prévu d’analyser l’état structurel des ouvrages gérés par le Grand Port Maritime de Rouen et le département de la Seine-Maritime, de définir le niveau de protection des ouvrages, de définir les travaux d’entretien et de réhabilitation nécessaires et d’organiser la surveillance des ouvrages.
Le syndicat mixte de gestion Seine normande est autorisé, par arrêté préfectoral, à pénétrer dans les propriétés privées ou publiques sur le territoire des communes de la vallée de Seine à des fins d'études.
Forte marée du 9 avril 2024 à Hautot-sur-Seine
Réparation de septembre 2024 du perré sur les bords de seine par le Syndicat Mixte de Gestion de la Seine Normande au niveau de Soquence sur la commune de Sahurs.
Sur la carte des environs de Rouen de 1716 il n’y a pas de bâti à l’endroit où se dresse les communaux. A partir des années 1730, des logements ont été construits, au-dessus d’une grande cave voutée, pour les jardiniers entretenant le parc. Des annexes à usage agricole sont également édifiées le long du chemin de Sahurs à Val de la Haye et le long de la ruelle menant au perron de l’église. La domesticité logeait au second étage du château.
LA FAMILLE JOLY
Ferdinand JOLY (1866 - 1947) est jardinier du temps de Mr SIMON DU PERRON. Il habite les communaux avec sa femme Maria (PETIT) JOLY (1874 - 1939). Ils viennent de la Somme.
Photographies prises devant le logement
Ferdinand JOLY avec en arrière-plan la maison du bureau d’aide sociale
Ferdinand et Maria JOLY dans le parc du château
Repas du 29/07/1934 de la famille JOLY devant les communaux
Le Conseil Municipal du 11 décembre 1987 vote l’acquisition de la propriété départementale. Le Conseil Municipal du 26 mars 1993 approuve le programme d’aménagement de trois logements sociaux dans les communs du château.
Les 3 logements améliorés à l'aide d'une subvention Palulos donnent droit à l'APL, la convention signée le 14 octobre 1992 expire le 30 juin 2008.
Les communaux comptent alors six logements.
En 2012/2013 l’étude confiée à la société Logéal Immobilière, bailleur social, de faisabilité d’une rénovation des logements dans le cadre d’un bail emphytéotique n’aboutit pas.
En novembre 2014, le logement situé le long de la salle Brunel est transformé en un local communal accueillant les archives et une tisanerie qui se trouvaient au sous-sol du château.
La toiture du principal logement situé le long de la rue Saint Antonin est refaite en 2019.
En 2023/2023 la reprise de 3 ou 4 logements du parc du château par la société Logéal Immobilière, bailleur social, sous forme d’un bail emphytéotique afin de mettre aux normes ces habitations n’aboutit pas également.
Un rescindement est une technique employée en génie fluvial pour rectifier en plan le lit trop sinueux d'une rivière naturelle. Le rescindement de Sahurs de 1940 est de dernier des grands travaux d'aménagement de la Seine commencé en 1848. L'élargissement de la Seine s'est fait sur 5 km de rives à Sahurs. 22 maisons, 4 fermes et une auberge (le café du bac) ont été détruites. Les cales des deux rives ont été déplacées vers l'amont d’environ 500 mètres.
Le café du bac à Sahurs a disparu lors des travaux d'élargissement de la Seine en 1940. L'auberge se trouvait en aval de l'actuelle cale de Sahurs juste en face de l'église de la Bouille, où se trouvait la cale.
L'ancienne cale de la Bouille correspond au port de la Bouille. Elle est située en face de l'église, il n'y a pas de place pour une file d'attente.
Le passeur de la Bouille. La largeur de la Seine avant le rescindement est de 270 mètres.
Le bachot pouvait transporter 12 chevaux. A l'époque il n'y avait pas de duc d'albe.
En 1925 la vedette de la Bouille est la troisième vedette motorisée de mise en place après celles de Grand-Couronne et de Yainville. La vedette accolée au plateau du bac doit pivoter et faire demi-tour au milieu du fleuve.
Deux des douze églises de la paroisse Saint-Georges de Boscherville en Roumare ont été cambriolées dans la nuit du samedi 24 et dimanche 25 février 2024 en plein carême. Le vol d’hosties consacrées dans l’église Saint-Jean-Baptiste au Val-de-la-Haye a suscité un fort émoi. Des objets sacrés ont été volés et des plaintes ont été déposées en gendarmerie par les maires concernés.
Communiqué de presse du 26 février 2024 de Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen et de M. l’abbé Henri Delavenne Curé de la paroisse Saint-Georges de Boscherville en Roumare :
Samedi 24 et dimanche 25 février 2024, les églises Saint-Antonin à Hautot-sur-Seine et Saint Jean-Baptiste au Val-de-la-Haye ont été victimes de cambriolages. Des plaintes ont été déposées en Gendarmerie. Des objets sacrés ont été volés. Et, bien plus grave, au Val-de-la-Haye, le Saint-Sacrement a été dérobé avec les hosties consacrées. Les auteurs de ce sacrilège ont violé ce qu’il y a de plus saint pour les catholiques. L’archevêque de Rouen et le curé ainsi que les paroissiens sont meurtris par cet acte de profanation. Ils lancent un appel à la conscience des voleurs : ramenez les hosties d’une valeur inestimable. C’est le corps du Christ qui est atteint en plein carême, période où les chrétiens se souviennent de sa passion. Mgr Dominique Lebrun présidera une célébration de réparation, le samedi 16 mars 2024 à 18h en l’église Saint-Jean-Baptiste au Val-de-la-Haye. La communauté catholique remercie les Maires pour leur prompt soutien et ceux qui manifestent leur sympathie en cette triste occasion. Les fidèles ont à cœur de prier pour les auteurs de ces méfaits, espérant que leur conscience s’éveillera.
Prière de réparation élaborée pour les circonstances :
C’est avec une très grande peine, Seigneur, que nous constatons la profanation de l’église du Val de la Haye et le cambriolage de l’église d’Hautot sur Seine.
Nous vous prions humblement de bien vouloir accueillir en réparation nos prières et notre immense regret de n’avoir pu empêcher un tel outrage.
Nous espérons sincèrement que ces blasphémateurs ne savaient pas ce qu’ils faisaient en profanant votre présence réelle.
Faites qu’un jour, leurs cœurs soient touchés par votre amour infini afin qu’ils prennent conscience de leur geste abominable et qu’ils rendent possible la réconciliation.
La prière de réparation a été écrite par une jeune fille de la paroisse.
La porte de l’église est réparée grâce au travail remarquable réalisé par Aurélien BUTTIN, un artisan consciencieux et passionné.
Le comité Diocésain d’Art Sacré a procédé au remplacement des vases sacrés.
Célébration de réparation du 16 mars 2024 au Val-de-la-Haye
Petit journal d’Hautot n°11 de mars 2024 : Effraction à l’église Saint Antonin
Le dimanche 25 février, nous avons appris que la porte de l’église avait été fracturée. Les gendarmes de Duclair sont venus immédiatement, avec professionnalisme, pour faire les relevés nécessaires. Le site a été sécurisé grâce à Alain Langlois et Roger Touzé. Les responsables de la paroisse, avec l’aide de Christiane Soudé, ont dressé un inventaire précis des pièces manquantes. Il est regrettable que des objets du culte aient été volés. Une plainte a été déposée en gendarmerie, les services de l’Action Culturelle et des Bâtiments de France ont été informés, car notre église, et tout ce qu’elle contient, sont classés aux Monuments Historiques. Après échanges avec Monsieur l’Abbé Delavenne et la gendarmerie, le maire n’a pas souhaité communiquer avec la presse sur l’enquête en cours. Aujourd’hui la porte de l’église est réparée grâce au travail remarquable réalisé par Aurélien Buttin, un artisan consciencieux et passionné. Un grand merci à lui et toutes celles et ceux qui ont, à cette occasion, fait preuve de solidarité.
Un dossier figure dans le journal paroissial Regards n°91 de juillet/octobre 2024.
L’enquête de gendarmerie est traitée dans le cadre national d’un pillage ciblé des églises.
Tout d'abord, je l'ai appelée "chapelle" mais il s'agit bien de l'église paroissiale d'Hautot-sur-Seine, anciennement sur les terres du château. Elle a été bâtie au XVIème sur des fondations...
Un droit de chasse réservé aux hautotais s’applique dans le petit bois appelé « Les Communaux » propriété de la commune. Un tarif communal est voté chaque année.
Conseil municipal du 26 août 1959 : Droit dechasse sur « les communaux »
Le Conseil Municipal après en avoir délibéré décide
1° La redevance pour droit de chasse sur « les Communaux » est fixée pour 1959 60 à 1 000 Frs
2° La chasse n’est autorisée que les jeudis et dimanches
3° L’ouverture de ka chasse sur les Communaux est fixée au 20 septembre 1959
4° Interdiction formelle de se servir d’un furet
5° Les demandes d’autorisation et renseignements seront reçus à la mairie les mercredis et samedi de 18h30 à 19h30. Aucune autorisation ne sera délivrée après le 20 septembre.
Conseil municipal du 27 août 1960 : Chasse
M. Lhomme fait le compte rendu de la réunion des chasseurs adjudicataires du droit de chasse sur les « Communaux ». Le Conseil après en avoir délibéré décide d’adresser à tous les chasseurs de la Commune un texte des règlements de chasse sur les « Communaux ».
1° La redevance pour droit de chasse sur les Communaux est fixée à 10 NF.
2° La chasse n’est autorisée que les jeudis, dimanches, jours fériés et le lundi 5 septembre 1960.
3° L’ouverture de la chasse est fixée au dimanche 4 septembre.
4° Les demandes d’inscription, doivent être faites avant le 3 septembre.
Les années suivantes les règlements de chasse sur les communaux sont maintenus tels quels, afin de préserver les usagers éventuels en période de chasse.
Panneaux de signalisation aux entrées du bois communal d’Hautot-sur-Seine
Le bois privé de la Commanderie au Val-de-la-Haye est une partie du massif de la forêt de Roumare. C'est un cul-de-sac, enserré par le fleuve, pour les cerfs, chevreuils et sangliers, à vocation cynégétique. Les chasses s’y déroulent en général le dimanche matin.
La forêt domaniale de Roumare a ses propres règles de chasse organisées par l’Office National des Forêts : Chasse en forêt domaniale (onf.fr)
En octobre de chaque année un calendrier concernant la forêt domaniale est publié. La mention qu’il n’y a aucune chasse à tir en battue le dimanche et les jours fériés ne concernent pas le bois de la Commanderie limitrophe d’Hautot-sur-Seine, ainsi que le bois communal et les prairies.
Grouik Grouik à Hautot-sur-Seine
Extrait du Courrier Cauchois du 16 septembre 2023 : le gros souci du sanglier
Le grand gibier se porte en revanche très bien, parfois trop bien pour le sanglier. "A la faveur du changement climatique et de l'évolution des pratiques agricoles, cette espèce bénéficie d'une reproduction exponentielle à mettre en lien avec une facture de dégâts agricoles de moins en moins supportable sur le plan financier", souligne José Doméné Guérin, président de la fédération départementale des chasseurs (FDC76).
Chasse aux sangliers Place Poullard
Battue aux sangliers à Hautot-sur-Seine
LES ASSOCIATIONS
La Fédération des Chasseurs de Seine-Maritime
La Fédération des Chasseurs de Seine-Maritime est une association de type Loi 1901. Elle a pour mission de représenter les intérêts des chasseurs dans le département y compris devant les différentes juridictions, d’apporter une aide à tous ses adhérents et de coordonner leurs efforts en vue d’améliorer la chasse dans l’intérêt général. Elle participe à la mise en valeur du patrimoine cynégétique départemental et à la protection de la faune sauvage et de ses habitats.
La Fédération regroupe les titulaires du permis de chasser ayant validé celui-ci pour le département et les personnes physiques ou morales titulaires d’un droit de chasse dans le département et demandant un plan de chasse ou un plan de gestion. Peuvent également adhérer à la Fédération, les personnes physiques et morales titulaires dans le département d’un droit de chasse et sauf opposition du conseil d’administration, les personnes désirant bénéficier des services complémentaires (surveillance et gestion des territoires) de la Fédération.
Date de création : 23/06/1982 / Date de publication : 06/07/1982
Objet de l'association : exploitation au profit de ses membres d'un droit de chasse dans la forêt de Roumare
chasse, droit Sahurs, Profit Sahurs, Roumare
Assemblée Générale de septembre 2021 en Mairie de Saint-Pierre-de-Manneville
Societe de chasse les sauvaginiers de Saint-Pierre - Sahurs
Date de création : 15/11/1996 / Date de publication : 18/12/1996
Objet de l'association : défendre les intérêts légitimes et raisonnables des chasseurs auprès des pouvoirs publics et organismes de la chasse ; défendre les traditions et les droits coutumiers
Installation au lieu-dit de l’Osier à Hautot-sur-Seine
L’EXEMPLE DU VAL DE LA HAYE
Libération du 20 novembre 2021 : En Seine-Maritime, chasseurs et habitants misent sur le « respect mutuel »
Charte de bonne conduite, chasse interdite le dimanche, application pour informer sur les zones chassées… Au Val-de-la-Haye, différents outils ont été mis en place pour améliorer la communication et les relations entre les usagers de la forêt.
On y accède en bateau à la façon d’une île. Le village du Val-de-la-Haye (Seine-Maritime), interloque de par sa physionomie, tout en long, et sa position. En bas, la Seine et ses énormes bateaux de marchandises qui marquent la frontière avec l’autre rive ultra-industrialisée. Au milieu, ses 730 habitants, ses charmantes maisons à colombage, sa brasserie-bar-tabac et son coiffeur. En haut, trône en majesté la forêt domaniale de Roumare, gérée, comme la majorité des forêts publiques, par l’Office national des forêts (ONF), qui s’étend sur près de 4 000 hectares. « 85% de notre territoire est dans les bois, lance Pascal Delaporte, maire sans étiquette du Val-de-la-Haye. Du coup, il peut nous arriver d’avoir des problèmes avec la chasse… » Son premier adjoint, Patrice Cartier, se souvient : « Une fois, les chasseurs ont atterri dans mon jardin car ils coursaient un sanglier qui s’était réfugié chez moi. » Sa propriété est « une zone de rabattage du gibier » Sangliers, cerfs, biches… qui n’hésitent pas non plus à descendre régulièrement dans le village. « Lorsque les chasseurs ne les nourrissent pas », poursuit le maire. Au volant de sa voiture, il pointe du doigt : « Regardez ! Les sangliers sont passés là. » Le chemin, au milieu des maisons, est saccagé. Marie et Eric, eux, sont stressés par les coups de feu récurrents, les trompettes et « les plombs de chevrotine qui tombent parfois sur leur toit ». « Pas très rassurant, glisse le couple dont la maison est située en contrebas de la forêt. Surtout lorsqu’on aime s’y balader. »
« On a tous des préjugés »
Pour autant, pas question de stigmatiser la pratique. « Les vrais chasseurs sont desservis par une petite minorité qui ne respecte pas certaines règles », juge l’élu qui n’hésite pas à dresser le parallèle avec les supporteurs dans les stades. « On a tous des préjugés, il y a un équilibre à trouver », renchérit Marie, végétarienne, qui habite la commune depuis plus de vingt ans. Raisonnable, elle appelle à « un respect mutuel ». « Si j’arrive dans une zone et que je vois des panneaux, je rebrousse chemin et je m’excuse auprès des chasseurs. » Une prise de conscience présente aussi chez les chasseurs. En Seine-Maritime, ces derniers ont signé une charte avec la fédération régionale des randonneurs. « On travaille aussi avec les cavaliers et les vététistes », ajoute le président de la fédération départementale des chasseurs de Seine-Maritime, Alain Durand. « On a compris qu’il fallait intégrer les autres utilisateurs de la nature. Désormais, lorsque l’un d’eux passe, on demande aux chasseurs de casser leur fusil et de dire bonjour. Et ça marche plutôt bien, se félicite quant à lui Philippe Justeau, à la tête de la fédération du Maine-et-Loire, qui se veut en pointe sur la sécurité. Il faut se focaliser sur ce qui nous rapproche, pas sur ce qui nous sépare. » Rien de révolutionnaire, seulement des règles de savoir-vivre. Pour faciliter la cohabitation entre les différents usagers de la forêt (chasseurs, randonneurs, joggeurs, vététistes, cueilleurs…), l’équipe municipale relaie sur la page internet officielle du Val-de-la-Haye mais également sur Facebook le calendrier défini par l’ONF des jours et des zones chassées chaque saison dans la forêt domaniale. Informer donc pour mieux sécuriser. D’après le calendrier 2021-2022 qui s’étend de novembre à mars, les lundis et samedis, ainsi qu’un seul mardi, sont ouverts à la pratique, en revanche interdite le dimanche et jours fériés. « Il s’agit de forêts périurbaines, ouvertes au public et on sait qu’on peut avoir du monde ces jours-là », explique le directeur de l’agence ONF de Rouen (Seine-Maritime et Eure), Antoine Couka.
L’enjeu de la sécurisation
Depuis peu, une application baptisée Melckone permet d’informer le promeneur de la présence de zones de chasse en temps réel dans les forêts domaniales, comme Roumare. Une trentaine d’entre elles à travers le territoire dispose pour l’instant du système. Antoine Couka voudrait la voir se développer « sur tous les massifs périurbains de la métropole de Rouen », et que l’outil apporte des informations encore plus précises « sur les travaux en cours, les coupes d’arbres, l’emplacement des chasses en battue [mode de chasse principal à Roumare qui consiste à rabattre le gibier vers des tireurs postés, ndlr], et même les activités de loisirs ». Un outil de plus pour sécuriser les forêts domaniales mais qui ne remplace en rien « le cahier des clauses générales très restrictif » imposé par l’ONF aux chasseurs, en plus de la réglementation du code de l’environnement et des consignes générales de sécurité. « Des consignes renforcées et propres à chaque territoire » qui portent à la fois sur les jours de chasse, leur nombre maximum, le type de gibier, l’affichage, mais aussi des zones de non-chasse… « Après concertation avec les chasseurs, on peut aussi mettre en place des miradors ou buttes de terre, des postes en hauteur qui permettent aux initiés une meilleure visibilité et des tirs au sol de courte distance », détaille encore Antoine Couka. C’est le cas d’ailleurs dans certaines zones boisées de Val-de-la-Haye. Plus l’animal est proche, plus la cible est facile à viser et les risques d’accidents plus limités. « Chez nous, ça ne rigole pas, il y a de la sécurité », martèle le responsable chasse national à l’ONF, Ludovic Lanzillo. Sous-entend-il qu’il y en a moins en forêts privées, dans lesquelles la gestion de la chasse incombe aux propriétaires ? Silence. Il botte en touche. Alain Durand, lui, assure que la sécurité est la même partout. Au Val-de-la-Haye, la forêt privée est minoritaire, ce qui n’empêche pas le maire de veiller à sa sécurisation, car elle jouxte de nombreuses habitations. Près du cimetière, le chemin plonge directement dans l’une d’elles. A droite, comme à gauche, on lit « défense d’entrer, forêt privée ». Même si l’endroit n’est pas clos, le promeneur est censé passer son chemin. Sur place, la mairie vérifie « que les panneaux sont bien installés, que les voies d’accès sont bien banalisées, les horaires respectés et que les chasseurs portent bien leur gilet fluo ». Si une réunion concernant la chasse a bien été, un temps, envisagée par l’édile, il a finalement fait machine arrière. « Avec les polémiques actuelles, j’ai peur que ça vrille. »
Par Aurore Coulaud
Installation du bois de la commanderie en bordure de la Forêt de Roumare
L’APPLICATION MELCKONE
L’application Melckone, ou "trèfle" en breton, permet aux promeneurs de visualiser les zones de chasse en cours lors de leur randonnée : L'application Melckone | Melckone
L’ACCIDENT DE CHASSE DE QUEVILLON
ACTU76 du 30 janvier 2023 : Près de Rouen, la balle d'un chasseur frôle la tête d'une automobiliste
Une automobiliste circulant à Quevillon (Seine-Maritime) a déposé plainte samedi 28 janvier 2023. La balle d'un chasseur l'a frôlée en atteignant la vitre de son véhicule.
La balle frôle sa tête, elle dépose plainte
La balle a « fait exploser une vitre latérale de sa voiture et a terminé sa course près d’elle », relatent nos confrères de Paris-Normandie. L’incident s’est produit alors qu’une chasse était en cours à Quevillon. La conductrice victime de l’incident a déposé plainte. Contacté par 76actu, le procureur de la République de Rouen confirme les faits ainsi que l’ouverture d’une enquête « du chef de blessures involontaires avec incapacité n’excédant pas 3 mois lors d’une action de chasse ». Une audition libre de participants à la chasse a été réalisée. C’est la gendarmerie de Duclair qui mène l’enquête.
« Il faut rappeler les consignes de sécurité »
Interrogé par 76actu, José Doméné-Guérin, le président de la fédération de chasse de la Seine-Maritime, confirme avoir été mis au courant de l’incident. « Je vais faire un communiqué ce [lundi] matin pour rappeler aux chasseurs les consignes de sécurité », insiste-t-il. Et d’ajouter : « Quand on arrive en fin de saison, il peut y avoir des relâchements. Il faut remettre les chasseurs sur le qui-vive ». Selon lui, « il faut toujours répéter et rappeler les consignes de sécurité. C’est très important. Pour éviter toute prise de risque. Il faut que les chasseurs en soient bien conscients. » Le président de la fédération de chasse de la Seine-Maritime conclut en assurant que « les accidents il y en a de moins en moins », même s’il assure que « même un accident, ça restera un accident de trop ». La samedi 21 janvier, dans l’Eure, un homme de 75 ans a été blessé au bras par un tir à Montreuil-l’Argillé. Sept chasseurs ont été entendus par la gendarmerie.
Par Adrien Filoche
L'auteur du tir accidentel, a été condamné le 2 septembre 2024 par le tribunal judiciaire de Rouen.
L'Armorial général de France autrement appelé « Armorial d'Hozier », est un recueil d'armoiries dont la création a été ordonnée par le roi Louis XIV en 1696. Il comprend les blasons de plus de 120 000 personnes et communautés, se trouvant dans les 28 généralités de la France. Ce registre recueille les armoiries possédées par des personnes ou des communautés religieuses, nobles ou bourgeoises afin d'en constater la propriété et de la rendre exclusive.
Armoiries de la cure d’Hautot-sur-Seine tirées de l’Armorial d’Hozier publié en 1711
La taxation des déclarations génère une vive opposition, si bien que près de la moitié d'entre elles ont été imposées d'office. Dans la Généralité de Rouen, sur 6 052 blasons décrits, 65 ont été acceptés après vérification, et 3 618 paraissent avoir été attribués d'office.
François Alphonse de MARBEUF (vers 1673 - 1741)
Seigneur en partie de Sahurs, il est le fils d’Alphonse de MARBEUF (vers 1633 - 1682) et de Marie Gabrielle de FAUTEREAU. Son ancêtrePierre de MARBEUF a été anobli en mai 1581 par Henri III, pour ses bons services et faits d'armes.
En 1698 lors de la visite du diocèse par Mgr COLBERT, à Sahurs, celui-ci ordonne que la messe de la chapelle du sieur de MARBEUF soit célébrée aux heures portées par les statuts du diocèse et défense faite d’y recevoir les paroissiens.
Le 10 janvier 1701 à Sahurs, François Alphonse de MARBEUF est le parrain d’Alphonse François LEFEBVRE, la marraine est Marie HEBERT.
Il épouse Catherine de MARTONNE DE VERGETOT (vers 1682 - 1759), fille de Jean de MARTONNE seigneur et patron de VERGETOT et de Catherine du HAMEL le 19 mars 1705 en la paroisse Saint-Sauveur de Rouen.
Catherine DEVERGETOT épouse de Mr DEMARBEUF est, à Sahurs, la marraine de Jean Baptiste Anne DELAFOSSE le 7 février 1715, de Nicolas Jean Alphonse THOREL le 13 avril 1715, de Claude Gédéon DESMAREST le 17 novembre 1716 et de Claude Félicité DESMAREST le 20 mai 1721.
Dame Catherine de MARTONNE de MARBEUF est le 1er mai 1736 à la paroisse Saint-Sauveur de Sahurs la marraine de Pierre Philippe de GROUCHET fils de Pierre de GROUCHET et d’Agnès MARYE.
Inhumation de François Alphonse de MARBOEUF à Sahurs le 07/06/1741 : Le mercredi (7ème) juin 1741 a été inhumé par monsieur le curé de Sahurs dans la chapelle Notre Dame de la Paix de Marboeuf, le corps de Messire François Alphonse de MARBOEUF, écuyer, seigneur en partie de Sahurs après avoir reçu tous les Sts Sacrements, âgé de viron soixante et huit ans, la susdite inhumation faites en présence de messieurs les parents soussignes. HEBERT, CAPPELAIN, GAULTIER, DAUMARTIN, DUVAL DE BONNEVAL. L CARPENTIER curé de Sahurs
Sa veuve Catherine de MARTONNE se remarie le 16 mai 1742 à Rouen, paroisse Saint-Patrice, avec Charles MONDION. Elle décède à Caudebec-en-Caux le 24 décembre 1759 à l’âge d’environ 77 ans.
Manoir de Marbeuf, le porche d'entrée et la chapelle ont été classés par arrêté du 7 mai 1945
François de MARBEUF (vers 1628 - 1706)
Fils du poète Pierre de MARBEUF (vers 1596 - 1645) et de Madeleine de GROUCHET, il est le frère de Marguerite de MARBEUF (vers 1630 - 1705), d’Alphonse de MARBEUF (vers 1633 - 1682) et de Geneviève de MARBEUF (vers 1639 - 1674).
Curé de Sainte-Croix-sur-Buchy cité en 1672 (mariage de son frère), 1687, 1693 & 1705 (mariage de son neveu).
Le 26/11/1693 il marie à Hautot-sur-Seine Abraham HEBERT et Madeleine de MARBEUF.
Inhumation de François de MARBEUF à Sainte-Croix-sur-Buchy le 06/05/1706 : Ce jour d’hui 6ème jour de mai a été inhumé par moi prêtre curé de Quévreville, doyen, François de MARBEUF prêtre curé de la paroisse de Ste Crois sur Buchy mort le (5ème) âgé de soixante et dix (huit) ans, après avoir reçu les saints sacrements de l’Eglise, lequel a été assisté de messieurs les curés ses voisins, lesquels ont signés
Abraham HÉBERT (vers 1628 - 1711)
Armes : D'argent à la bande de sable chargée de trois ducs ou chouettes du champ.
Son père Claude HÉBERT (vers 1600 - vers 1670), conseiller, échevin de la ville de Rouen en 1638, est anobli au mois de mars 1650, l’anoblissement est confirmé le 16 juillet 1656. Sa mère Marguerite THIAULT est inhumée le 31 août 1684 à l’âge de 79 ans à Rouen (paroisse Saint-Candé-le-Jeune). Il a une dizaine de frères et sœurs.
On trouve en 1631 dans les tabellionages de la vicomté de Rouen, un acte entre Claude HEBERT et Charles BRIFFAULT à Hautot-sur-Seine.
Rouen Paroisse Saint-Candé-le-Jeune : Le 26ème jour de septembre 1680 a été inhumé dans le chœur de cette église monsieur Claude HEBERT écuyer, âgé de cinquante-huit ans aux environs, lequel est décédé le jour d’hier dans la paroisse de Hottot sur Seine, de laquelle inhumation ont été présents Mr Abraham HEBERT, et Mr Thomas HEBERT
Le 12 août 1686 Marie de (MAN)DRAC, femme d’Abraham HEBERT est la marraine de Marie Jeanne PETITVALET, le parrain est Jean de CONTY prêtre de la paroisse. Abraham HEBERT est le 4 novembre 1689 le parrain de Magdeleine LEGRIX baptisée à Hautot-sur-Seine.
Inhumation de Marie de (MAN)DRAC à Hautot-sur-Seine le 20/12/1689 : Le 20 décembre 1689 Dame Marie de MANDRAC femme d’Abraham HEBERT Ecuyer âgée de quarante cinq ans environ, décédée le jour précédent, a été inhumée dans le chœur de cette église en présence des soussignés
Remariage d’Abraham HEBERT et de Magdeleine de MARBEUF à Hautot-sur-Seine le 26/11/1693 : Le vingt sixième jour de novembre mil six cent quatre vingt treize, le St Sacrement de mariage a été célébré par Monsieur de Marbeuf prêtre curé de la paroisse de Sainte-Croix sur Buchy entre Abraham HEBERT écuyer de cette paroisse et Damoiselle Madeleine de MARBEUF de la paroisse de Sahurs après la publication d’un ban dans chaque paroisse, la dispense obtenue des deux autres et la solennité des fiançailles en présence des parents et amis soussignés. Abraham HEBERT, Madelaine de MARBEUF, DE MARBEUF curé de Ste Croix sur Buchi, PE MARBEUF & N POULLARD
Inhumation de Thomas HEBERT paroisse d’Hautot sur Seine le 03/03/1694 : Le troisième jour de mars mil six cent quatre vingt quatorze, Thomas HEBER écuyer de la paroisse de St Godard de Rouen, âgé de cinquante ans ou viron décédé la nuit précédente ayant été transporté en cette paroisse a été inhumé dans le chœur de l’église. HEBERT, HEBERT (Thomas est frère d’Abraham, témoin soussigné avec son neveu Claude HEBERT fils de Charles)
Le 16 janvier 1696 Marie Geneviève HEBERT est à Sahurs la marraine d’un fils de Robert BOISMARE. Le 10 janvier 1701 à Sahurs, Marie HEBERT est la marraine d’Alphonse François LEFEBVRE, le parrain est François Alphonse de MARBEUF.
Mariage de Charles Philippe LE CAPLAIN et de Marie HEBERT à Hautot sur Seine le 23/02/1707 : Le 23 de février 1707 après les cérémonies et formalités de l’église dument observée, le St Sacrement de mariage a été célébré entre Charles Philippe LE CAPLAIN écuyer, sieur de LA BERQUERIE, fils de défunt Charles LE CAPLAIN, vivant aussi écuyer, sieur de LA BERQUERIE et de demoiselle Marie HUE de la paroisse de St Pierre de Manneville d’une part et de demoiselle Marie HEBERT fille de défunt Charles HEBERT, écuyer vivant, et de dame Geneviève DE MARBEUF ses père et mère de cette paroisse d’autre part en présence des parents et amis soussignés. Charles LE CAPPELAIN, Marie HEBERT, HEBERT, HEBERT, la marque de ladite Marie HUE, et DE LA MOTTE HUE
Dame Marie Geneviève HEBERT est baptisée le 01/12/1670 à Rouen (paroisse Saint Laurent). Mademoiselle Marie HEBERT est à Hautot-sur-Seine la marraine de Jean POULLARD le 27/09/1691. Elle décède le 11/08/1739 à Yville-sur-Seine, à l'âge de 68 ans. En 1741 Charles Philippe LE CAPELAIN de LA BERQUERIE est présent à l’inhumation de François Alphonse de MARBEUF. Il est inhumé à Saint-Pierre-de-Manneville le 26 mai 1742.
Inhumation d’Abraham HEBERT à Hautot sur Seine le 07/06/1711 : Le 7° juin 1711 Abraham HEBERT, écuyer, après avoir reçu les sacrements de l’Eglise est mort âgé d’environ 83 ans et a été inhumé le jour suivant dans l’église de cette paroisse en présence des parents soussignés. HEBERT, CHAR LE CAPELAIN
Il semble que les propriétés d’Abraham HEBERT, le clos fossoyé cité en 1576 propriété des MARBEUF, soit acquises vers 1712/1714 par Etienne LE COUTEULX qui y fait édifier le château d’Hautot-sur-Seine vers 1718/1726. Les familles HEBERT & LE COUTEULX résident rue aux Ours à Rouen.
Claude HÉBERT (vers 1664 - 1740)
Fils de Charles HEBERT (vers 1631 - 1680) et de Geneviève de MARBEUF (vers 1639 - 1674), il est le neveu d’Abraham HEBERT, il marie le 13 janvier 1691 à Rouen Saint-Vincent avec Marie Anne JOURDAIN après avoir obtenu dispense de Rome de l’empêchement de leur consanguinité.
Baptême de Marie Anne HEBERT à Hottot-sur-Seine le 03/11/1703 : Le troisième de novembre mil sept cent trois une fille du mariage de Claude HÉBERT écuyer et de Dame Marie Anne JOURDAIN née le trente et un d’octobre au dit an, a été baptisée et nommée Marie Anne, par Dame Marie HÉBERT assisté de Guillaume GOHON de CORVAL prêtre curé de Sahurs sur Seine
Demoiselle Jeanne Magdeleine JOURDAIN est le 24/01/1704 à Hautot-sur-Seine la marraine de François FOURMENT
Baptême de Nicolas Louis HEBERT à Hottot-sur-Seine le 22/09/1705 : Ce jour d’hui 22ème septembre 1705 a été baptisé Nicolas Louis fils de Claude HÉBERT écuyer et dame Anne JOURDAIN, né le vingtième du mois, nommé par Nicolas COTTARD écuyer et demoiselle Marie HÉBERT ses parrain et marraine.
Baptême de Anne Marguerite HEBERT à Hautot-sur-Seine le 30/11/1708 : Ce jourd’hui trente novembre mil sept cent huit, une fille du mariage de Claude HEBERT écuyer et de noble dame Marie Anne JOURDAIN née le vingt-sept dudit mois et an, a été baptisée et nommée Anne Marguerite par Siméon LAISNÉ écuyer sieur de PARMETOT lieutenant général en sa vicomté de Rouen et noble dame Marie Barbe HUE femme de monsieur de CHATELIER écuyer. HÉBERT, HUE DE CHATELIÉS, LAISNÉ
Inhumation de Anne Marguerite HEBERT à Hautot-sur-Seine le 11/01/1709 : 11ème janvier 1709 damoiselle Anne Marguerite HEBERT âgée d’environ deux mois mourut et fut inhumée par moi curé de Hautot dans notre église le jour suivant. DE CONTY
Inhumation de Joanne Magdeleine JOURDAIN à Hautot-sur-Seine le 02/05/1710 : Le second jour de mai 1710 damoiselle Joanne Magdeleine JOURDAIN décédée le jour précédent âgée de quarante-cinq ans, a été inhumée dans le cœur de l’église en présence de ses parents et amis. HEBERT, J. DE CONTY
Mademoiselle Marie Anne HEBERT et Barthélemy Félix LE COUTEULT sont, à Hautot-sur-Seine le 26 octobre 1718, la marraine et le parrain de Félix Claude LEONARD. Le 9 décembre 1721 à Sahurs, Claude HEBERT et Damoiselle Barbe DECHATELIER sont le parrain et la marraine de Barbe Catherine CHOUARD. Le 1er janvier 1726, à Sahurs, Nicolas HEBERT de la paroisse d’Hautot et Damoiselle Barbe Marguerite DECHATELIER de la paroisse de Sahurs sont le parrain et la marraine de Nicolas Guillaume CHOUAR, fils de Guillaume CHOUAR et de Marie PETITVALLET.
Mariage de Claude Abraham HEBERT avec Catherine Le PLANQUOIS à Hautot-sur-Seine le 10 mai 1729 : Le mardi dixième de mai 1729 nous avons conjoint solennellement en mariage Messire Claude Abraham HEBERT Ecuyer fils de Messire Claude HEBERT et de feue Dame Marie Anne JOURDAIN ses père et mère de la paroisse de Hotot sur Seine et Demoiselle Madeleine Catherine LE PLANQUOIS fille de feu Mr Guillaume LE PLANQUOIS Ecuyer ancien Conseiller Echevin de la Ville de Rouen et de feue Demoiselle Madeleine LE COUSTRE de la paroisse de St Godard de ladite Ville de Rouen après avoir obtenu dispense de deux bans et observé toutes les cérémonies de notre mère Sainte Eglise aux présences de leurs parents et amis soussignés, en présence et du consentement de Mr le Curé de Hotot. MAD LE PLANQUOIS, HEBERT, HEBERT, LE CHEVALIER HEBERT, LE PLANQUOIS, LE COMDR D’AVERNES, GRUCHET DE SOQUENCE, DECONTY, (DEMINU…), DUCHESNE DE CHATELIERS et LE PLANQOIS Prêtre.
Inhumation de Claude HEBERT paroisse d’Hautot sur Seine le 09/08/1740 : Le mardi 9 août 1740 Mr Claude HEBERT écuyer âgé de 76 ans décédé le jour muni de tous ses sacrements a été inhumé dans le cœur de l’église Présence de messieurs ses fils et de messieurs ses parents et amis soussignés. HEBERT curé du Val de la Haye, HEBERT, DECONTY C.D.H.
Inhumation dePierre Guillaume LE PLANQUOYS, paroisse de Sahurs le 28/09/1746 : Le 28 de septembre 1746 a été inhumé dans la chapelle Notre Dame de la Paix à Sahurs par Messire Nicolas Louis HEBERT prêtre curé du Val de la Haye le corps de Messire Pierre Guillaume LE PLANQUOYS prêtre licencié décédé le jour précédent au manoir du Sieur HEBERT seigneur en partie de Sahurs, muni des saints sacrements en présence des parents et amis soussignés.
Henri de BRÉVEDENT (1660 - 1727)
D'argent à trois anilles de sable au chef d'azur chargé de cinq besants d'or.
Henri de BREVEDENT a été baptisé le 20 décembre 1660 à Rouen (paroisse Saint Godard). Il est le fils de François de BREVEDENT inhumé le 20 avril 1694 à Sahurs. Il est Sieur de Sahurs, Hautot et Berville. Il est conseiller au Parlement de Rouen de 1683 à 1707.
Son ancêtre Jacques de BREVEDENT est anobli le 3 octobre 1550 par lettres patentes du roi Henri II expédiées le 29 juin 1552 en récompense des services qu’il avait rendus dans ses charges.
Sa tante Angélique de BRÈVEDENT (1624 - 1701) figure également dans l’armorial d’Hozier avec les mêmes armoiries ainsi que Louis de BREVEDENT et Marc-Antoine de BREVEDENT conseiller honoraire au Parlement de Rouen.
C’est sans doute le principe énoncé par la Coutume de Paris, « Nulle terre sans seigneur », qui s'est appliqué à Hautot-sur-Seine à la fin du XVIIème siècle et qui a fait de François de BRÉVEDENT (1612-1694) seigneur et patron de Sahurs, le seigneur d’Hautot-sur-Seine, le Roi de France en restant le patron. Le patron d’une paroisse présente à la cure le curé et entretient l’église. Pour Hautot-sur-Seine, le patron est le Roi de France depuis le XIVème siècle.
Inhumation de Pierre HUE à Sahurs le 30/06/1704 : Le 30 juin 1704 sur l’ordonnance de Messire Henri de BREVEDENT chevalier, seigneur et patron de Sahurs, conseiller au parlement de Normandie, qui ordonne que le cadavre de Pierre HUE de la paroisse de Sahurs, vu le refus de Mr le Vicomte de l’Eau, sera inhumé, nous curé de la paroisse accompagné de nos frère de charité avons été quérir un peu en dessous de la chaussée de la Bouille ou ledit cadavre a relevé et lui avons donné la sépulture dans le cimetière de la paroisse, ce dit jour et an que dessus, et ont signé. Christophe SUCRÉ, Nicolas VERRIER, François HUE, la marque de Jacque HUE
Baptême de Louise Catherine de BREVEDENT à Sahurs le 17 mai 1717 : Le dix-sept de mai 1717, par moi prêtre curé de la paroisse soussigné a été suppléé les cérémonies du baptême de damoiselle Louise Catherine de BREVEDENT née le vingt et un de mars du légitime mariage de Messire François Philippe Henry de BREVEDENT DE BERVILLE Conseiller au parlement de Rouen et de noble dame Marie Magdeleine Charlotte Suzanne de PLANTEROSE. Laquelle fut ondoyée le 23 du mois de mars dernier par monsieur le curé de St Godard de Rouen et a été nommée Louise Catherine par Messire Pierre Louis de BREVEDENT chevalier de St Jean de Jérusalem et noble dame Catherine DAUMESNIL, lesquels ont signé ce jour et an que dessus. Catherine DAUMESNIL, Le chevalier BREVEDENT DE SAHURS & BREVEDENT DE BERVILLE
Inhumation d’Henri de BREVEDENT paroisse de Sahurs le 11/10/1727 : Le 11ème octobre 1727 a été inhumé dans le cœur de l’église de cette paroisse par Mr ANELINE prieur et curé de Touars en Poitou, le corps de Messire Henry de BREVEDENT Seigneur et patron de Sahurs et autres lieux âgé viron de soixante et huit ans. Présence des témoins soussignés : BREVEDENT, DEMARBEUF, DECHATELIERS, DESOQUENCE, HEBERT & HEBERT
Inhumation d’Anne Suzanne Charlotte de BREVEDENT paroisse de Sahurs en août 1731 : A été inhumé inhumée par nous prêtre curé de cette paroisse dans l’Eglise, le corps de noble dame Anne Suzanne Charlotte de BREVEDENT femme de messire Claude Pierre Etienne de GEFOSSE conseiller au parlement de Normandie, âgée de viron vingt deux ans, présence des témoins soussignés. CARPENTIER vicaire de Sahurs.
Guillaume GOBON DE CORVAL (vers 1660 - 1710)
Curé de la paroisse Saint Sauveur de Sahurs de 1694 à 1710
Guillaume GOBON de CORVAL, est nommé le 16 septembre 1694 à la cure de Sahurs, en remplacement d’Adrien BRINDEAU, inhumé le 6 mai 1694 à Sahurs pendant la famine en présence des curés de Hautot et du Val-de-la-Haye.
Inhumation d’Adrian BRINDEAU paroisse de Sahurs le 06/05/1694 : Le sixième jour de mai mil six cent quatre vingt quatorze Mr Adrian BRINDEAU prêtre curé de cette paroisse âgé de cinquante cinq an environ a été inhumé dans le chœur de cette église. J de CONTY curé de Hottot. (…) curé du Val de la Haye
Le 17 novembre 1699 Il officie en l’église de Sahurs au mariage de Marin GOBON DE CORVAL à Sahurs, conseiller du Roi, auditeur à la chambre des comptes de Normandie qui figure également sur l’armorial, avec d’autres armoiries.
Inhumation du Guillaume GOBON DE CORVAL paroisse de Sahurs le 02/04/1710 : Le deuxième jour d’avril 1710 par nous doyen du doyenné de St Georges curé d’Hénouville a été inhumé dans le cœur de cette église (dans) la tombe de messieurs les curés, le corps de Messire Guillaume GOHON DE CORVAL curé de cette paroisse de Sahurs, âgé de viron cinquante ans en présence de Monsieur de BREVEDENT conseiller au parlement seigneur et patron (de cette même) paroisse St Sauveur. DEFERGEOL, DE BREVEDENT DE SAHURS, DECLERC & DESCHATELIERS
Marie Catherine de LA MARRE d'AUSSEVILLE (vers 1628 - 1697)
Fille de Pierre de LA MARE Ecuyer, sieur d’AUSSEVILLE, conseiller au présidial de Rouen et de Catherine Marie de LA CROIX
Elle épouse en premières noces le 17 avril 1648, à Rouen Saint Godard, Guillaume de BONISSENT sieur de BUCHY reçu au parlement le 15 janvier 1640, décédé en 1650. Ils sont les parents de Pierre Hubert de BONISSENT (1649 - 1702) et de Jean-Baptiste de BONISSENT (1651 - 1727).
Elle épouse en secondes noces le 11 février 1652, à Rouen Saint Godard, Jacques de GROUCHET (1629 - 1673) Ecuyer, sieur du Mesnil et de SOQUENCE. Ils sont les parents de Pierre de GROUCHET (1653 - 1715), Jacques de GROUCHET (1654 - vers 1700), Alphonse de GROUCHET (1656 - 1704), Alexandre Auguste de GROUCHET, Marie Catherine de GROUCHET (vers 1661 - 1681), Catherine Nicole de GROUCHET et Marie de GROUCHET.
Elle épouse en troisièmes noces le 7 janvier 1677, à Paris paroisse Saint-André-des-Arts, Jean Marie de COURTENAY, seigneur de MONTCELART (vers 1654 - 1692) page de la Chambre du Roy.
Elle est inhumée le 11 juin 1697 à Bonsecours : L’onzième jour fut enterrée dans le chœur de cette église, Haute et Puissante Dame, Madame Marie de LA MARRE ayant épousée en premières noces Monsieur de BUCHY Conseiller au parlement de Rouen, en secondes Monsieur de SOQUENCE aussi Conseiller en la Cour et en troisièmes son Altesse le prince de COURTENAY de sang royal en présence des parents et témoins soussignés.
Pierre de GROUCHET DE SOQUENCE (1653 - 1715)
Seigneur de Soquence
De gueules au chevron d’or accompagné de trois grues, celles du chef affrontées, d’argent, au chef cousu d’azur chargé d’une croix tréflée d’or entre deux étoiles du même.
Jacques de GROUCHET DE SOQUENCE (1654 - vers 1700)
Seigneur de Soquence
Alexandre Auguste de GROUCHET DE SOQUENCE (1659 - ???)
Seigneur de Soquence
De gueules au chevron d’or accompagné de trois grues, celles du chef affrontées, d’argent, au chef cousu d’azur chargé d’une croix tréflée d’or entre deux étoiles du même.
Jean DUCHESNE DES CHATELIERS
Mariage de Jean DUCHESNE des CHATELIERS avec Barbe HUE à Sahurs le 10/05/1707 : Ce dixième mai 1707 après les fiançailles faites et trois proclamations canoniques de bans tant en cette paroisse et en la paroisse de St Candé le Jeune, sans qu’il s’y soit trouvé aucun empêchement suivant ce qu’il nous a attesté par le sieur curé de la paroisse de St Candé, avons conjoint en mariage monsieur Jean DUCHESNE écuyer sieur des CHATELIERS et dame Barbe HUE veuve de feu Mr Alphonse de GROUCHET écuyer et ont signés les parties avec les soussignés. Le mariage célébré par moi curé de ce lieu GOHON DE CORVAL, DUCHESNE, HUE, DE GROUCHET
Alphonse de GROUCHET, baptisé le 4 août 1656 (Rouen paroisse Sainte-Croix-Saint-Ouen), a été inhumé le 14 février 1704 (Rouen paroisse Saint-Martin-sur-Renelle).
Alphonse de GROUCHET et Marie Barbe HUE sont les parents de Guillaume François de GROUCHET baptisé à Sahurs 26 mars 1698 et inhumé à Saint-Pierre-de-Manneville le 6 avril 1698 à l’âge de onze jours.
Baptême de Barbe Marguerite DUCHESNE à Sahurs le 02/02/1709 : le 2 février 1709 par nous prêtre curé de Sahurs a été baptisée Barbe Marguerite fille du légitime mariage de monsieur DU CHESNE écuyer sieur des CHASTELIERS et de dame Barbe HUE (…) et (…) du vingt huit janvier dernier, et ainsi nommée par monsieur François de LA CHAPELLE avocat au parlement et damoiselle Anne DUCHESNE ses parrains et ont signés. A DUCHESNE, DELACHAPELLE
Baptême de Jean Pierre DUCHESNE à Sahurs le 02/11/1711 : Le vingt six de novembre mil sept cent onze a été baptisé par nous prêtre curé de cette paroisse un enfant mâle né du 24 du mois et an du légitime mariage de Monsieur Jean DUCHESNE écuyer sieur DES CHATELIERS et de Dame Barbe HUE et a été nommé Jean Pierre par Monsieur Pierre DE GRUCHET écuyer sieur de SOQUENCE et par Dame Anne (GROUNEL) ce qu’ils ont signé ce jour et an que dessus. Pierre de GROUCHET, A (GROUNEL)
Le 19 février 1712 DESCHATELIERS est témoin de l’inhumation du sieur Louis HUE âgé d’environ 64 ans. Le 7 février 1715 à Sahurs Jean Baptiste DUCHESNE sieur DESCHATELIER et Catherine DEVERGETOT épouse de Mr DEMARBEUF sont les parrain et marraine de Jean Baptiste Anne DELAFOSSE. Le 9 décembre 1721 à Sahurs Claude HEBERT et Damoiselle Barbe DECHATELIER sont les parrain et marraine de Barbe Catherine CHOUARD. Le 1er janvier 1726, à Sahurs, Nicolas HEBERT de la paroisse d’Hautot et Damoiselle Barbe Marguerite DECHATELIER de cette paroisse sont les parrain et marraine de Nicolas Guillaume fils de Guillaume CHOUAR et de Marie PETITVALLET.
Mariage de Gabriel Rodolphe BENOIST avec Barbe Marguerite DUCHESNE à Sahurs le 28/02/1729 : Ce jourd’hui 28° février 1729 après la publication d’un ban fait au prône de notre messe paroissiale de l’Eglise de St Sauveur de Sahurs le 20 de ce mois et la dispense de deux bans, obtenue de Monseigneur l’archevêque de Rouen en date du 19 du présent mois, entre Gabriel Rodolphe BENOIST Ecuyer Sieur d’ESLINCOURT fils de Charles BENOIST Ecuyer Sieur d’ESLINCOURT et de Dame Renée Margueritte BONNEVIE demeurant à Paris paroisse de St Sauveur d’une part et de Damoiselle Barbe Marguerite DUCHESNE fille de défunt Jean DUCHESNE Ecuyer Sieur DESCHATELIERS et de dame Barbe HÜE d’autre part, et les fiançailles faites en conséquence en notre dite paroisse sans qu’il se soit trouvé aucune opposition, et après qu’il nous a paru la publication d’un ban faite au prône de la messe paroissiale de l’Eglise de St Sauveur de Paris et la dispense de deux bans obtenus de son Eminence monseigneur l’archevêque de Paris en date du 21 de ce présent mois sans qu’il se soit trouvé pareillement aucune opposition. Vu aussi par nous prêtre curé de la dite paroisse de St Sauveur de Sahurs les sommations respectueuses faites par le dit Sr BENOIST D’ESLINCOURT fils aux dits Sieur et Dame BENOIST D’ESLINCOURT père et mère par le ministère de M° Jacques DECOUSTARD procureur au parlement de Paris fondé de la procuration du dit Sieur BENOIST D’ESLINCOURT fils, les dites sommations faites en bonne forme par DE RANCY et été passées ensuite, et en vertu de la requête présentée à Mr le lieutenant civil de Paris le 5° février présent mois par le dit Sieur COUSTARD au dit nom la dite requête obtenue sur le nu de l’extrait baptistaire du dit Sieur BENOIST D’ESLINCOURT fils par lequel il parait avoir acquis l’âge de 32 ans, tous les dits actes, requêtes, copies d’extrait baptistaire à nous, présentés et réunis en bonne expédition, en bonne forme, signés des dits notaires et dans la minute est versés à RENAULT l’un des dits notaire à Paris. La célébration du mariage des dites parties a été faite par M° Pierre Guillaume LE PLANCAIS prêtre licencié en droit civil et canon desservant ordinairement à Rouen en la paroisse St Godard, en la présence et du consentement du dit Sieur curé de St Sauveur de Sahurs et du consentement des parties et présence des parents et amis Soussignés. BENOIST DESLINCOURT, DELAMESANGERE, G. DUCHESNE DES CHATELIERS, HEBERT, DUCHESNE, LE PLANQUOYS, DE GROUCHET SOQUENCE.
Acte de décès à Sahurs du 12/01/1731 : Le 12° janvier 1731 a été inhumée par Nous prêtre curé de cette paroisse dans l’Eglise le corps de damoiselle Marie Barbe BENOIST DEHINCOURT âgée de treize mois, présence de Mr DESCHATELIERS son oncle et autres soussignés. DUCHESNE DECHATELIER, François LEROUX
Inhumation de Barbe HUE à Sahurs du 17/11/1732 : Le 17 novembre 1732 a été inhumée par Nous prêtre curé de cette paroisse dans l’église le corps de noble dame Barbe HÜE veuve de Monsieur de CHATELIERS âgée de soixante et trois ans environ. Présence des soussignés (…) HEBERT, DUCHESNE, DELABARE (le fils) & (…)
Les enclos seigneuriaux à Hautot-sur-Seine en 1716
De gauche à droite : GROUCHET : château de SOQUENCE ; HEBERT : enclos fossoyé ; Eglise paroissiale et cimetière ; LA MAZURE/LE GRIX : ferme des FARCEAUX
Charles Adrien LEGRIX (1664 - 1707)
Porte d'azur à un chevron d'or accompagné de trois serres d'aigles d'argent, onglés d'or, deux en chef, une en pointe.
La famille est anoblie en 1643 dans la personne de Charles LE GRIX (vers 1580 - 1650), lieutenant du vicomte de Pontaudemer. Il est anobli avec ses fils Charles, Jean et Hercule pour services militaires importants, rendus pendant la minorité de Louis XIV. La noblesse est maintenue en 1668.
Mariage de Charles Adrien LEGRIX et de Marguerite de LAMASURE à Hottot sur Seine le 14/08/1687 : Le quatorzième jour d’août 1687 a été célébré par nous prêtre curé de la paroisse St Antonin d’Hottot sur Seine le mariage entre Charles Adrian LEGRIX Ecuyer fils de Gaspar LEGRIX aussi Ecuyer et de Dame Françoise RIBAULT de la paroisse de St Ouen du Pont-Audemer et de damoiselle Marguerite de LAMASURE fille de Samuel de LAMASURE Ecuyer et de Dame Catherine AUBER de la paroisse de St Germain du Pont-Audemer (au vu) de la permission, à nous, adressée par Mr (TURQUEY) aussi prêtre desservant pendant le départ de la paroisse de St Germain après les fiançailles et qu’il nous a apparu de la publication d’un ban en les paroisses de St Ouen et St Germain du Pont-Audemer et de la dispense des deux autres par monsieur l’official de Lysieux en présence des témoins soussignés et plusieurs autres. LEGRIX, M DE LA MASURE, C AUBER, E AUBER, Louise (…), (…) et Jean de CONTY
Charles Adrien LEGRIX a été baptisé à Pont-Audemer le 24 septembre 1664. Ses parents se sont mariés à Rouen (paroisse Saint-Godard) le 14 octobre 1663.
Marguerite de LA MAZURE, née vers 1671, est la fille de Catherine AUBER dame de FARCEAUX et la nièce d’Eléonore AUBER, filles de Maître Gille AUBER écuyer sieur de FARCEAUX, Conseiller du Roi et son premier avocat au siège général des Eaux et forêts, en la Table de marbre du Palais à Rouen, résident au Pont-Audemer et de Claude OZANNE épousée à Paris le 27 mars 1621.
Catherine AUBER (C. AUBER en 1687) a épousé Samuel de LA MAZURE le 4 décembre 1664 au Temple de Quevilly. Ce temple, en forme de dodécagone, sert aux protestants de Rouen. En effet, Ceux-ci n'ont pas le droit d'avoir un temple dans leur ville, siège d'un évêché, aux termes de l'Édit de Nantes. Il est fermé le 3 janvier 1685 puis détruit. Samuel de LA MAZURE est un protestant, "seigneur et patron honoraire du Parc d'Anxtot, la Masure et autres terres et seigneureries", demeurant en 1664 aux Trois-Pierres.
Dame Eléonore AUBER (E AUBER en 1687), née à Rouen, est une fille de Gilles AUBER et de Claude d’OZANNE. Elle se marie le 16 octobre 1657 à Honfleur avec Charles de LAMOTTE pasteur de Criquetot-l'Esneval, un enfant est né à Honfleur en 1660, trois autres enfants sont nés à Criquetot-l'Esneval entre 1661 et 1664.
On trouve vers 1630 dans les tabellionages de la vicomté de Rouen, un acte entre Gille AUBER et Michel CHOUARD à Hautot-sur-Seine.
Baptême de Catherine Eléonore LEGRIX à Hautot-sur-Seine le 14/07/1688 : Ce quatorze juillet 1688 a été baptisée une fille du mariage de Charles Adrien LE GRIX et Dame Marguerite de LA MASURE née le douze du présent mois et au nommée Catherine Eléonore par Dame Eléonore AUBER de LA MOTTE assisté de Pierre RIBAULT écuyer et sieur de BEAUCAMP
Baptême de Magdeleine LEGRIX à Hautot-sur-Seine le 04/11/1689 : Ce quatrième jour de novembre mil six cent quatre-vingt neuf, une fille du mariage de Charles Adrian LEGRIX écuyer sieur de BOSCHANVILLE et de dame Marguerite de LA MASURE née le trente et un du mois d’octobre présente année, a été baptisée et nommée Magdeleine par damoiselle Magdeleine de GUENOUVILLE défunt de Pierre du QUESNE vivant écuyer sieur de BRETTEVILLE assisté de Abraham HEBERT.
Inhumation de Magdeleine LEGRIX à Hautot-sur-Seine le 17/09/1690 : Le 17 septembre 1690 Magdeleine LEGRIX fille de Charles Adrian LEGRIX écuyer sieur de BOSCHANVILLE et de dame Marguerite de LA MASURE âgée d’onze mois, décédée le jour précédent, a été inhumée dans l’église.
Baptême de Charles Gaspard LEGRIX à Hautot-sur-Seine le 10/11/1690 : Le dixième novembre 1690 un fils du mariage de Charles Adrian LE GRIX écuyer et de dame Marguerite de LA MASURE né ce jourd’hui a été baptisé et nommé Charles Gaspard par Gaspard MAINIERE assisté de Geneviève MAINIERE
Baptême de Basile Antonin LEGRIX à Hautot-sur-Seine le 02/03/1692 : Le deuxième mars 1692 un fils du mariage de Charles Adrian LE GRIX écuyer sieur de BOSHANVILLE et de dame Marguerite de LA MASURE né le même jour a été baptisé et nommé Basile Antonin par Antoine (LEROUX) assisté de Barbe BOCQUET
Charles Adrien LEGRIX et Marguerite de LA MASURE sont de 1697 à 1706 parents de plusieurs enfants nés à Saint-Cyr-de-Salerne.
Inhumation de Madeleine de GENOUVILLE à Hautot-sur-Seine le 22/06/1705 : Le 22 juin 1705 Dame Madeleine de GENOUVILLE veuve en secondes noces de Pierre du QUESNE, vivant écuyer, sieur de BRETTEVILLE âgée de quatre vingt treize ans environ décédée le jour précédent a été inhumée dans le cœur de l’église de cette paroisse en présence des soussignés
Marguerite de la MASURE est décédée le 10 novembre 1706 à Saint-Cyr-de-Salerne. Charles Adrien LEGRIX est décédé le 13 mai 1707 à Saint-Paul-sur-Risle, à l'âge de 42 ans.
La Commanderie de Sainte Vaubourg
Eustache de BERNART D’AVERNES (1669 - 1747) est le commandeur de la Commanderie de Sainte Vaubourg.
Il est témoin au mariage de Claude Abraham HEBERT avec Catherine Le PLANQUOIS à Hautot-sur-Seine le 10 mai 1729. Le 7 novembre 1736, il est à Sahurs le parrain d’Eustache PICARD qui épousera Geneviève CHOUARD au Val-de-la-Haye le 17/06/1765.
Extrait de la dalle tumulaire de l’ancienne chapelle de Ste-Vaubourg : Eustache BERNART D’AVERNES, reçu (le baptême) en 1669, eut la Commanderie de Ste-Vaubourg en 1689, celle de Maupas en 1715 et le Grand Prieuré de Champagne en 1733, posséda cette dignité pendant 14 ans et la rétablit avec beaucoup de travail et de dépense. Il mourut le 31 décembre 1747 et est enterré sous ce marbre.
Inhumation d’Eustache de Bernard d’AVERNES au Val de la Haye le 1er janvier 1748 : Ce jourd’hui premier janvier mil sept cent quarante huit a été apporté dans l’église de cette paroisse le corps d’illustrissime religieux seigneur frère Eustache de BERNARD D’AVERNES chevalier, grande croix de l’ordre de St Jean de Jérusalem, grand prieur de Champagne, Commandeur des commanderies de Maupas et de Ste Vaubourg, lequel corps a été reporté dans la chapelle de Ste Vaubourg où il a été inhumé en présence des témoins soussignés, lequel est mort âgé de viron quatre vingt ans. DOURY, Le chevalier d’AVERNES, L’abbé d’AVERNES, HEBERT
Assiette aux armes d’Eustache BERNART D’AVERNES
Armoires de la famille d’AVERNES figurant sur une borne du bois de la Commanderie
Le Conseil Municipal du 25 juin 2020 choisit pour noms des voiries du lotissement du Clos des Buissons, incluant l’allée de l’Ancien Vignoble, la rue Louis Lézurier de la Martel et le passage Yves-Pierre Boulongne.
Photographies de la réalisation de la voirie du lotissement
L’association syndicale libre du lotissement le Clos Buisson a été déclarée en octobre 2021.