"Allégresse" de Micheline BRICE
Après les Arts Décoratifs, son enseignement de la peinture à l'Ecole Ste Geneviève de Versailles, Micheline BRICE s'est très tôt consacrée à la représentation du corps féminin en mouvement. Hymne à la femme, à son mystère que dévoile et travestit un corps sublimé par le regard inspiré et l’expression épurée jusqu’aux confins de l’abstraction. Objet d’un culte mystique et d’une exigeante admiration, le corps domine l’œuvre. Il exulte dans de lents mouvements d’extensions ou de rotations qui impriment à la toile une vibration, mesurée, harmonique, musicale.
« Mon travail est lié à cette passion que j’éprouve pour le geste et le mouvement qui anime le port de la Femme. Une femme d’amour et de paix. Rotations, extensions sont les éléments fugitifs que j’essaie de capter et de retenir, serait-ce retenir l’espace d’un instant. Joie sublime lorsque la toile vibre des émotions qui m’ont touchée. »
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Exposition de Micheline Brice à La Celle Saint Cloud
Vibrante et inspirée comme dans ses dessins, la peinture de Micheline Brice est épurée jusqu'à l'abstraction. La femme qu'elle symbolise est contemporaine, l...
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Le stand de Marianne DEVARS
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Récit d’enfance de Marianne DEVARS : la grande et la petite
Maria est une résiliente. Séparée très jeune de ses parents avec sa sœur sans être abandonnée, elle n’était pas adoptable. Les deux fillettes étaient donc condamnées à errer d’une famille d’accueil à une autre. Arrachées à une famille aimante qui aurait voulu les adopter, ils vont tomber sur une mégère et connaître la famine et l’enfer jusqu’à ce que les services sociaux se rendent compte de la réalité de ce placement et les confient enfin à une bonne famille où elles vont pouvoir s’épanouir et envisager un avenir convenable. Mais les séquelles physiques et mentales des mauvais traitements ne vont pas s’effacer facilement ...
Après des débuts dans l’existence perturbés, Marianne Devars s’est mariée et a eu une fille. Devenue institutrice puis directrice d’école, elle est aujourd’hui retraitée et cherche dans l’écriture un remède aux blessures de l’enfance.
De gauche à droite : Jacqueline GOMBERT, Danielle ASSABAN, Michel DUVAL, Catherine CARON LANGLOIS et Marie-Claude LAFOREST