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26 mai 2023 5 26 /05 /mai /2023 05:17

Les bachots sont des plates-formes de bois munies de tabliers aux deux extrémités qui facilitent le roulage et l’abordage des charriots et charrettes. Un demi-tour n’est plus nécessaire pour présenter l’arrière face à la cale. La traversée de la Seine se fait sur une barge où 4 rameurs utilisent 4 grandes rames.

Le décret du 2 septembre 1862 fixe un tarif unique de péage à tous les passages de Basse Seine. En 1899 un tarif additionnel intègre les vélocipèdes et les voitures automobiles.Le décret du 2 septembre 1862 fixe un tarif unique de péage à tous les passages de Basse Seine. En 1899 un tarif additionnel intègre les vélocipèdes et les voitures automobiles.Le décret du 2 septembre 1862 fixe un tarif unique de péage à tous les passages de Basse Seine. En 1899 un tarif additionnel intègre les vélocipèdes et les voitures automobiles.

Les passages d’eau de Caudebec-en-Caux, la Mailleraye-sur-Seine et de Duclair sont équipés d’un bac à vapeur.

LE PASSAGE D’EAU DE DIEPPEDALLE :

La largeur de la Seine est en 1861 de 300 mètres.

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

LE PASSAGE D’EAU DE GRAND COURONNE :

La largeur de la Seine est en 1861 de 260 mètres.

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

Cartes postales anciennes rive droite au Val de la Haye

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

Cartes postales anciennes rive gauche à Grand Couronne

LE PASSAGE D’EAU DE LA BOUILLE :

La largeur de la Seine est en 1861 de 270 mètres.

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

Cartes postales anciennes rive droite à Sahurs

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

Cartes postales anciennes rive gauche à La Bouille

Albert LEBOURG (1849-1928) est un peintre de l'Ecole de Rouen.

Il a peint environ 90 toiles représentant le bac de la Bouille : Albert Lebourg - (1848-1928) (albert-lebourg.org)

LE PASSAGE D’EAU DUCLAIR :

La largeur de la Seine est en 1861 de 231 mètres.

En 1873, le bac à vapeur d'une longueur de 18 mètres construit par MM. Powell et Lemire, remplace un bachot à rames d'une longueur de 13 mètres coulé pendant la guerre de 70.

Journal de Rouen du 24 mai 1873 : l'inauguration du bac de Duclair

Duclair était en fête jeudi. On  allait inaugurer solennellement le bac à vapeur, destiné à faire le service entre Berville et Duclair. Les administrateurs offraient un banquet à leurs actionnaires et des réjouissances publiques aux habitants. Le banquet, servi à midi, chez M. Georges Denisse, à l’hôtel de la Poste, réunissait une quarantaine de personnes. M. Charles Darcel, conseiller général, président de la Société anonyme du Passage de Duclair ; M. Cavoret, maire ; MM. Powell, constructeur-mécanicien, et Lemire, constructeur de navires y assistaient. Le premier toast a été porté par M. Darcel, conseiller général du canton de Duclair. Il a félicité chaleureusement MM. Powell et Lemire de l’œuvre qu’ils ont entreprise et menée à bonne fin, et des sérieuses qualités de navigabilité que possède le bac construit par eux. Avec beaucoup d’à-propos, M. Lemire a répondu au président de la Société anonyme du Passage de Duclair. « Nous n’avons, a-t-il dit, d’autre mérité et n’en revendiquons aucun autre que celui de vous avoir secondés dans notre œuvre. Vous, messieurs les actionnaires, vous avez, en vous groupant et en réunissant les ressources nécessaires, donné aux constructeurs l’occasion d’exécuter vos plans. Les constructeurs vous adressent l’expression de leur gratitude. » Des remerciements ont ensuite été adressés à M. Pol Bellest, pour l’action dévouée qu’il a jusqu’à ce jour apportée à la Société du bac. Conception, exécution, administration, M. Pol Bellest a pris une part active aux diverses phases de l’entreprise. Un discours, fort applaudi, avait été prononcé, à bord du bac, par M. le maire de Duclair, recevant, à la tête du conseil municipal, les administrateurs de la Société du Passage. Puis la bénédiction du bac a eu lieu. C’était un imposant spectacle, auquel assistait, des deux rives de la Seine, une foule compacte. Le clergé de Duclair a, suivant l’usage pour les cérémonies de ce genre, jeté sur le pont du bâtiment du sel et du blé ; après quoi, M. Charles Darcel a remercié M. le curé, qui, à son tour, a prononcé quelques paroles. Une courte promenade en Seine a suivi promenade qui a permis aux assistants de constater à quel point les riverains de Duclair et de Berville s’intéressaient au nouveau bac. La partie officielle du programme étant épuisée, une série de jeux publics attendait, sur la Grand’Place, les nombreux promeneurs, favorisés, du reste, par le temps, qui, vers une heure, avait renoncé à son inclémence de la matinée. Un bal en plein air, et gratuit, attirait quantité de jeunes gens. En un mot, la satisfaction paraissait générale. Le soir, un feu d’artifice bien composé a été tiré devant l’Hôtel-de-Ville, et des feux de Bengale ont illuminé la Seine. Signalons, en terminant, une bonne pensée, opportune et charitable, d’un des actionnaires de la Société du Passage, M. Decaen, ancien banquier à Rouen. A l’issue du banquet, M. Decaen s’approche d’un des adjoints de Duclair et lui dit : « Je ne comprends pas une fête sans la participation des pauvres, c’est pourquoi je vous prie d’accepter pour ceux de votre ville ce chèque de 100 fr., en souvenir de l’inauguration du bac à vapeur. » C’était dignement commencer le nouveau service.

Représentation du bac de Duclair en 1879

Action de la société anonyme du bac à vapeur de Duclair

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

Cartes postales anciennes rive droite à Duclair

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

L'Hôtel de la Poste de MM. Denise avant son réhaussement

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

Cartes postales anciennes rive gauche à Berville-sur-Seine

LE PASSAGE D’EAU DE MESNIL-SOUS-JUMIEGES :

Le passage d'eau de Mesnil-sous-Jumièges - Yville-sur-Seine dispose d'un bac depuis 1882.

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

LE PASSAGE D’EAU DE JUMIEGES :

La largeur de la Seine est en 1861 de 216 mètres.

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

LE PASSAGE D’EAU DE YAINVILLE :

Photographie du bachot prise de la cale d’Heurteauville

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

Photographie de la cale de Port-Yainville prise en 1898

LE PASSAGE D’EAU DE GUERBAVILLE-LA-MAILLERAYE :

La largeur de la Seine est en 1861 de 324 mètres.

Journal de Rouen du 6 juin 1892 : inauguration du Bac à Vapeur de Guerbaville-la-Mailleraye

La charmante commune de Guerbaville-la-Mailleraye, si bien située au milieu d’un des paysages les plus pittoresques de la rive gauche de la Seine, donnait une fête, dimanche dernier, à l’occasion de l’inauguration du bac à vapeur qu’elle réclamait depuis si longtemps pour être en communication plus directe avec la rive droite. M. le préfet de la Seine-Inférieure, dont on connaît la vive sollicitude pour tout ce qui touche aux intérêts matériels des populations, avait bien voulu accepter de présider cette cérémonie. Les habitants s’étaient mis en frais de décoration pour faire honneur au premier magistrat du département. (…)

Les autorités se sont alors rendues au bac au milieu d’un imposant cortège qui comprenait les agents forestiers, les douaniers, les pompiers et l’excellente musique municipale de Caudebec, qui s’est vraiment prodiguée pendant toute cette journée, car jusqu’au soir elle a fait entendre les plus brillants morceaux de son répertoire, entres autres la Marseillaise et l’Hymne russe. Les autorités et les ingénieurs ont pris place sur le bac, qui les a conduits d’abord à l’accostage de la rive droite, puis jusqu’au Trou-du-Malaquis, où ils ont pu juger par eux-mêmes de l’état d’avancement des travaux. Cette charmante promenade en Seine a été, malgré un vent un peu vil et un temps menaçant, mais qui s’est heureusement maintenu sans nous donner de pluie, une des parties les plus agréables de la fête. Du bac, on découvrait des sites admirables, et l’on apercevait sur les quais une foulé énorme qui avait assisté au départ, et qui a accueilli le retour par des acclamations et des cris de « Vive la République ! Vive M. le préfet ! » Les mêmes acclamations ont retenti d’ailleurs, toute la journée, sans discontinuer. Après avoir parcouru la Grand’-Rue jusqu’à l’extrémité du bourg, où s’élevait un dernier arc de triomphe, sous lequel les autorités ont reçu une véritable avalanche de fleurs semées par un groupe de fillettes habillée de blanc, aux écharpes tricolores, le cortège est rentré à l’Hôtel-de-Ville, où a eu lieu un banquet de trente-cinq couverts, offert par la municipalité de Guerbaville à ses invités. (…)

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

Carte postale ancienne rive droite au Trait

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

Cartes postales anciennes rive gauche à Guerbaville

LE PASSAGE D’EAU DE CAUDEBEC-EN-CAUX :

La largeur de la Seine est en 1861 de 355 mètres.

Journal de Rouen du 24 décembre 1867 : inauguration d’un Bac à Vapeur - Caudebec-en-Caux

L’inauguration du bac à vapeur, destiné à établir une communication et des rapports faciles entre les deux rives opposées de la Seine, au passage de Caudebec-en-Caux, a eu lieu avec beaucoup de solennité, avant-hier, ainsi que nous l’avions annoncé. A une heure après midi, les fonctionnaires publics de la localité s’étaient réunis avec les membres du comité de la société du passage, et les actionnaires nombreux composant cette  société, dans la grande et magnifique salle du conseil de la mairie, qui fut autrefois celle du baillage de Caux. On remarquait dans cette réunion, MM. Roulleau, membre du conseil général pour le canton de Caudebec, le maire de caudebec et ses adjoints, les membres du conseil municipal, MM. Descamps, conducteur des ponts et chaussée à Caudebec, Ulysse Renault, directeur de la société du passage et Benjamin Normand et Nillus, du Havre, constructeurs du Bac. (…)

L’établissement du bac à vapeur de Caudebec, nommé l’Union-des-Deux-rives, a eu pour promoteurs principaux MM. Boulet, ingénieur du service ; Descamps, conducteur des ponts et chaussées ; Ladvocat, banquier ; Delamare, propriétaire, et Drouet frères, qui ont puissamment concouru, avec beaucoup d’autres personnes intelligentes et dévouées, à doter leur ville de cette utile innovation. Ce bac, construit par MM. Benjamin Normand et Nillus frères, du Havre, présente l’aspect d’un joli bateau à vapeur ponté, dont on aurait supprimé les chambres ; sa coque est tout en bois ; da longueur de 16 mètres, et sa largeur de 4 m. 50c ; il est ponté dans toute la longueur. On remarque au centre du pot un système de planchettes qui forment sur toute sa longueur une voie charretière destinée à recevoir les voitures et les animaux, dont les passagers seront séparés par deux fortes rampes en fer. Des bancs commodes sont disposés le long et à l’intérieur des bordages où les voyageurs pourront prendre place rendant le passage. Des ponts-levis ont été disposés aux extrémités du pont pour faciliter le passage des voyageurs, des voitures et des animaux. La chaudière à moyenne pression d’une force nominale de dix chevaux, est établie ainsi que la machine dans le creux de cale, dont la profondeur est de 1 m. 40 c. Un arbre de couche qui affleure le pont, transmet le mouvement à deux roues à aubes qui servent de propulseur au bac. Chargé de cent personnes, le parcours de ce bac a été de 12 kilomètres à l’heure, pendant sa promenade d’inauguration ; on estime que la dépense en charbon nécessaire au chauffage de la chaudière sera de 120 kilog. Environ, par journée de travail. Ce bac, l’un des premiers d’ailleurs qui aient été construits en France, peut, par ses dispositions ingénieures, embarquer directement des voitures, si lourdement chargées qu’elles soient, ainsi que tous les animaux qui font l’objet habituel du commerce rural. (…)

A la chute du jour, les édifices publics et un certain nombre de maisons particulières, pavoisés dès le matin, ont été illuminés. En même temps, les portes de la vaste et magnifique salle du conseil, richement décorée, s’ouvraient pour recevoir les invités nombreux au bal qui devait clore la fête. Ce bal, où brillaient de fraiches et gracieuses toilettes, s’est prolongé fort avant dans la nuit, terminant sous les plus charmants auspices la célébration d’un évènement qui marquera longtemps dans les souvenirs de Caudebec. J.M. Thaurin

La Seine à Caudebec-en-Caux  par Eugène BOUDIN en 1889

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

A Caudebec-en-Caux, selon Alain Huon, trois bacs à roues à aube se succèdent :

"Union des 2 rives", construit au Havre, en bois en service de 1868 à 1878

"Union", construit à La Mailleraye, toujours en bois mais un petit peu plus grand, en service de 1878 à 1909

"L'union des 2 rives", construit à Rouen, en métal, en service de 1909 jusqu'à l'arrivée du bac n°4 en 1925. Il reste ensuite bac de réserve quelques temps encore à Duclair jusqu’en 1930.

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

Journal de Rouen du 9 juillet 1909 : Petit Quevilly, lancement d’un Bac à Vapeur

Hier jeudi a eu lieu, à cinq heures trente du soir, aux chantiers de MM. Mallard frères, le lancement du bac à vapeur Union-des-Deux-Rives, destiné au passage d’eau de Caudebec-en-Caux. Ce lancement a été très bien réussi et est tout à l’avantage des constructeurs. Le bac sera mis en service dans quelques jours.

LE PASSAGE D’EAU DE QUILLEBEUF-SUR-SEINE :

La largeur de la Seine est en 1861 de 430 mètres.

En 1873 le bac à vapeur et à roues à aubes est mis en service, en remplacement du bac à voiles et à rames qui relie Quillebeuf à Port-Jérome.

Journal de Rouen du 28 juillet 1873 : inauguration d’un Bac à Vapeur de Port-Jérôme à Quillebeuf

(….) Sur les deux rivages de la Seine, dès le matin, d’élégantes tribunes avaient été dressées à l’intention des invités, et M. Bataille, maire de Lillebonne, d’un côté ; M. Bréant, maire de Quillebeuf, de l’autre en faisaient les honneurs de la façon la plus cordiales. La bénédiction du bac a eu lieu à onze heures ; à cette occasion M. le curé de Quillebeuf a donné lecture d’un discours dont voici la péroraison : « Vous me permettrez, messieurs de terminer par ces paroles : « Vive le France ! Qu’elle redevienne grande comme au temps passé ! C’est le vœu le plus ardent de mon cœur, c’est le vôtre, et j’ai la ferme confiance qu’il sera exaucé. » Cette allocution, applicable à la période grande entre toutes, où la nation a reconquis ses droits, a été parfaitement accueillie par les industriels présents à la cérémonie. Une promenade en Seine a suivi. Sur le bac se trouvaient en ce moment M. Bidault, conseiller de préfecture de la Seine-Inférieure ; un conseiller représentant M. Sers, préfet de l’Eure ; MM. D’Albuféra, Pouyer-Quertier, d’Osmoy, Guesdon du Lesmont ; MM. Powell et Le Mire, constructeurs ; les maires des diverses communes environnantes et plusieurs autres invités.

Tout le monde a pu se rendre compte des remarquables conditions dans lesquelles le bateau de Port-Jérôme a été construit. Il sort des chantiers de MM. Le Mire, qui lui ont donné pour proportions 22 mètres de longueur de bout en bout, 4 mètres de plus qu’au bac de Duclair, inauguré le mois dernier. Les tabliers mesurent 2 mètres ; la largeur du bateau est de 5 mètres 50 centimètres, tambours en plus. On le voit, ce moyen de transport a des dimensions qui lui permettront de recevoir les marchandises les plus encombrantes. Quant à la machine, elle attirait les regards des invités, et à juste titre : construite chez MM. Powell, elle n’a pas une force moindre de 45 chevaux effectifs. Placée, non au milieu, mais sur un des côtés du bac, elle ne peut gêner en rien le service d’embarquement et de débarquement. (…)

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

Cartes postales anciennes rive droite à Quillebeuf

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen
Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

Cartes postales anciennes rive gauche à Port Jérôme

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

Les quatre bateaux à vapeur conçus pour transporter charrettes, piétons et bovins, transportent de manière épisodique les premiers véhicules à moteur. En général, un seul véhicule s'installe bien calé au milieu de bac, les charrettes à foin ne sont pas admises pour éviter les risques d'incendie.

Bacs et bachots de la belle époque en aval de Rouen

Le premier bac motorisé de Quillebeuf a été en service de 1873 à 1908. Il a été remplacé par l'Ampère.

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