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15 octobre 2003 3 15 /10 /octobre /2003 05:32

Infos d’Hautot n°6 automne 2003 : L’Armada Rouen du 28 juin au 6 juillet 2003

La grande aventure commença pour Hautot-sur-Seine et Saint-Pierre-de Manneville le soir du jeudi 10 avril 2003 au château. Il fallait bien que nos villages du bord de Seine soient représentés. C’est donc avec nos amis de Saint-Pierre-de Manneville que nous avons procédé à l’élection d’une Miss pour chacun de nos deux villages. Les élections se déroulées sans « à priori » : le jury de Saint-Pierre-de Manneville (tiré au sort à l’arrivée du château) votait pour Miss Hautot-sur-Seine et inversement. Les concurrentes (aussi charmante l’une l’autre) Jennifer This et Charlotte Vuarnesson pour Hautot et les deux candidates de Saint-Pierre : Isabelle Bernard et Julie Tocqueville se présentèrent à tour de rôle devant le public et le jury. Leur prestation consistait en deux passages : le premier en tenue de ville où elles devaient s’exprimer dans leur langue maternelle et le second en tenue de soirée dans la langue de Shakespeare. Les calculs furent effectués pour les quatre candidates. Les résultats furent serrés : Charlotte Vuarnesson fut désignés Miss Hautot-sur-Seine et Julie Tocqueville Miss Saint-Pierre-de Manneville. Messieurs Patrick Herr, Bruno Arriaga et Madame Nelly Tocqueville remirent l’écharpe ainsi qu’une composition florale à chacune de nos Miss. Il n’y avait plus qu’à attendre les bateaux après plusieurs préparatifs réalisés par les bénévoles d’Hautot-sur-Seine mobilisés pour l’Armada.

Bienvenue au Grand Turk à Hautot-sur-Seine

Le 26 juin 2003, enfin, les bateaux remontèrent tranquillement la Seine. Le problème était en ce jour d’accueillir le bateau que nous parrainions : le Grand Turk, bateau anglais comme son nom l’indique. Nous avons dû nous informer à maintes reprises auprès de l’organisation de l’Armada et de la capitainerie du Port pour connaitre l’heure approximative du passage de notre voilier afin de faire retentir nos « tambours du Bronx ». Malgré bien des incertitudes, nous fûmes une petite dizaine avec l’appui de notre Miss (jour de semaine) à accueillir du mieux que nous pouvions les bateaux qui se succédèrent de 13 à 16 heures. Nous avions enfin l’impression qu’il se passait quelque chose dans les communes du bord de Seine et à Rouen après en avoir entendu parler plusieurs mois. Le 29 juin au Conseil régional en présence de Bruno Arriaga, notre Maire, eut lieu l’élection de Miss Armada 2003 parmi 26 jeunes filles représentant les communes du bord de Seine. Miss Val-de-la-Haye devint Miss Armada 2003. Cependant, Charlotte continua de représenter notre commune, avec sourire et bonne humeur dans toutes les manifestations organisées par l’Armada 2003.

Bienvenue au Grand Turk à Hautot-sur-Seine
Bienvenue au Grand Turk à Hautot-sur-Seine

Il fallait bien organiser une manifestation pour honorer « notre bateau » et son équipage !!! Mais quoi ? Comment ? En présence de qui ? Nous avons donc suivi la logique du départ et nous avons organisé un repas au château (toujours lui), cadre prestigieux pour recevoir des équipages étrangers : Anglais et Indonésiens. Indonésiens ! Pourquoi !, Car encore une fois, nous avons fait équipe avec Saint-Pierre-de-Manneville qui parrainait le De Warudji : voilier indonésien. Nous avons du malheureusement, restreindre les invitations des convives : aux Maires, aux conseillers municipaux, aux membres du jury des Miss de chaque village, aux bénévoles et bien évidemment aux quatre postulantes au titre de Miss. Nous comptions donc une centaine de personnes à ce repas. Les équipages de nos deux voiliers étaient quelque peu hétéroclites mais compétaient l’ambiance à merveille. Chaque village remit au capitaine respectif de son voilier un souvenir de son passage dans sa commune et chaque capitaine un présent à sa Miss. Sans vouloir voler la « vedette » à Saint-Pierre et au De Warudji, l’équipage du Grand Turk s’est montré particulièrement présent par ses vêtements de flibustiers et ses chants traditionnels de marins. Cette soirée sera un souvenir inoubliable pour toutes les personnes présentes. Nous ne manquerons pas de remercier tous les bénévoles qui ont permis la réalisation de cette soirée. N’oublions pas que les préparatifs ont commencé à 14 heures et que le château étant loué le lendemain, il a fallu le remettre en état durant la nuit.

Bienvenue au Grand Turk à Hautot-sur-Seine

Quant au dimanche 6 juillet, lors de la grande parade de l’Armada, notre équipe municipale : not’ bon maire, le 1er adjoint, les employés municipaux : tout le monde était sur le pied de guerre à 4 heures du matin. Montage de la buvette, transport de nos tambours, réglementation de la circulation avec le soutien des gendarmes. Nous avons mis tout notre cœur. A partir de 8 h 30, Réjane avait pris sa place à la buvette. Bruno vêtu en marin, le sifflet à la bouche apportait un ensemble de cohésion aux tambours. Christian décrivait chaque bateau qui passait et nos percussionnistes entretenaient les claques de leurs mains. Ovation spectaculaire lors du passage du Grand Turk, quatre coups de canon de celui-ci et saluts de Charlotte à bord … Il faut dire que les Hautotais(es) ont sut montrer qu’ils étaient là. La matinée s’est déroulée dans une ambiance grandiose pour notre petite commune. Ce souvenir restera mémorable dans nos têtes et notre cœur. Chacun finit cette Armada 2003 à sa façon.

Bienvenue au Grand Turk à Hautot-sur-Seine
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31 décembre 2002 2 31 /12 /décembre /2002 06:26
L'année 2002 à Hautot-sur-Seine

Le Conseil Municipal du 29 mars 2002 est informé du recrutement de Mme Brigitte BAUNY comme secrétaire de Mairie en remplacement de Mr Jacques-André ALLIGIER qui part en retraite au mois de septembre.

Le Conseil Municipal du 17 mai 2002 est informé du choix du cabinet Delavigne pour élaborer la carte communale. Le Conseil Municipal du 28 juin 2002 choisit le prestataire pour l’étude de recherche de vides et cavités souterraines pour la carte communale.

Le Conseil Municipal du 28 juin 2002 se prononce pour la vente de deux propriétés de la commune, le logement Roland Cardin et l’ancienne salle des fêtes situés dans l’enceinte de l’école.

L'année 2002 à Hautot-sur-Seine
L'année 2002 à Hautot-sur-Seine
L'année 2002 à Hautot-sur-Seine

Infos d’Hautot sur Seine n°4 de l’été 2002 : Un heureux retraité Jacques-André Alligier

C’est un élément important dans la vie d’un village dont nous allons retracer une partie de la vie. Qui n’a pas eu affaire pour l’école ou les papiers administratifs avec Monsieur Alligier puisque celui-ci a pris une part active dans la vie d’Hautot depuis 1974, date à laquelle il viendra habiter avec sa femme, directrice de l’école, et lui acceptera dès ce moment, le poste de secrétaire de mairie.

Après avoir vécu et étudié sur Paris où il réussit le concours à l’école nationale, il revient sur Rouen et dès lors, il restera près de sa région natale où il obtiendra le diplôme de fin d’études. Première découverte de l’enfance aux Sapins dans ses temps libres où il anime un centre de loisirs, colonies de vacances et patronages. Il monte les échelons et passe de moniteur à formateur puis enfin directeur jusqu’en 1981. Toujours performant, il obtiendra son CAP pour son premier poste à Canteleu en 1970 et y restera une année. Ensuite, il sera adjoint pendant trois ans à l’école Robespierre de Saint-Etienne-du-Rouvray et se rapprochera de nous pour un poste au Val-de-la-Haye où il enseignera pendant 14 ans.

Très impliqué déjà dans la vie Hautotaise, il aidera à la construction de la nouvelle école en août 1987 où Madame est directrice et que lui-même rejoindra en septembre 1988 en qualité d’adjoint, chargé de l’éducation des grands. Il tiendra ce poste pendant 9 ans puis, à la retraite de sa femme, il sera nommé au poste de directeur en septembre 1997. En ce début septembre 2002, la boucle est bouclée puisqu’après avoir lancé dans la vie, avec de bonnes bases, de nombreux jeunes Hautotais, c’est à son tour de profiter d’une bonne et nous l’espérons longue retraite.

Les filles, petite fille et proches vont pouvoir profiter de son temps libre et gageons que nous pourrons le rencontrer, avec plaisir, aux manifestations de la vie communale et près des anciens où il aimera évoquer ces longs moments de vie en commun. Ce jeune papy va pouvoir profiter de son camping-car et sillonner la France pour continuer à s’enrichir intellectuellement comme il aime le faire. Hautot se souviendra de tous les services rendus à ses habitants et le fêtera par un pot de l’amitié à l’automne 2002. Alain Langlois.

M.  Laurent CLOAREC succède à M.  Jacques-André ALLIGIER comme directeur de l’école Maurice Genevoix.

Le Conseil Municipal du 4 octobre 2002 valide la convention de partenariat entre les communes d’Hautot-sur-Seine, Sahurs et Saint-Pierre-de-Manneville et la Communauté d’Agglomération Rouennaise (CAR) dans les domaines du transport public, des déchets ménagers et de l’assainissement.

Le Conseil Municipal du 4 octobre 2002 décide de la désaffectation du logement du directeur de l’école, loué au profit de l’agent communal Jean-François Furon (1958-2009).

Le Conseil Municipal du 4 octobre 2002 est informé de la mise en place de 34 nouvelles plaques de rue en aluminium bleu.

 

Infos d’Hautot n°5 de l’hiver 2003 : Décès de Roland Bertin le 25 octobre 2002

Notre « rossignol ne chantera plus. Il laisse Elisabeth, sa femme dans la douleur ainsi que sa famille, ses nombreux amis Hautotais et des villages voisins. Notre sympathique Roland nous poussait toujours ses chansonnettes lors des repas des Anciens avec brio et entrain, et il nous a bien manqué lors de la dernière réunion, tous, ce jour-là, avons bien pensé à lui et à ses proches. Le diocèse également est en deuil puisque Monsieur Roland Bertin avait été honoré le 12 juin dernier, par l’église, de la médaille de « Saint Louis » pour les services rendus à celle-ci pendant de nombreuses années. C’est à Sahurs que nous l’avons accompagné lors de son dernier voyage. Nous renouvelons nos pensées et notre tristesse à l’égard de sa famille.

15 novembre 2002 pot de départ à la retraite du secrétaire de Mairie Jacques-André Alligier

 

Le Conseil Municipal du 29 novembre 2002 décide du passage aux 35 heures du poste de secrétaire de Mairie au 1er janvier 2003. 

Lors du  Conseil Municipal du 13 décembre 2002, la vente de deux propriétés sises 56 rue Saint Antonin est validée. La Maison Rolland est attribuée pour 54 000 € et celle de l’ancienne Salle des Fêtes pour 53 357,16 €.

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2 septembre 2002 1 02 /09 /septembre /2002 05:20

Après la signature du pacte de Jumièges vers 898, un d'établissement viking s'installe sur le site d'Hautot. Les normands peuvent s'installer dans la vallée de la Seine jusqu'à l'Andelle. 

En 911 le Jarl des normands Rollon est reconnu Comte de Rouen. En 965 la paix de Gisors reconnait la souveraineté du Comte de Rouen, la Normandie se transforme en duché. L'église paroissiale d'Hautot est édifié dans les années suivantes.

Les vikings d'Hautot-sur-Seine
Les vikings d'Hautot-sur-Seine
Les vikings d'Hautot-sur-Seine
Les vikings d'Hautot-sur-Seine
Les vikings d'Hautot-sur-Seine
Les vikings d'Hautot-sur-Seine
Les vikings d'Hautot-sur-Seine
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31 décembre 2001 1 31 /12 /décembre /2001 06:16
L'année 2001 à Hautot-sur-Seine

Photographies prises lors de repas de fin de mandat offert par le Maire Louis du Boullay :

L'année 2001 à Hautot-sur-Seine
L'année 2001 à Hautot-sur-Seine
L'année 2001 à Hautot-sur-Seine

Décès le 17 février 2001 de Yolande (TASSET) LANGUET, Conseillère municipale de mars 1989 à décembre 1996. Elle repose au cimetière d’Hautot-sur-Seine.

Infos d’Hautot n°1 de l’été 2001 : Madame Yolande LANGUET

La présidente d’honneur des « chênes de la boucle » est partie en ce début d’année laissant dans la douleur, famille et amis. Pour avoir tant œuvré dans la vie d’Hautot, beaucoup la connaissait. En 1977, elle s’intéresse déjà à la commune, élue conseillère municipale en mars 1989 et réélue « haut la main » en 1995, elle s’occupe de ses pôles d’attraction : jeunesse, sport, scolarité, travaux et enfin affaires sociales et solidarité. Ceci l’amène à créer le club des « Séniors » en 1994. Elle y sera présente, avec toute son élégance, tant que la maladie ne la rattrapera pas et nous garderons en mémoire son grand sourire.

Lors des élections municipales du 11 mars 2001 deux listes se présentent :

ENSEMBLE pour HAUTOT sur SEINE avec Louis du BOULLAY, maire sortant comme tête de liste.

Les principaux objectifs concernent la communication, l’école, les jeunes, la gestion du patrimoine, l’environnement, l’intercommunalité …

DEVELOPPEMENT PATRIMOINE ET HARMONIE avec Nicolas BOULEIS, Président de l’association « Jeunesse et nature » comme tête de liste.

Le programme porte sur la maîtrise des dépenses communales (renégociation du contrat Smedar, baisse du prix de l’eau), la restructuration des services techniques le développement des relations sociales, la sauvegarde de l’école, le réaménagement du village et l’aide à l’emploi.

Les onze candidats de la liste ENSEMBLE pour HAUTOT sur SEINE sont élus.

 

 

Par la suite Nicolas BOULEIS, sera Maire de Flancourt-Catelon (Eure) de 2008 à 2014, commune de 485 habitants, devenue en janvier 2016 une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Flancourt-Crescy-en-Roumois.

Le Conseil Municipal installé le 16 mars 2001, est composé de Bruno ARRIAGA (Maire), Gilles BOURDEAU, Jean-Claude HUE, Florence (GRAS) LHOMME (2ème adjointe), Alain LANGLOIS, Maryse (MEUNIER) LEMARCHAND, Philippe LEMERCIER (1er adjoint), Laurence (PETIT) LENFANT, Catherine (RECHER) SEILLE (3ème adjointe), Christiane (FERCOQ) SOUDE & Louis THILLAYE DU BOULLAY.

 

Suite à la réunion du 11/05/2001, un nouveau bureau du comité des fêtes a été constitué

Infos d’Hautot sur Seine n°1 de l’été 2001 : L’interview de notre Maire Bruno Arriaga

Ce vendredi soir 8 juin 2001, notre nouveau Maire, Bruno Arriaga, nous accorde une interview à son domicile.

Infos d’Hautot : Bonsoir M. le Maire et merci de nous accorder cet entretien. Pouvez-vous présenter à nos lecteurs ?

Bruno Arriaga : Tout d’abord, je tiens à vous dire que je suis content d’accueillir les représentants du journal d’Hautot-sur-Seine. Il est bon que notre village puisse bénéficier d’un relais d’informations. Je suis né le 25 juillet 1958 au Havre. Je suis marié et j’ai 2 grands enfants scolarisés : Julien (17 ans) et Samuel (15 ans). Je suis actuellement cadre à la SNCF, basé à Evreux. Je fais régulièrement de la course à pied (semi-marathon). J’aime aussi le jardinage et la lecture (romans de David Lodge), mais le temps me manque.

Infos d’Hautot : Afin de mieux vous connaitre, pouvez-vous nous donner des indications sur votre parcours personnel et votre formation ?

Bruno Arriaga : Mon père était chef de chantier et ma famille l’a suivi dans ses déplacements fréquents. A 11 ans, j’ai poursuivi ma scolarité en pension à Chalons-sur-Marne (51). J’ai un frère et une sœur. Je me suis engagé dans la marine nationale à l’âge de 18 ans pour 5 ans. Mes ports d’attache étaient, entre autres, Cherbourg, Brest et Toulon. 3 mois après avoir souscrit un nouvel engagement militaire de 5 ans, j’épouse Patricia dans la ville de Brest et je quitte l’armée pour entrer à la SNCF. Entré en qualité de contrôleur et basé à Rouen, j’ai suivi le soir les cours du CNAM pendant 14 ans. J’ai ainsi complété ma formation théorique en obtenant un DUT électronique, puis une maîtrise en mesures et contrôles industriels. Enfin, j’ai obtenu le diplôme d’ingénieur électronicien. Mon évolution en interne m’a amené au poste d’ingénieur électronicien. Domicilié d’abord à Déville-lès-Rouen puis à Maromme, j’ai ainsi travaillé en bureau d’études de Rouen puis Paris pendant 9 ans, direction de recherche et de l’ingénierie SNCF. Je suis actuellement chef d’unité à Evreux depuis octobre 2000. C’est un travail de grande responsabilité puisqu’il s’agit d’assurer la sécurité, la maintenance et les travaux du domaine ferroviaire sur un large territoire.

J’assure cette mission en coordonnant le travail de 20 agents SNCF. Il me faut organiser, déléguer, être connecté aux réalités des marchés, toutes choses qui me sont utiles aujourd’hui dans mon rôle de Maire. Aujourd’hui, mon travail m’impose des contraintes de déplacements et d’astreintes et donc un manque de disponibilités. Pour m’occuper au mieux des affaires de la mairie, j’ai souhaité bénéficier du crédit d’heures légales de 56 heures (non payées) par trimestre. Ce qui, avec les journées RTT (récupération du temps de travail) me permet d’être présent une journée complète en semaine au village. J’ai également demandé ma mutation vers Rouen dans un nouveau fonctionnel. Cette mutation devrait être effective pour la fin de cette année. 

Infos d’Hautot : Depuis quand êtes-vous installé à Hautot-sur-Seine ?

Bruno Arriaga : Nous avons acheté notre maison à Hautot-sur-Seine en décembre 1998. Vivant en appartement à Maromme, nous venions souvent nous promener et pique-niquer dans le secteur. Nous avons eu un coup de cœur pour cette maison et pour le village. Rapidement, nous avons participé aux différentes manifestations organisées, ce qui nous a permis de rencontrer beaucoup de personnes. Dès juillet 1999, ma femme Patricia a rejoint le comité des fêtes.

Infos d’Hautot : Comment vous est venu le souhait de vous engager dans la vie municipale ?

Bruno Arriaga : J’ai rapidement été contacté et sensibilisé par certains conseillers municipaux en place pour intégrer l’équipe municipale à l’occasion des élections de mars 2001. Il est vrai que j’étais conseiller municipal à Maromme depuis 1994. Je me suis donné le temps de la réflexion en famille avant de m’engager. Par ailleurs, j’ai toujours été intéressé par la politique au vrai sens du terme. Je me suis laissé tenter par l’aventure malgré les retentissements prévisibles sur mon travail. Il n’est pas simple d’exercer les fonctions d’élu en même temps qu’une activité professionnelle très dense.

Infos d’Hautot : 3 mois après votre élection, quelles sont vos premières impressions à l’exercice de votre mandat ?

Bruno Arriaga : Je m’attendais à la charge de travail que j’ai trouvée. Ma plus grande surprise a été d’être vite confronté à de multiples petits soucis du quotidien. Ainsi je suis sollicité pour des problèmes de voisinage (bruits, animaux, etc.). J’ai également constaté qu’il n’est pas forcément évident de trouver des solutions simples pour des sujets qui semblent simples. Les accords ne sont pas toujours faciles à trouver. Alors il est plus que jamais nécessaire de laisser s’exprimer les gens pour trouver la bonne solution ou le meilleur compromis. Par ailleurs je suis très bien secondé par mon premier adjoint et les adjointes, ainsi que les conseillères et conseillers municipaux. A mon avis, nous avons la chance d’avoir un conseil municipal mixte, jeune et connecté aux réalités. J’ai eu la chance d’être très bien guidé par M. Louis du Boullay, Maire sortant, ce qui m’a permis de prendre le relais des affaires en cours dans d’assez bonnes conditions. Les adjoints et moi-même exerçant une activité professionnelle, il est nécessaire de mettre en place une organisation structurée. Ainsi, je souhaite m’appuyer beaucoup sur le travail des élus dans les commissions animées par les vice-présidents qui ont un rôle important. Ceci correspond à ma conception de ce que doit être le fonctionnement démocratique d’un conseil municipal.

Infos d’Hautot : Quel axe de développement vous semble stratégique ?

Bruno Arriaga : Il me semble utile de développer encore l’intercommunalité. Cela est nécessaire si nous voulons nous développer, ainsi que pour gérer les contraintes réglementaires. En effet, les investissements financiers requis sont tels qu’une commune ne peut rester isolée si elle veut évoluer. Je suis donc favorable à la démarche qui a mené à la création du SIVOM des Manoirs, et je pense qu’il faudra aller plus loin dans cette voie. Toutefois j’envisage d’informer et de consulter les villageois si besoin, sur les grandes décisions

Infos d’Hautot : Sur quels autres sujets travaillez-vous actuellement ?

Bruno Arriaga : Les sujets sont nombreux évidemment, mais à titre d’exemple nous souhaitons définir une orientation pour l’urbanisation, c'est-à-dire les règles à fixer en matière de constructions nouvelles. Concernant l’école, le vœu du Maire et de conseil municipal et que l’école soit maintenue à Hautot-sur-Seine. Nous travaillons actuellement sur les différentes possibilités sur les années à venir, en concertation avec les parents d’élèves et les enseignants

Infos d’Hautot : Quel message souhaitez-vous faire passer à nos lecteurs ?

Bruno Arriaga : Je crois qu’il est important de maintenir le côté rural et l’identité de notre village, tout en soutenant la vie associative, créatrice d’animations et de rencontres. Il faut continuer dans ce sens et avoir de l’ambition pour notre village. Celui-ci est déjà bien connu, grâce notamment aux manifestations du château et aux différentes activités professionnelles, je citerai par exemple le centre équestre.

Infos d’Hautot : M. le Maire nous vous remercions de nous avoir accordé un peu de votre temps. Nous vous laissons le mot de la conclusion

Bruno Arriaga : En ce qui me concerne, j’en suis encore au stade de la découverte mais je progresse au fil des dossiers. Je suis curieux et mon enthousiasme est intact.

Propos recueillis par Gilles Bourdeau, Maryse Lemarchand, Eliane Sroka

Le Conseil Municipal du 27 avril 2001 signe une convention avec Air Normand, intégrant le groupe de nez de la commune, pour surveiller la qualité de l’air.

Pot de départ d‘Hautot-sur-Seine de Patrick OLLIVIER du 18 juin 2001 :

Infos d’Hautot n°1 de l’été 2001 : Il ne peut pas nous faire ça !

Lundi soir 18 juin, salle Maurice Brunel à partie de 20 heures, une trentaine de personnes attendent. Après y avoir regardé à deux fois : mais oui ! Ce sont les membres du comité des fêtes du village, leurs conjoints et Mr et Mme Bellanger de l’A.D.M.R. !!! Mais qu’attendent-ils ? Que font-ils ? MOTUS et BOUCHE COUSUE ! On peut vous le dire maintenant, ils ont fait une surprise à Patrick Ollivier et son épouse pour leur départ d’Hautot. Vers 20 heures 30, les protagonistes arrivent. Patrick était une personne importante au sein de notre commune, mais, je laisse la parole au vice-président du comité des fêtes, José Raillot, qui a préparé un discours en son nom et, chacun de nous, pense la même chose de ce personnage qui a marqué la vis du village. « Patrick, Il y a des rencontres qui comptent, la tienne en est une. C’est grâce à toi que plusieurs, parmi nous, ont pu rencontrer la vis communale en tant que conseiller, la vie associative en tant que bénévole, la vis de résidents en tant qu’habitants. D’une manière différente. Pourquoi ? Parce que tu laisses aux autres le soin de prendre la part qu’ils veulent bien prendre ou qu’ils peuvent prendre. Effectivement, pour recevoir, il faut donner. D’un calme olympien et d’une disponibilité sans horaire, tu as donné à ce village beaucoup.

Dans le cadre de Maire Adjoint, tu as organisé le bien être et su pallier les défaillances de santé des uns et les défaillances de temps des autres. Tu as éclairé certains d’entre nous sur les rouages financiers de notre commune en nous associant au budget, à tout ce qui se faisait ou se préparait, en mettant du mieux vivre par l’annualisation du temps de travail des employés communaux.

Dans le cadre de représentant A.D.M.R. sur Hautot, nombre de nos anciens te sont reconnaissant, ce que tu pouvais, tu l’as fait et des fois plus encore.

Dans le cadre de Président du comité des fêtes, tu as su redynamiser un ensemble de proches et de bénévoles pour créer, pour imaginer. Le salon du mariage : nous avons pu soutenir l’idée innovante de Brigitte. Le jardin fait salon : nous avons pu soutenir l’idée intéressante de Christiane. Et puis joueur, on a fini par trouver nos marques avec le loto : le château était plein et l’ambiance chaude à volonté. Et pour continuer la tradition de l’entrecôte, cette fois, c’est nous qui nous sommes portés volontaires pour te soutenir dans ta chute (humour). De cela nous te remercions car à chaque fois, ce que nous faisions était encadré par une organisation impeccable et surtout il y avait du plaisir pour nous et pour ceux qui y participaient. Il s’agissait toujours de se rencontrer. Et puis nous avons pu grâce à toutes et tous mettre de la vaisselle, des réfrigérateurs, des meubles gratuitement au château, à la salle annexe afin de prévoir les prochaines fêtes ensemble.

Je sais que tu n’aimes pas être mis sous les feux des projecteurs. Mais ce soir, nous tes amis, nous voulions partager cette soirée avant que tu ne partes de ce village. Le premier journal d’Hautot sera la récompense d’efforts fournis et d’idées communes, il te sera dédié. Saches que tu es membre Hautotais d’honneur car tu as mis ta pierre et que tu as collaboré à ce que ce village vive. Nous t’attendons à toutes nos manifestations. Et puis, si tu as le temps pour un petit main … Dernier mot : Merci à ton épouse, tes enfants et tes amis de t’avoir prêté pendant ces longs moments.

Le Conseil Municipal du 22 juin 2001 décide des travaux à réaliser sur le pignon de la maison du CCAS qui menace de s’effondrer. Ces travaux sont réceptionnés en octobre.

 

Cet été, Paris Normandie part à la rencontre des villages de l’agglomération, de ces terroirs de plus en plus prisés des citadins, amateurs de vie nature.

Paris Normandie du 5 septembre 2001 : Hautot-sur-Seine le village gaulois

C’est l’histoire d’un homme de Maromme qui un jour en se promenant à Hautot-sur-Seine est tombé amoureux du village, s’y est installé voici trois ans. Aujourd’hui il en est le maire. Bruno Arriaga « horsain », chef d’unité à la SNCF d’Evreux, sorti vainqueur des urnes en mars dernier. Il ne regrette pas son choix même s’il a dû s’appliquer cette draconienne : le jour au travail, le soir à la mairie. Dans ce coin de verdure en bordure de Seine, c’est un peu le village gaulois. Tout le monde se connaît et surtout tout le monde aime sa commune. Alors forcément, ici on s’intéresse toujours à ce que décide le « chef ». La mairie a beau être grande comme une épicerie de campagne, il y a toujours des habitants aux séances du conseil municipal. Evoquer la richesse associative de la commune est un autre moyen de découvrir l’intérêt de l’Hautotais pour son clocher. Les habitants rédigent un petit journal d’information : « Les infos d’Hautot-sur-Seine ». Dans un récent numéro, on pouvait y lire une interview du maire. On y annonçait aussi l’entrecôte party d’hier dimanche. A Hautot-sur-Seine il y a belle lurette qu’il n’y a plus de commerces. Même pas un troquet. Les Hautotais font leurs courses au Val-de-la-Haye ou à Sahurs. En revanche il y a toujours une école, dont la cour vient d’être équipée de nouveaux jeux. « On a dû se battre pour que l’école ne ferme pas. La classe unique compte quinze élèves en maternelle et douze élèves en primaire. Nous avons signé une convention avec notre voisine Sahurs. A la rentrée, nous accueillerons six enfants de Sahurs en maternelle », précise Bruno Arriaga. Quelques artisans et un grand centre équestre se sont installés dans la commune qui sait préserver son image de coin de campagne proche de la ville. Les équipements n’ont rien de démentiel ; un terrain de football et une petite salle des fêtes. Membre du Sivom (syndicat intercommunal à vocation multiple) des manoirs de la vallée chargé du ramassage des ordures ménagères. Hautot-sur-Seine songe à son avenir : « Nous n’avons pas fait le choix d’intégrer la communauté d’agglomération rouennaise. Notre développement passe, je pense, par l’intercommunalité », plaide le maire.

 

Paris Normandie du 17 octobre 2001 : La départementale 51 rouvre vendredi

Depuis le premier trimestre 2001, une maison du XVII° siècle, située en bordure de la route départementale 51, attirait l’attention de la municipalité. En mars dernier, un devis était établi après l’apparition de fissures sur la bâtisse, Philippe Lemercier, premier adjoint au maire, fut alors chargé du dossier. Sans doute en raison d’un trafic routier plus important qu’à l’accoutumée, le 22 juin dernier cette maison, propriété du CCAS de Hautot-sur-Seine, menaçait de s’effondrer. La municipalité a alors décidé d’étayer le pignon. Les étais traversant la RD51 ont nécessité la mise ne place d’une déviation. L’architecte des Bâtiments de France a été contacté car la propriété est située dans le périmètre de l’église classée monument historique. Il a autorisé la reconstruction du pignon de la maison, mais en retrait à deux mètres pour faciliter l’élargissement de la RD 51. Les travaux ont débuté à la date prévue et devraient être terminés le vendredi 19 octobre au soir. Le coût du chantier est de 300 000 F. La subvention de l’Etat s’élève à 50 %, mais celle du conseil général n’est toujours pas connue, malgré les nombreuses demandes du maire, Bruno Arriaga. Le Département devrait pourtant souhaiter que la circulation soit rétablie le plus rapidement possible. En effet, cette route est très fréquentée. En semaine, par les habitants de Saint-Pierre-de-Manneville et de Sahurs qui se rendent à Rouen, et le week-end par de nombreux touristes attirés par les paysages classés de la Boucle de Roumare.

Le Conseil Municipal du 22 juin 2001 valide la construction d’une aile attenante à la Maire pouvant accueillir un transformateur électrique. Le Conseil Municipal du 12 octobre 2001 délibère sur la convention avec EDF pour l’installation du transformateur. Les travaux du transformateur de la Mairie et de l’aménagement d’un local communal adjacent démarrent le 19 novembre.

Le Conseil Municipal du 24 août 2001 approuve la convention avec la commune de Sahurs pour l’accueil d’enfants de Sahurs à l’école maternelle d’Hautot sur Seine.

Le Conseil Municipal du 16 novembre 2001 décide de la mise en place d’une carte communale, document d'urbanisme simplifié dont peut se doter une commune qui ne dispose pas d'un plan local d'urbanisme.

Un arbre pour chaque bébé de l’an 2000 le 19 novembre 2001:

Madame, Monsieur,

Pour fêter les 12 naissances de l’an 2000, le Conseil Municipal (avec le concours du Conseil Général) a souhaité financer la plantation d’un arbre pour chaque enfant concerné. 8 arbres fruitiers seront donc plantés dans l’enceinte de l’Ecole communale Maurice Genevoix, et 4 arbres d’essences locales sur le site de l’ancienne décharge en reboisement. Aujourd’hui, nous avons reçu les arbres, et j’ai la joie de vous convier le samedi 1er décembre 2001 à 11H00 à l’école, pour la plantation de l’arbre lié à la naissance de votre enfant. Vous êtes invités à participer à la plantation proprement dite, donc n’hésitez pas à venir en tenue de jardinage et avec une pelle pour reboucher le trou déjà préparé pour votre arbre. Pour fêter l’événement, nous prendrons ensuite un vin d’honneur ensemble à l’école. Souhaitant vous compter parmi nous en cette sympathique occasion, nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, en l’expression de nos salutations sincères.

Bruno ARRIAGA, Maire.

 

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31 décembre 2000 7 31 /12 /décembre /2000 05:58
L'année 2000 à Hautot-sur-Seine

Le Conseil Municipal du 29 mars 2000 aborde les conséquences de la tempête du 26 décembre 1999 qui a entraîné la réfection totale de la toiture de la Mairie.

D’autres dégâts concernent l’ensemble des bâtiments communaux.

 

 

 

Déclaration à la préfecture de la Seine-Maritime le 3 juin 2000 de l’association JEUNESSE ET NATURE DE LA BOUCLE.

Objet : organisation de sorties et d’activités de plein air avec les familles de la Boucle de Roumare.

 

 

Infos d’Hautot n°1 de l’été 2001 : Noces d’or de Jacques et Marie-Louise Pringault

Une vieille famille hautotaise à l’honneur dans ce numéro, puisque presque tous habitent Hautot, Sahurs ou les environs proches. Marie-Louise « Louisette » pour les amis, nous est venue de son Finistère natal pour travailler à la cantine des dockers. Là, elle y a rencontré ce grand colosse tranquille, l’ami Jacques qui, avec son 1,95 m. et ses 117 kg ne pouvait passer inaperçu. Lui est natif du Val-de-la-Haye et un peu le produit de la boucle de Seine. Ils se sont mariés le 13 juin 1950 à Hautot-sur-Seine et de leur union naquirent 4 enfants, qui à leur tour, leur donnèrent 8 petits-enfants et, pour bientôt 1 arrière petit enfant. Un mariage très réussi qui traduit bien les affinités entre normands et bretons, avec de nombreux exemples autour de nous. Madame, avec sa belle petite famille est restée après à la maison et Jacques est monté de simple docker à contremaître. Il est maintenant en retraite bien méritée depuis 19 ans. Sa passion : l’aviron où il fût champion, qu’il a transmise à la famille, n’est ce pas Jonathan qui est champion de Normandie actuellement. Son autre hobby : le jardin où il fut toujours nominé aux concours des « maisons fleuries ». Les « clochettes de Jacques » sont réputées puisqu’il fournit le muguet pour le 1er mai depuis bien longtemps. Ils sont donc repassés devant Mr le Maire Louis Thillaye du Boullay 50 ans après, entourés de leur famille et amis. Vin d’honneur et repas au château où ils ouvrirent le bal avec un slow et la famille leur dédia une chanson composée pour leur longue vie. Depuis, un beau voyage à l’île de la Réunion les a enchanté et a clôturé ce grand moment. Ils comptent beaucoup d’amis à Hautot et nous pensons bien à eux. A. L.

 

Lors du Conseil Municipal du 28 juin 2000, l’adhésion de la commune à la charte du Parc Naturel Régional de Brotonne pour la période 2000-2010 est décidée à l’unanimité. 

Le Conseil Municipal du 20 septembre 2000 est informé de la mise en place de la collecte sélective par le SIVOM au 01/01/2001 et de la fermeture de la décharge.

Le Conseil Municipal du 20 septembre 2000 est informé qu’Hautot-sur-Seine n’a pas été retenu pour la desserte gazière.

Le Conseil Municipal du 8 novembre 2000 valide l’aménagement du site de collecte du verre vers l’entrée de service du château.

Photographie du conseil municipal de l’an 2000 de gauche à droite :

Jacques-André Alligier (secrétaire de mairie), Michel Languet, Philippe Lemercier, Brigitte Adam, Louis du Boullay (Maire), Patrick Ollivier, Florence Lhomme, Christiane Soudé, José Raillot, Catherine Seille et Gilles Bourdeau.

Le Conseil Municipal du 20 décembre 2000 valide les projets de jeux scolaires et de clôture de l’enceinte de l’école. Internet est installé à l’école.

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15 septembre 2000 5 15 /09 /septembre /2000 05:06

ARTICLE DU PARIS NORMANDIE

Dimanche et Lundi, Hautot-sur-Seine a connu deux grandes journées à l'occasion de sa fête patronale Saint-Antonin. Le vaste terrain, situé dans le virage à proximité de la charmante chapelle, a connu, durant ces deux journées, une activité tout à fait exceptionnelle.

Le Comité des fêtes, présidé par M.Brunel, adjoint au maire, M. Poullard, avait bien fait les choses. Dimanche, on trouvait, en effet, à Hautot une importante fête foraine avec manèges, tirs, balançoires, pêche à la ligne, etc. : un défilé de chars très réussis ; un brillant concert donné par la Musique des Gardiens de la Paix de Rouen ; une attraction-surprise et, en guise de conclusion vespérale, un bal avec l'ensemble Mario Regel et le ténor Louis Charlin !

LES BALANCOIRES

LES BALANCOIRES

Les plus grands soins avaient été apportés à la réalisation des chars et le succès répondit à ces efforts : les fleurs largement mises à contribution, faisant de véritables bouquets de "La jeune fille sur la balançoire", des "Bonnes vacances", de "Babette s'en va t'en guerre", de "20.000 lieurs sous les mers", de "Carroussel-valse" et du bateau de La Bouille ... modèle 1898 ! Si l'on y ajoute une automobile qui fut ultra-moderne vers 1920 et "La Strada", plaisante voiturette remorqué par un anon paisible, on voit que l'imagination n'avait pas fait défaut aux organisateurs.

La Saint Antonin des 4 et 5 septembre 1960 à Hautot-sur-Seine
La Saint Antonin des 4 et 5 septembre 1960 à Hautot-sur-Seine
La Saint Antonin des 4 et 5 septembre 1960 à Hautot-sur-Seine
L'ASTRADA plaisante voiturette remorquée par un anon paisible

L'ASTRADA plaisante voiturette remorquée par un anon paisible

La Saint Antonin des 4 et 5 septembre 1960 à Hautot-sur-Seine
La Saint Antonin des 4 et 5 septembre 1960 à Hautot-sur-Seine
La Saint Antonin des 4 et 5 septembre 1960 à Hautot-sur-Seine
La Saint Antonin des 4 et 5 septembre 1960 à Hautot-sur-Seine
La Saint Antonin des 4 et 5 septembre 1960 à Hautot-sur-Seine
La Saint Antonin des 4 et 5 septembre 1960 à Hautot-sur-Seine
La Saint Antonin des 4 et 5 septembre 1960 à Hautot-sur-Seine
La Saint Antonin des 4 et 5 septembre 1960 à Hautot-sur-Seine

Le lundi, c'était au tour des home-trainers de "Paris Normandie" d'attirer la foule enfantine. Avec son habituelle verve, Michel Lebranchu arbitrait le débat qui, sous les rires et les applaudissements, réunit plusieurs dizaines de fillettes et garçonnets. 

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31 décembre 1999 5 31 /12 /décembre /1999 05:55
L'année 1999 à Hautot-sur-Seine

Déclaration à la préfecture de la Seine-Maritime le 26 février 1999 de l’association LES CHENES DE LA BOUCLE. Objet : créer, animer, développer les rencontres et les liens d’amitié entre les retraités.

 

L’Echo d’Hautot n°6 de mars 1999 : démission du bureau du comité des fêtes

Lors de la réunion du 9 février 1999, le bureau du Comité des fêtes annonça que les principaux membres avaient après une longue réflexion, décidé de démissionner. En effet, le manque de bras (le bénévolat est de plus en plus rare), la lassitude et le peu d’intérêt de la part des Hautotais ont conduit les membres à prendre cette décision. Philippe Vandererven, dernier président, remercia toutes les personnes qui ont aidé le comité depuis sa création en 1945 et tout particulièrement madame Devarenne et toute sa famille qui furent avec monsieur Brunel les pionniers du comité.

Le Conseil Municipal installé le 18 mars 1999, suite à l’élection partielle, est composé de Brigitte (LECHEVALLIER) ADAM, Gilles BOURDEAU (2ème adjoint), Jean-Marie COSQUERIC, Florence (GRAS) LHOMME (3ème adjoint), Michel LANGUET, Philippe LEMERCIER, Patrick OLLIVIER (1er adjoint), José RAILLOT, Catherine (RECHER) SEILLE, Christiane (FERCOQ) SOUDE & Louis THILLAYE DU BOULLAY (Maire).

Décès le 30 mars 1999 d’André DECORDE à l’âge de 83 ans, Conseiller municipal de 1959 à 1980, 3ème Adjoint du 24 mars 1977 au 24 octobre 1980. Suite à son départ à la retraite, il quitte la commune en 1980.

 

Le Conseil Municipal du 12 mai 1999 donne son accord pour la création du SIVOM des trois manoirs chargé du problème des ordures ménagères entre Hautot-sur-Seine, Sahurs et Saint-Pierre-de-Manneville.

 

Le Conseil Municipal du 12 mai 1999 décide de l’aménagement des toilettes de la salle Maurice Brunel. 

Le Conseil Municipal du 23 juin 1999 décide des travaux de réparation des piliers du porche d’entrée de l’école.

Le Conseil Municipal du 23 juin 1999 accomplit une minute de silence en mémoire de Roland Cardin. Roland Cardin, né à Bois-Himont le 30/10/1934, devient l’employé communal le 1er janvier 1980 en remplacement de Joseph Bertin. Il reprend également le contrat d’enlèvement des ordures ménagères. Il le reste jusqu’à son départ à la retraite en octobre 1994. Il décède à Barentin le 17/06/1999. L’inhumation a eu lieu le 22 juin 1999 en l’église St Martin de Canteleu. Pour ses derniers instants, M. Cardin était entouré de véritables amis.

Paris Normandie du 19 novembre 1999 : Un salon du mariage dans l’enceinte d’un château

Pour la commune d’Hautot-sur-Seine, l’an 2000 sera l’année des mariages ou ne sera pas. C’est en tout cas le pari pris par la mairie et le comité des fêtes qui organisent depuis le mois d’avril dernier son premier salon du mariage. Les samedi 20 et dimanche 21 novembre, le château de la commune va se transformer en lieu d’exposition pour la vingtaine de partenaires qui ont répondu présent à l’appel de Patrick Ollivier, adjoint à la mairie et président du comité des fêtes, qui a été assisté par Brigitte Adam, Christiane Soudé et José Raillot. La première ambition du salon est de faire connaître la commune de 356 habitants, située à dix-sept kilomètres de Rouen, entre Grand-Couronne et Sahurs. « Peu de personnes savent situer notre commune et nous attendons des retombées de ce salon. Le château est l’une de nos principales ressources car nous n’avons pas d’industrie. Il a le statut de maire annexe et il est utilisé comme salle de réception », précise Patrick Ollivier. Les visiteurs, qu’ils soient intéressés par le salon lui-même ou simplement curieux, découvriront sur 320 m² et deux étages la demeure historique construite au XVIIIème siècle et propriété de la commune depuis 1987. « On ne pensait pas que ça marcherait si bien. Evidemment, nous avons essuyé quelques refus mais nous avons également eu des réponses positives qui nous ont étonnés. Par exemple nous avons appris que Laurent Fabius venait inaugurer le salon. C’est une première reconnaissance de notre travail après tant de stress », confie Patrick Ollivier. De la traditionnelle robe au voyage de noces, en passant par le traiteur, les alliances et même le coiffeur, tout est fait pour que les fiancés de 1999 trouvent leur bonheur et deviennent des mariés de l’an 2000.

La tempête Lothar du 26 décembre 1999 est la première des deux tempêtes de fin décembre 1999 en Europe. Ses vents moyens atteignant jusqu'à 115 km/h dans les terres, mais avec des rafales dépassant 150 km/h de force quasiment équivalente à un ouragan de catégorie 2, ont dévasté le nord de la France, de la Suisse et l’Allemagne. Ils causèrent des dommages importants, en particulier aux forêts.

L'année 1999 à Hautot-sur-Seine
L'année 1999 à Hautot-sur-Seine
L'année 1999 à Hautot-sur-Seine
L'année 1999 à Hautot-sur-Seine
L'année 1999 à Hautot-sur-Seine
L'année 1999 à Hautot-sur-Seine

Hautot-sur-Seine est classée en état de catastrophe naturelle pour des inondations et coulées de boue au Journal Officiel paru le 30 décembre 1999 à la suite des intempéries survenues entre le 25 et le 29 décembre 1999.

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31 décembre 1998 4 31 /12 /décembre /1998 05:50
L'année 1998 à Hautot-sur-Seine

Lors du Conseil Municipal du 28 janvier 1998, il est évoqué la possibilité d’un R.P.I. (regroupement pédagogique intercommunal) suite à la fermeture envisagée d’une classe à l’école Maurice Genevoix à la rentrée 1998.

Conseil Municipal du 28 janvier 1998 : de gauche à droite, assis, Jacques-André ALLIGIER, Louis THILLAYE DU BOULLAY, débout, Hervé COUESNON, Michel LANGUET, Philippe LEMERCIER, Patrick OLLIVIER, Jacques LAGNEL, Gilles BOURDEAU et Jean-Marie COSQUERIC

L’Echo d’Hautot sur Seine n°5 de février 1998 : Interview de M. Louis du Boullay, Maire

La démission de M. Jean-Claude Martel-Baussant, maire ayant été acceptée par M. le Préfet le 13 juin 1997, Louis Thillaye du Boullay, doyen du conseil a été élu le 25 juin 1997 pour le remplacer. Les Hautotais le connaissent mais, pour beaucoup, insuffisamment. Dans cet interview, nous allons essayer de vous le présenter un  peu mieux et nous le remercions de sa collaboration.

L’EdH : M. le Maire, pouvez-vous vous présenter aux Hautotais ?

LDB : Je suis né à Mont-Saint-Aignan le 20/12/1925, et je suis le 4ème d’une famille de 8 enfants. J’ai donc passé mon enfance à Mont-Saint-Aignan et Déville-les-Rouen où mon père s’occupait de l’usine à gaz. Ma famille est arrivée à Hautot-sur-Seine en avril 1938 ; mes parents ont racheté la propriété des Fauquet. Pendant la guerre, pour nourrir notre grande famille, les pelouses furent transformées en champ de pommes de terre. J’ai fait mes études pendant 10 ans à Rouen, au collège Jouin Lambert. En juin 1944, je m’engage dans la marine, pour être pilote d’aéronavale, je vais donc en formation dans une école américaine après un passage par l’Algérie. En août 1945, c’est la fin de la guerre, donc l’arrêt de mon entrainement et je suis démobilisé en décembre. Je reprends mes études et suis reçu au concours d’entrée à l’école supérieure d’électricité (Supelec), je termine juste après mon diplôme d’études supérieures. J’entre ensuite chez Gardy, près d’Auxerre dans l’Yonne, comme ingénieur d’études et de laboratoire, puis dans un groupe de fabrication de composants électriques comme ingénieur de production, puis au commercial et après aux services généraux. Entre temps, je me suis marié et je suis père de 5 enfants. En fin de carrière, je suis chargé de l’exportation car je connais bien par mes différents postes, toutes les possibilités de la société et je m’intéresse à l’informatique, (j’ai alors 58 ans) et je suis avec mon patron, intéressé par le souci des hommes.

L’EdH : Par vos voyages, vous devez avoir appris les langues !

LDB : Je n’ai jamais été beaucoup gêné dans mes voyages. Dans mes études, j’ai acquis des connaissances en latin et en grec, et 9 ans en allemand. Par mon voyage aux USA j’ai dû pratiquer l’anglais, je comprends l’italien, un peu l’espagnol ; j’ai fait un stage assez long en Suède et j’ai été obligé d’avoir des rudiments. Les langues m’ont toujours amusé mais en résumé c’est quand même l’anglais et l’allemand que je possède le mieux. C’est en 1987, à 63 ans, avec beaucoup de mal à débrayer car je faisais un métier très intéressant, que je prends ma retraite. En effet les voyages de 3 à 4 jours aces de longues journées deviennent trop fatigants.

L’EdH : Pouvez-vous nous dire vos hobbies ?

LDB : Je m’intéresse à l’informatique que j’ai dû pratiquer dans mon entreprise et que j’ai adapté à mes besoins personnels de vie de famille, je m’en suis servi pour faire un document de 60 pages sur la généalogie de ma famille aidé par un de mes gendres qui est dans la partie et je me suis amélioré avec un livre que je conseille aux débutants « le Mac Intosh pour les nuls ». Pour l’anecdote, dans les recherches de ma grande famille, en 1994 il y avait 960 descendants de mon arrière grand-père et 900 étaient encore vivants. Nous nous sommes réunis au château et nous sommes retrouvés à 420. L’ordinateur m’aide aussi pour tout mon secrétariat. Passionné par la vie et l’historique d’Hautot-sur-Seine, dont j’ai essayé de récupérer le plus de documents sur notre village, j’ai été élu conseiller municipal en 1983 et j’effectue mon troisième mandat. J’habitais à Paris et nous avons hérité de cette propriété à Hautot-sur-Seine en 1981. Je suis aussi comme chacun le sait chrétien, j’ai participé à la rédaction du magazine « Regards » que vous recevez dans vos boîtes aux lettres et avec mon temps de liberté, j’aime regarder la vie en profondeur et me consacrer à la prière.

L’EdH : Pour quelles raisons la vie communale vous a-t-elle intéressée ?

LDB : J’ai mes attaches lointaines dans le pays d’Auge et le pays de Caux.

Sachez que mon grand-père maternel, avocat, était Conseille Général à Rouen. C’était une tradition familiale. Le père de sa mère était lui Président de ce même conseil, C’était Jean Rondeaux. Du côté paternel dans le pays d’Auge, le deuxième Maire de Lisieux était un Louis Thillaye du Boullay, il y a deux siècles.

L’EdH : Pensez-vous vous représenter aux prochaines municipales ?

LDB : Celles-ci auront lieu en 2001 et j’aurais alors 76 ans, je prépare plutôt mon remplaçant en ouvrant les dossiers à tous. Je délègue d’ailleurs aux gens selon leurs aptitudes préférentielles, ainsi pour mes adjoints : Patrick Ollivier s’occupe des travaux avec le suivi des devis ainsi que la coordination et le choix des entreprises ; Jacques Lagnel, par sa formation, son doigté et sa persuasion, est chargé des approvisionnements et des achats ; Gilles Bourdeau dans sa spécialité, les assurances, la gestion et les contrats de location du château. Je supervise bien sûr tout et avec Patrick Ollivier nous assurons la gestion du personnel. De toute façon, je parage avec tout avec les conseillers, car il est essentiel de garder harmonie du conseil et de prendre le temps qu’il faut pour gérer les dossiers. J’ai pris ce poste de Maire, qui est le plus beau des mandats car j’aime être proche des gens pour leur bien être et leur bien vivre. Le premier souci du Maire et d’être à l’écoute de tous.

L’EdH : Avez-vous repris les présidences de l’électricité et l’eau ?

LDB : Etant déjà membres titulaires de ces syndicats du temps de M. Martel-Baussant, les conseils me les ont attribués, oui, j’ai ces responsabilités.

L’EdH : Après les événements communaux, vous reprenez un mandant écourté, quels sont vos projets ?

LDB : Je souhaite ne pas travailler à court terme, cependant je dois gérer l’imposé laissé par l’équipe précédente, je n’ai pas eu trop de temps pour prévoir à très long terme car il m’a fallu déjà 2 à 3 mois pour bien tout remettre dans le sens pour 1998. Des idées sont là, dictées par des opportunités que j’exposerai lors des vœux au château. En bref, nous cherchons à améliorer la voirie et l’embellissement d’Hautot-sur-Seine. Pour cela, il faut améliorer les ressources du château afin de compenser les charges d’entretien communales.

L’EdH : Où en est l’endettement d’Hautot-sur-Seine ?

LDB : Actuellement, il est faible, l’emprunt prévu de 250 000 F n’est pas encore contracté et ce n’est pas sûr que nous relancions un autre de 100 000 F environ. Nous ferons au minimum selon les urgences.

L’EdH : Qu’en est il des dossiers en suspens ?

LDB : Mon idée forte est que nous devons jouer la carte de l’intercommunalité. Abri-jeunes : Je ne suis pas partisan d’un achat d’abri tout fait, je souhaite que les jeunes s’y investissent. Terrain de sport : Je pars dans l’idée que les Hautotais pratiquent du sport sur les installations environnantes avec une subvention pour celles-ci comme nous le faisons actuellement. Entrées de la place ; (viennent d’être faites) Pour la nuit, nous allons prévoir une signalisation fluorescente des piquets, ainsi que des plantations côté route. Celles-ci, envisagées, seront effectuées après encore une petite modification. Ordures ménagères : Des décisions seront prises pour fin 1998, mais il faut prévoir que l’apport volontaire du tri sélectif nous éviterait d’augmenter trop cet impôt. Je souhaite trouver une solution avec les communes voisines sur ce sujet. Petit Lotissement.

L’EdH : Quelques maisons seraient souhaitables pour avoir de nouveaux enfants pour l’école !

LDB : Ce n’est pas envisagé, il n’y a d’ailleurs pas de terrain disponible et les anciennes études n’ont pas abouti. Ecole : Selon les références de la rentrée 1997, deux classes seraient envisagées en 1998. Actuellement il y a une maternelle, un cours préparatoire/cours élémentaire et un cours moyen. Je pencherai aussi sur l’intercommunalité et qu’une trilogie (enseignants, parents, commune) se mette en place. Sécurité du château : La mise en conformité de celui-ci sera faite vers mi mars et les locations reprendront après. Rue du Rouage : Selon le budget et les aides que nous pourront obtenir de l’Etat ou du département, nous apporterons une amélioration de l’évacuation des eaux pluviales. Dans le même sens et compte tenu du remplacement du câble aérien moyenne tension qui est au dessus du lotissement du Buisson et qui sera mis en câble souterrain en bordure des rues de l’Ancien Vignoble, du Moulin du Temple et du Rouage, nous profiterons des tranchées ouvertes pour enterrer les branchements électriques et de PTT et ensuite, bien sûr, ces routes pourront être revues. Eglise : Lors des journées de visite de celle-ci, on constate qu’il y a beaucoup à faire à l’intérieur. Il faudra s’y prendre longtemps d’avance mais année après année, les améliorations se feront. Cimetière près de l’église : Notre architecte M. François et l’entreprise Surget étudient diverses solutions pour le futur. Certains souhaits pourront être revus. Nous recherchons un assentiment général.

L’EdH : Nous vous remercions de votre disponibilité et de ce moment passé qui doit éclairer les hautotais sur le futur.

LDB : J’espère ne pas avoir été trop long et que ceci pourra intéresser mes concitoyens, je profite pour leur présenter mes vœux brièvement, ceux-ci auront lieu au château et je souhaite les voir nombreux.

Interview faite par Alain Langlois le samedi 20 décembre 1997.

Décès le 15 mars 1998 d’Yvon COSQUERIC, Conseiller municipal de 1959  à 1977.

Echos d’Hautot n°6 de mars 1999 : Un de nos « bigouden » est parti. Yvon avec sa faconde et son franc parler avait aussi œuvré au sein du Conseil municipal pour le bien d’Hautot. Trois mandats, soit 18 ans de service. Caractère de Breton, peu de paroles mais le mot juste, tu peux être fier, « le gamin » comme tu nous disais, a bien repris le flambeau au Conseil, il se chargera de nous rappeler de ne pas t’oublier. « Kenavo » te disent tes amis en t’assurant de leur profond respect.

Il repose au cimetière d’Hautot-sur-Seine.

Le Conseil Municipal du 1er avril 1998 vote la hausse de la taxe sur les propriétés bâties de 21,96% à 22,80 %, de la taxe d’habitation de 12,17% à 13,02% et de la taxe professionnelle de 10,94% à 11,97% ainsi que la baisse du non bâti de 65% à 60%. En juin 1998 la taxe professionnelle est ramenée de 11,97% à 11,82%.

Paris Normandie du 22 avril 1998 : Deux journées portes ouvertes pour promouvoir le château

« La commune n’encaisse pas de taxe professionnelle, et comme nous ne souhaitons pas augmenter les impôts, la location du château constitue la principale source de nos revenus. Nous avons donc tout intérêt à le faire connaitre. » Louis du Boullay le maire, affiche clairement l’objectif des deux journées portes ouvertes, organisées samedi et dimanche prochain au château : « L’équipement est utilisé par les familles qui s’y réunissent à l’occasion de mariages, de baptêmes ou de noces d’or. Nous souhaitons à l’avenir qu’il soit également loué par des entreprises pour des dîners d’affaires, ou l’organisation de séminaires et de congrès » ajoute l’élu. La commune s’est beaucoup investie dans la rénovation du château, qu’elle a racheté voilà quelques années. Récemment, il lui a fallu recourir à de nouvelles dépenses, puisque la commission départementale de sécurité et d’incendie lui a demandé de mettre aux normes actuelles de sécurité l’ensemble du château. « Nous n’avons pas tergiversé. Nous ne pouvions pas prendre le risque de continuer à fonctionner sans l’assentiment de la préfecture. Le château a été fermé trois mois, et nous avons effectué les travaux », note Louis du Boullay. Pour un montant avoisinant les 500 000 F, la réfection complète de l’électricité du sous-sol, et celle du rez-de-chaussée, ainsi que la rénovation de la signalisation de secours et de la détection incendie à tous les étages, ont été menées. La porte du premier étage trop étroite en cas de panique a été agrandie sur l’escalier principal. A l’ouest une fausse fenêtre a été percée. Elle donne accès à un escalier métallique extérieur en hélice : « Nous avons décidé d’entreprendre cette transformation sachant à quel point la location jumelée des deux salles, premier et rez-de-chaussée sont appréciées et profitables », précise le maire. Samedi et dimanche, le public recevra une plaquette explicative sur l’histoire et le fonctionnement du château : « D’ailleurs dès qu’une personne nous demande des informations, nous la lui envoyons automatiquement » précise le premier adjoint. Pour le maire, le château doit rester un lieu d’accueil. Pas question donc d’y transférer les services de la mairie : « Malgré sa petite taille, elle est un lieu d’échange d’informations. Et puis, la fréquentation de la cabine téléphonique nous a définitivement dissuadé de transférer la mairie au château », assure Louis du Boullay.

Le Conseil Municipal du 13 mai 1998 donne un avis favorable à l’enquête d’utilité publique sur le classement du territoire de la commune situé au sud du CD51 et de la rue des Farceaux, jusqu’à la Seine. Le conseil de la DIREN (Direction Régionale de l'Environnement) décide ensuite de transmettre la proposition au Ministre pour acceptation.

Le Conseil Municipal du 24 juin 1998 vote l’adoption du projet de statut du SMEDAR (syndicat mixte d’élimination des déchets de l’agglomération rouennaise).

Le Conseil Municipal du 16 septembre 1998 adopte les statuts du SIAEPA (syndicat intercommunal d’alimentation en eau potable et d’assainissement de la région de Sahurs regroupant Hautot-sur-Seine, Sahurs et Val-de-la-Haye), celui du 4 novembre 1998 adopte les statuts du SIER (syndicat intercommunal d’électrification rurale de la région de Sahurs regroupant Hautot-sur-Seine, La Bouille, Sahurs et Saint-Pierre-de-Manneville).

Photographie de l’intérieur de la serre du château du 30/09/1998

Lors du Conseil Municipal du 16 septembre 1998, il est décidé de démolir la serre en ruine du parc du château et d’aménager la petite écurie dont le grenier sera fermé en Abri jeunes.

Le Conseil Municipal du 16 septembre 1998 décide de titulariser Mr Joel Gilles en tant qu’agent d’entretien à temps complet à compter du 1er novembre 1998.

 

L’Echo d’Hautot n°6 de mars 1999 : le repas des cheveux d’argent

Dimanche 18 octobre 1998. Cette bonne coutume s’est perpétuée le 18 octobre 1998 dans la salle d’honneur de notre château communal. Le Centre Communal d’Action Sociale a accueilli ses convives, nos anciens et quatre membres du Conseil Municipal dont bien sûr, Maire et adjoints et leur famille. Cinq belles tables étaient dressées et un bon repas fût servi par le traiteur Malandain. L’ambiance fût chauffée par un petit groupe de 3 musiciens avec un accordéon et les chansons anciennes furent interprétées par les habitués. On eu droit également aux tours de magie d’un apprenti magicien Grégoire, un petit fils de M. le Maire.

 

Le Conseil Municipal du 23 décembre 1998 décide d’élections complémentaires pour quatre sièges, suite à la démission de Jacques Lagnel, deuxième adjoint, parti s’installer dans les Alpes et d’Hervé Couesnon pour raisons professionnelles.

 

L’Echo d’Hautot n°6 de mars 1999 : départ de Jacques LAGNEL 2ème adjoint

Depuis le temps qu’il en rêvait de sa montagne et de ses chalets (ce n’est pas le début d’une chanson), ça y est ! Il est parti y vivre laissant ses amis et son village d’adoption. Nous savons bien qu’il ne nous oublie pas ayant encore des proches près de nous et prenant des nouvelles de sa commune par téléphone. Depuis qu’il avait trouvé le petit village de Savoie où il voulait profiter de la nature, de son air pur et de sa convivialité, chaque jour qui passait le rapprochait de cette échéance et les circonstances de la vie lui ont fait passer le cap fin septembre, début octobre. Une dernière fête avec les amis et les proches de la vie communale à l’issue de laquelle lui fut remis une belle canne à pêche afin de profiter d’un de ses loisirs préférés. Connaissant notre « Brésilien » (son surnom, quand il jouait au football dans les clubs du coin) il va rebondir et parfaitement s’intégrer à cette nouvelle vie avec sa femme Claudine. Les deux fistons Arnaud et Thomas conserveront aussi des attaches familiales par ici.

Jacques Lagnel, vice-président des pêcheurs, a été élu en 2020, conseiller municipal de Ventenas-Cabardès.

 

Le Conseil Municipal du 23 décembre 1998 décide de la création d’une commission afin de réfléchir aux problèmes de sécurité liés à la circulation routière.

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31 décembre 1997 3 31 /12 /décembre /1997 05:45

Paris Normandie du 27 janvier 1997 : les ordures ménagères de la discorde

La question du traitement des ordures ménagères dans le village a démantelé le conseil municipal d’Hautot-sur-Seine. Huit des onze conseillers municipaux ont démissionné.

Comment éliminer les ordures ménagères ? La question plonge dans l’embarras les élus d’Hautot-sur-Seine. Pour l’instant, la commune jette tout, dans une décharge municipale. Plus pour longtemps à vrai dire. Le préfet a décidé d’en finir une bonne fois pour toutes avec les décharges sauvages. Celle d’Hautot-sur-Seine sera donc irrémédiablement fermée en 2002. Avant la date fatidique, le maire Jean-Claude Martel-Baussant et deux de ses adjoints, tout en voulant continuer à utiliser la décharge, sont partisans de trouver des solutions intermédiaires de traitement des ordures ménagères, pas trop onéreuses pour les Hautotais. Ils n’ont pas été suivis par les huit autres élus du conseil municipal. Favorables à une intégration rapide de la petite commune des bords de Seine, dans un syndicat intercommunal de collecte et de traitement, ils ont démissionné.

« D’ici peu la décharge sera pleine. Quel avantage y a-t-il à continuer à exploiter un site illégal et polluant ? La commune doit songer dès maintenant à régler son problème. Attendre ne sert à rien. Plus tard, la note sera encore plus salée. Le maire vient nous dire aujourd’hui qu’il veut faire des économies, alors qu’il a imposé des taux exorbitants sur l’assainissement de l’eau … Sa gestion autocratique nous a laissé très peu de latitude pour réaliser notre mission » expliquent les conseillers démissionnaires, dont certains étaient membres de la commission environnement, au conseil municipal.

De toute évidence, le maire Jean-Claude Martel-Baussant veut gagner du temps. « A quoi bon se précipiter, puisque nous sommes toujours en attente du plan départemental d’élimination des déchets ménagers, et de la nouvelle usine d’incinération. Notre commune, sans grosses ressources financières, doit réfléchir. Les tarifs pratiqués par les différents syndicats intercommunaux, sont nettement supérieurs à la moyenne. Actuellement, le stockage en décharge coûte 83 F par habitant. Ce qui nous est proposé, c’est 450 F par habitant. »

Le maire cherche donc d’autres voies. L’intercommunalité en est une, avec la formation d’un syndicat au côté de Sahurs et Saint-Pierre-de-Manneville les communes voisines. La mise en place du tri sélectif, en est une autre. A coup sûr, les déchets vont peser dans la campagne des élections municipales complémentaires. Le premier tour est fixé le dimanche 2 février. Le second tour se jouera huit jours plus tard, le 9 février. Les conseillers démissionnaires ne disent pas s’ils constitueront une liste : « On va voir ! » répondent-ils prudemment.

L'année 1997 à Hautot-sur-Seine

Le Conseil Municipal installé le 25 juin 1997 est composé de Gilles BOURDEAU (3ème adjoint), Jean-Marie COSQUERIC, Hervé COUESNON, Florence (GRAS) LHOMME, Jacques LAGNEL (2nd adjoint), Michel LANGUET, Jean-Marie LEGRAS, Philippe LEMERCIER, Jean-Claude MARTEL-BAUSSANT, Patrick OLLIVIER (1er adjoint) & Louis THILLAYE DU BOULLAY (Maire). Le 30 juin 1997 Jean-Claude MARTEL-BAUSSANT et de Jean-Marie LEGRAS démissionnent du Conseil Municipal.

Paris Normandie du 28 juin 1997 : Louis Duboullay élu maire

La démission, de Jean-Claude Martel-Baussant, maire, ayant été acceptée par M. le Préfet le 13 juin dernier, le conseil municipal se réunissait, mercredi, pour élire le nouveau maire et ses adjoints. Louis Duboullay, doyen du conseil, présidait la séance. Dès le premier tour, Jean-Marie Legras obtient cinq voix et Louis Duboullay, avec six voix, est élu maire. Il remercie aussitôt le conseil de la confiance qui lui est ainsi témoignée et s’engage à servir les intérêts d’Hautot. Avant l’élection des adjoints, il demande à chacun des conseillers d’en déterminer le nombre (deux ou trois), en rappelant toutefois que le budget des indemnités du maire et des adjoints ne peut être modifié. Le conseil décide par sept voix pour, de nommer trois adjoints. Premier adjoint : Patrick Ollivier, élu avec sept voix. Deuxième adjoint : Jacques Lagnel, élu avec six voix. Troisième adjoint : Gilles Bourdeau, élu au deuxième tour, avec six voix.

Louis Duboullay prend alors la parole : « N’oublions jamais que notre commune est redevable à deux personnes de ce qu’elle est devenue aujourd’hui. La première, c’est Jean-Claude Martel-Baussant, qui l’a gérée avec audace, sagesse, dévouement et initiative. La seconde, c’est Jean-Marie Legras ; il doit aussi être remercié pour avoir été l’élément moteur de la transformation de notre village. »

Après la désignation des représentants aux syndicats d’eau et d’électricité, Louis Duboullay a invité tous les conseillers présents à entourer Marie-José Alligié, directrice de l’école qui fête son départ en retraite. Le conseil municipal se réunira le mercredi 2 juillet, à 20 h 30.

L'année 1997 à Hautot-sur-Seine

Paris Normandie du 11 juillet 1997 : La directrice de l’école s’en va

Entourée de nombreux enfants, de parents d’élèves et amis de l’école, d’enseignants et élus des communes voisines, de sa famille et de ses proches, Mme Marie-Josée Alligier, directrice de l’école Maurice Genevoix d’Hautot-sur-Seine, était invitée par la municipalité à fêter son départ en retraite. Une gerbe et des bouquets l’accueillaient au château d’Hautot-sur-Seine.

Mmes Devère et Pinel, déléguées des parents d’élèves, guidaient les enfants qui remirent à leur directrice, en plus de leurs baisers, un cadeau dont elle rêvait depuis trente ans : un voyage au Tyrol. Les parents lurent un message d’amitié et de reconnaissance pour ces vingt trois dernières années passées au service des petits Hautotais. M. Loie, inspecteur de l’Education nationale, retraçait la carrière de Mme Alligier, soulignant le climat de calme et de confiance que reflétait sa classe. Il vanta les mérites de cette petite école rurale, si ouverte au monde, avec pour témoin, entre autres, son journal scolaire, les liens créés entre les écoles de la vallée et les activités communes menées.

Mme Alligier : « Je voulais être institutrice, j’ai été pleinement satisfaite professionnellement et personnellement comblée. J’ai pu contribuer à l’éveil de jeunes personnalités, les aider à conquérir les outils de la culture ». Elle évoqua quelques souvenirs : «  J’ai pu enseigner seule, pendant dix ans, parmi ma trentaine d’élève de six niveaux de ma classe unique, mais aussi les rencontres avec des peintres, des comédiens, des musiciens, avec les anciens de la commune, les sorties culturelles à Rouen, à Paris, les classes de neige, grands moments dont les enfants se souviennent, ayant peut être oublié qu’ils étaient avant tout éducatifs ». Elle présenta le nouveau directeur, qui connait bien l’école pour avoir participé à sa construction. « Demain, je pourrai enfin donner du temps à mes trois filles, être enfin disponible à ma famille. Et je cultiverai mon jardin ».

M. du Boullay, récemment élu maire, rappela l’arrivée de la famille Alligier, à Hautot, en septembre 1974, son installation problématique ‘‘en roulotte’’ et logement rénové, habitable au printemps. Il évoqua l’essor de l’école, passant progressivement de la classe unique à trois classes, s’équipant de nouveaux bâtiments et de services communaux. Citant quelques textes d’enfants  « Je remercie Mme Alligier de m’avoir appris à lire, à écrire, à compter correctement. Elle nous a fait découvrir des activités que nous ne pouvions pas voir dans notre milieu familial. Merci de m’avoir appris tant de choses ».

Le Conseil Municipal du 2 juillet 1997 entérine les travaux de mise en conformité du château, programmés entre octobre 1997 et mars 1998, consistant à la réalisation d’un escalier extérieur. Lors du Conseil Municipal du 17 décembre 1997, un emprunt de 250 000 Fr est contracté auprès du Crédit local de France pour les travaux de mise en sécurité du château.

M. Jacques-André ALLIGIER succède à Mme Marie-José ALLIGIER comme directeur de l’école Maurice Genevoix.

Lors du Conseil Municipal du 10 septembre 1997, le Maire signale que 2 personnes se sont proposées pour le groupe de nez dans l’analyse des odeurs de la société SAIPOL.

Le Conseil Municipal du 17 décembre 1997 est informé que l’ancien site de la décharge a été clôturé par l’Office nationale des forêts (ONF).

Paris Normandie du 10 septembre 1997 : Heureux jubilé pour Elisabeth et Roland Bertin

M. et Mme Roland Bertin étaient reçus, dans la mairie trop petite pour accueillir toute la famille, par le maire, M. Louis Duboulley, entouré de ses adjoints, le samedi 6 septembre, à l’occasion de leurs noces d’or.

Tous deux sont nés à Saint-Martin-aux-Buneaux et ont fréquenté la même école, mais à quatre ans d’intervalle, et sans jamais se rencontrer … Elisabeth, née en 1927, a grandi dans une famille nombreuse. Son père, cantonnier, élève ses enfants avec sévérité. Après l’école, Elisabeth est placée chez l’instituteur, puis chez le boulanger. Elle rencontre pour la première fois Roland à une des rares séances de cinéma organisées dans le pays à la fin de l’année 45. Roland, né en 1923, a quitté Saint-Martin-aux-Buneaux, où son père exerçait le métier de marin pêcheur, pour échapper pendant la guerre au STO, et après avoir changé d’identité, il trouve du travail à Caudebec-en-Caux, chez son futur beau frère. En août 1944, il fit traverser la Seine au maire, pour demander aux Canadiens de cesser leur tir d’obus sur la rive droite, les Allemands ayant quitté les lieux. Puis il doit faire son service militaire, dans la Marine, à Cherbourg, Toulon, Alger et enfin sur le croiseur « Emile-Bertin » ; il est peut-être le seul marin portant son nom sur son béret à pompon rouge ! Il reprend son travail à Caudebec. C’est le 6 septembre 1947 qu’enfin ils peuvent se marier. La difficulté de trouver un logement les conduit jusqu’à Sahurs. Roland travaille d’abord chez Chouard, comme marinier, puis chauffeur de poids lourds. Après la naissance de leur quatrième enfant, une maison plus grande les accueille, toujours à Sahurs, et M. Bertin trouve un emploi plus sédentaire sur le bac de Dieppedalle. En 1972, Elisabeth et Roland entre au service du marquis de Bonneval. En prenant leur retraite en 1985, ils achètent à Hautot, la maison de l’ancien boulanger.

Roland BERTIN (1923-2002) & Elisabeth (MONNIER) BERTIN (1927-2015)

Louis Duboulley leur souhaite longue vie encore avec « un brin de santé », entourés de l’affection de leurs enfants et petits-enfants et leur remet la médaille des noces d’or avec le bel album « Les Voiles de la Liberté ».

Lors du Conseil Municipal du 10 septembre 1997, le Maire signale que 2 personnes se sont proposées pour le groupe de nez dans l’analyse des odeurs de la société SAIPOL.

 

L’Echo d’Hautot n°5 de février 1998 : repas des anciens

La tradition fut respectée avec le repas annuel des « cheveux d’argent » le dimanche 12 octobre au château. C’est vers midi que 45 convives se rejoignirent dans la salle d’honneur : Les anciens, me personnel communal ainsi que les conseillers municipaux. Au nom du CCAS, le Maire et les adjoints présents reçurent les invités. Le repas fut servi par la maison BÉQUET et tout le monde se régala. Après le repas, Valentin et son orgue de Barbarie assurèrent l’animation, plusieurs chansons furent interprétées. Une chorale fut improvisée et on eut même droit à un « french-cancan » endiablé avec les 2 danseuses déguisées : Jacques LAGNEL et Philippe LHOMME. L’après-midi passa très vite et c’est vers 18 heures que la joyeuse assemblée se dispersa. 

 

Le Conseil Municipal du 17 décembre 1997 est informé que l’ancien site de la décharge a été clôturé par l’Office nationale des forêts (ONF).

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31 décembre 1996 2 31 /12 /décembre /1996 05:37

Paris Normandie du 24 janvier 1996 : Deux médailles lors de la cérémonie des vœux

La salle d’honneur du château d’Hautot-sur-Seine a été, comme c’est la tradition, le théâtre de la cérémonie des vœux de la municipalité. Avant de remettre les médailles aux intéressés, Laurent Fabius député-maire de Grand-Quevilly, retraçait brièvement leurs parcours : né à Saint-Martin-de-Boscherville, René Boutin avait déjà pris contact avec la vie communale de son village, en étant déjà au conseil municipal de M. Pierre Baratte, et ce n’est qu’après son mariage avec une Hautotaise qu’il est venu à Hautot-sur-Seine où il a assuré quatre mandats de conseillers, puis d’adjoint, ce qui lui vaut aujourd’hui d’être honoré.

Originaire de la région parisienne, Jacques-André Alligier est arrivé dans la région en 1964, et à Hautot en 1974, titulaire de deux licences et du diplôme de maître des écoles, ce meneur sportif est depuis le secrétaire de mairie, dévoué secrétaire de la commune, lien entre les administrés, l’administration et le conseil municipal. Ce sont tous ces services qui sont récompensés.

Le Conseil Municipal du 6 septembre 1996 décide d’envoyer un courrier à chaque propriétaire de la commune précisant les modalités de pose des numéros des habitations.

Lors du Conseil Municipal du 6 septembre 1996, il est mentionné que le journal local est géré par le comité des fêtes. Le numéro 2 de l’Echo d’Hautot, périodique communal d’informations, d’expression et d’échange est paru en avril 1996.

L'année 1996 à Hautot-sur-Seine

Souvenir de la fête patronale de la Saint Antonin de septembre 1996

Le Conseil Municipal du 25 octobre 1996 est informé de la proposition d’une réponse commune par les Maires de Saint-Pierre-de-Manneville, Sahurs et Hautot-sur-Seine pour le ramassage des déchets ménagers.

L’Echo d’Hautot n°3 de novembre 1996 : repas annuel des « cheveux d’argent »

Le CCAS, comme les années précédentes, a organisé le dimanche 29 septembre 1996, dans le château d’Hautot, le repas des « cheveux d’argent » de la commune auquel étaient invitées les personnes âgées de plus de 60 ans. Ce repas fut animé par un groupe d’accordéonistes, qui sut créer une ambiance sympathique à laquelle les personnes présentes ne furent pas insensibles. La journée s’acheva par un repas improvisé, auquel participa une vingtaine de personnes, dans une ambiance chaleureuse et cordiale. Le CCAS remercie Monsieur le Maire de sa présence (malgré son état de santé et nous lui souhaitons un prompt rétablissement), ainsi que Monsieur Massion, Conseiller Général. Félicitations à M et Mme Béquet, traiteur pour leur excellente prestation ainsi qu’à leur jeune fille, qui eut la gentillesse de porter à domicile un plateau repas à deux personnes âgées qui n’ont pas pu se déplacer. A l’année prochaine.

Photographie parue dans l’Echo d’Hautot n°4 de juin 1997 :

Le dernier repas des « cheveux d’argent » dans la salle d’honneur du château. Au premier plan : Monsieur le Maire Jean-Claude Martel-Baussant et à sa droite, Madame Joséphine Lhomme, doyenne du Village.

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