Le passage d'eau de Caumont relie Caumont bas situé dans l'Eure à la chaussée de Caumont qui limite les communes de Saint-Pierre-de-Manneville et de Sahurs situées en Seine.
Avant la révolution le passage appartenait à Louis d'ESTAMPES marquis de Mauny, seigneur et patron de Barneville, Caumont, St Ouen, la Trinité, Bardouville et la Bouille, seigneur de Thouberville, la Houssaye, Plasne-le-Vivier, Baulieu et Laubrière. Ce seigneur détenait les droits de pêche et de passage entre Mauny et la Bouille.
Ce passage secondaire va concurrencer celui de Val- de-Leux à partir de 1840 et entrainer la fermeture de celui ci en 1870. La largeur de la Seine à Caumont est en 1861 de 178 m.
En 1871 le passage d'eau devient interdépartemental, il est cogéré par les deux départements comme celui du Vieux Port. En 1967 le passage d'eau est fermé. Depuis les riverains continuent à entretenir l'abri situé rive droite en attendant une hypothétique réouverture du passage.
La cale et l’abri de la rive droite
Photographie de Fernande Obselin du panneau de signalisation du bac de Caumont (pour piétons)
Cartes postales anciennes du passage d’eau de Caumont
Jean Pierre Derouard Le Val-des-Leux, Caumont Deux passages d'eau de la basse Seine Abréviations utilisées dans les sources : ADE : archives départementales de l'Eure, ADSM : archives ...
Le bac 26 mesure 26,5 m de long et 9,8 m de large. Il est muni de deux voies de stationnement pour 12 véhicules ainsi qu’un véhicule de secours limité à 16T. La capacité du bac est de 60 passagers.
Inauguration du Bac 25 à Yainville le 14 décembre 2021
En présence de Bertrand BELLANGER président du département de la Seine-Maritime
De gauche à droite : Pierrette CANU, Vice-Président Alain BAZILLE, Jean DELALANDE (Maire de Duclair), Marine CARON Marraine, Le Président du département Bertrand BELLANGER, Bastien CORITON, Gérard LENORMAND (Maire d’Heurteauville), Henri KAZMIERCZAK (1er Adjoint de Yainville), Patrick CALLAIS (Maire du Trait).
Construit par les Chantiers Manche Industrie Marine à Dieppe (76)
Inauguration du Bac 24 à Quillebeuf le 20 avril 2021
En présence d'Hervé MORIN président de la Région Normandie et des présidents des départements de l'Eure et de la Seine-Maritime Pascal LEHONGRE et Bertrand BELLANGER, de mesdames les Maires de Port Jerôme Virginie CAROLO, de Quillebeuf Carine BOCQUET, de Catherine MORIN-DESAILLY Sénatrice de Seine-Maritime.
Construit par les Établissements Merré à Nord-sur-Erdre (44)
Mis à l’eau le 14 décembre 2019 et baptisé le 3 juin 2020 à Saint-Nazaire
Marraine : Virginie CAROLO-LUTROT (Maire de Port-Jérôme-sur-Seine)
Le Bac 24 est d’une longueur de coque de 40 m, d’une largeur de 11,20 m et d’un poids d’environ 340 tonnes. Le Bac 24 peut accueillir 145 passagers, 27 voitures et 2 poids lourds. Son coût s’élève à 6 M€. Il a été financé à hauteur de 1,21 M€ par la Région Normandie, le reste étant réparti à part égale entre les Départements de la Seine-Maritime et de l’Eure, soit 2,4 M€ pour chaque collectivité.
Le bac n°11 a été construit aux chantiers Ziegler de Dunkerque. C'était un bac maritime, équipé de moteurs Diesel, d'une longueur de 38,4 mètres.
Cartes postales du bac n°11 prises de la rive droite
Maquette d’Eric Delisle du bac n°11 et du café du passage
Photographies de Fernande :
traversée de la Seine en 1965 à bord du bac n°11
Carte postale du bac n°11 prise cale de La Bouille
Le bac a été transformé en une barge pour des travaux sous marins sous le nom de « La Perla » en service chez la société TRASOM du Havre (source de l’information : Eric et Thomas).
Photographie de Michael Joey Coloma
Photographies de La Perla d'Eric Delisle prises en face de Yainville
Photographies de La Perla par Parsifal 36 sur http://rouenbeforeafter.canalblog.com/
Le passage d'eau se situait rive droite à Sahurs à hauteur de l’église Saint Sauveur et du château de Trémauville, sur la rive gauche à hauteur du château de la Vacherie.
Dessin de Constance Delapierre épouse de Louis Lézurier datant d’environ 1806
Photographie prise en face de l’église de Sahurs le 1er décembre 1896
La barque devant l'église de Sahurs peint par Narcisse Guilbert de l’Ecole de Rouen
Le château de la Vacherie à Moulineaux rasé vers 1960-1963
Le château des marquis de Trémauville à Sahurs
Moulineaux - 7 juin 1936 : Rive gauche. Surélévation de la digue.
Vues prises de la rive droite, on aperçoit le château Robert le Diable surplombant Moulineaux
Vues prises de la rive gauche, on aperçoit l’abri piéton et la cale de la rive droite
Tableau de Franck Innocent (collection MC Bussy) les installations de la rive gauche
Photographie couleur de Fernande Obselin du château de la Vacherie, peu avant sa démolition, prise de la rive droite avec le panneau BAC DE SAHURS POUR PIETONS
La cale de Trémauville sur la rive droite en 2008, puis en 2017
Le passage piéton de Trémauville entre Sahurs et Moulineaux a été fermé en 1968.
Instauration d’une pause méridienne pour les bacs maritime à partir du 1er janvier 2008
A partir du 1er janvier 2013un dernier bac est ajouté à 23h50 au départ de Duclair et à minuit au départ de Berville
LES EMBARCATIONS SUCCESSIVES
En attendant le bac à vapeur à Duclair
En attendant le bac n°6 à Duclair
Le bac n°6 a été en service à Duclair de 1930 à 1960. Construit à Saint Nazaire, il mesure 46,80 mètres de long et peut embarquer une douzaine de véhicules. Lors de son voyage de Saint Nazaire à Duclair il rompit ses amarres lors d'une tempête, un cargo anglais le remorqua à Guernesey.
Lors de la libération de la Ville de Duclair en août 1944, le bac n°6 est échoué rive droite, Il est renfloué en novembre 1944.
En attendant le Marmotte à Duclair
Le bac n°6 est coulé en août 1944. Il est alors remplacé par La Marmotte un remorqueur à vapeur, puis par la suite il y a le Tanac 69 qui est un bac canadien à moteur.
22.5.1970 Stapellauf xx.1970 - 1999 Duclair - Berville sur Seine 1999 - ca. 2021 Seine (Reserveschiff) 2017 Motoraustausch soll 2021 ausrangiert werden, Abbruch vorgesehen ??
2000 - 2016 / Frühjahr 2017 Duclair - Berville sur Seine / Seinenach vielen Pannen 2016 außer Betrieb genommen-> 2019 nach Irland verkauftaufliegend New Ross, River Barrow, Irlandab 11.2021 in ...
En 2017, le bac 21 de Duclair est désarmé en raison des frais engendrés par les nombreuses pannes. Le bac 23 est transféré de Quillebeuf à Duclair. Le bac 23 a été construit en 2010 par la SOCARENAM de Boulogne-sur-Mer. Sa longueur est de 60,7m et sa largeur de 18,5m. Il a quatre moteurs diesel Caterpillar de 450Cv entrainant chacun un propulseur Voith-Schneider. Il peut contenir 200 Passagers et 28 Voitures.
6.11.2022 at the Yainville workshops - bac n°23 - 05.12.2021 in Duclair Bac 23 in Duclair 30.4.2021 Bac 13 und Bac 23 - März 2021 in Duclair Quillebeuf - Port Jérôme 20.9.2016 Quillebeuf - Port...
Extrait du commentaire d’Elisa du 30/01/2008 : Le Conseil Général devrait aussi se pencher sur la problématique posée par les pannes vis à vis des enfants qui prennent le car. Les lycéens sont déposés, par le car, le mercredi à Duclair. Aujourd'hui, il y a un tronc d'arbre qui bloque le bac, il n'y a pas donc pas eu de correspondance avec le car de la presqu'île. Pourquoi les conducteurs ne se sont-ils pas appelés pour se donner rendez-vous au bac de Mesnil/Jumièges, comme pour le samedi ? Les lycéens sont donc dans Duclair en ce moment (heureusement qu'il ne pleut plus). Selon les autorités "les jeunes traînent", on fait comment lorsque l'on habite "de l'autre côté de l'eau" ? Nous prenons nos responsabilités, que le CG y mette un peu du sien. Il y a un manque de communication flagrant.
Extrait du commentaire de GP du 02/02/2008 : Quand le bac n° 21 tombe panne : tout disjoncte en plein milieu de la Seine. Il était entraîné par le courant, et il dérivait vers Rouen. Il a essayé de s'amarrer au bac 14 lui-même amarré à Berville. Mais rien à faire, il continuait à dériver. Il a enfin fini par jeter l'ancre. On est resté près de 45 minutes en Seine à la merci du premier bateau qui passe !!! C'était le bac de 15h à Duclair, le dernier avant la pause à cette période. On est arrivé à Berville à 15 h 45 !!!
Commentaire de Glabeach du 26/07/2010 : Pas besoin d'être étonné pour cette nouvelle galère, le bac 21 est encore en rideau, un problème de culasse selon mes sources. Le 23 (celui qui est tout neuf et qui devait être mis en service en juillet) est dans le dock flottant pour réparation. Je rappelle ici que c'est le même chantier qui a construit le 21 et le 23, ce qui prouve que les commanditaires ne sont pas rancuniers, à moins que... oh non, ça n'existe pas. Le bon vieux 14 a donc repris du service et le fait assez bien ma foi. Certains usagers sont toujours aussi égoïstes, veules, resquilleurs, agressifs ou inconscients selon le modèle. Le week-end du 18 juillet, j'ai pu voir des enfants sur la cale de Duclair alors que le bac accostait, les parents ne disaient rien malgré mes avertissements, ignorant probablement qu'un bac pouvait girer sans prévenir, fauchant ainsi les enfants avec son tablier. Un autre inconscient ayant engagé trop avant son véhicule, la Seine étant haute, le tablier du bac avançant au niveau de la route, s'est étonné que ledit tablier soit venu heurter son pneu avant droit. Le conducteur s'en est pris verbalement au capitaine du bac qui est descendu de son poste pour lui expliquer son fait. Un bac n'est pas une voiture, il est tributaire des marées, du courant, de ses moteurs, il n'a pas de frein le bac. Voilà ce que l'on peut voir en prenant le bac de Duclair à Berville (et ailleurs assurément).
Commentaire du Julien du 02/04/2011 : Bonjour, Je prends le bac de Duclair de temps à autres ainsi que les autres bacs de seine. Pour mon avis, les gens qui râlent après les bacs sont des gens qui ne sont pas très patients et qui ne savent que râler certes attendre 30 minutes peut paraitre long après une journée de travail mais on peut facilement trouver quelque chose à faire en attendant comme par exemple prendre un livre ou se balader sur le quai (quand il fait beau !) mais croyez-vous que la solution c'est d'insulter ou de faire des reproches aux personnes qui travaillent sur les bacs ? Personnellement je ne pense pas. En plus ça ne sert à rien à part à provoquer des conflits. D'autre part la ville de Duclair a toujours eu un bac ce qui fait en plus un charme à la vallée de seine. Pensez-vous vraiment que mettre un pont à la Fontaine serait une solution cela voudrait dire plus de bac et plus de charme sur la vallée de seine. Evidemment certaines personnes diront " Au moins il n'y aurait plus d'attente" mais que faites-vous de la beauté de la vallée de seine qui est quand même un atout pour la seine maritime ? D'autre part qui dit pont dit argent et des démolitions éventuelles de maisons que faites-vous des familles qui se retrouveront dehors... La vallée de seine est belle c'est à nous de savoir la préserver avec ses bacs et ses files d'attente qui ne sont tout de même pas interminable. La critique est facile mais que pensez-vous que les gens qui travaillent sur le bac feront quand ils ne seront plus là ? Cela fera encore du chômage en plus mais pour certaines personnes ce n'est pas grave ça... Donc mon point de vue est très simple PRESERVER LES BACS DE SEINE LE PLUS LONGTEMPS POSSIBLE MËME SI CELA DERANGE CERTAINES PERSONNES QUI NE SONT PAS ASSEZ PATIENTS, CALMES ET COMPREHENSIFS POUR ATTENDRE. A bon entendeur salut.
Commentaire de Habitant de Bardouville du 22/04/2011 : Bonjour, Je souhaite vous raconter ma ptite histoire vécue hier soir : nous décidons d'aller voir des amis sur le Trait, à l'allée aucun problème, le bac est la et à l'heure. Pour le retour ça n'est pas la même chose : nous devions prendre le bac de 22h30 le dernier côté Duclair, nous arrivons à 22h20 et là pas de Bac, pourquoi ? nous ne savons toujours pas, était il en panne ? Aucun message sur le panneau d'affichage, même pas un ptit message manuel... Donc obligé de faire le tour pour rentrer chez nous, ce qui nous a fait perdre 45 minutes, et nous avons parcouru 45 km pour rejoindre notre maison. C'est vrai nous ne payons pas assez cher le carburant et nos impôts servent à un Bac sur lequel on ne peut jamais compter !!! Notre foncier perd de sa valeur, notre vie est fonction du Bac, notre travail peut être en sursis, mais ça tout le monde s'en moque ! Je me demande si un jour nous aurons des réponses satisfaisantes pour palier à la seine qui EN 2011 est encore une grosse contrainte....
Commentaire de Bruno du 24/04/2012 : Bonjour au cours d’une balade moto j'ai pris le bac enfin on était 60 motos quand même et je pense que le capitaine de ce jour 8 avril 2012 devait pas aimer les motos au vu de son accostage brutal sur la rive coté Duclair mettant au sol 15 moto sur 60 c'est un beau score quand même peut-être fait-il un concours ou alors peut-être une mauvaise manœuvre ce qui peut arriver mais dans ce cas-là. Celui-ci aurait pu descendre de son perchoir et s'excuser mais visiblement non alors je compte sur le chef du bac pour mener son enquête et j’aimerais obtenir un rendez-vous afin d 'en parler et obtenir réparation des frais sur les motos les plus touchées. Je compte sur votre professionnalisme Mr le chef du bac pour faire votre enquête et me contacter afin de convenir d'un rendez-vous avec les personnes touchée et organisateurs car les dégâts sur une moto se chiffre vite à des sommes importantes. Par avance merci. Bruno motard
Assemblée Générale des usagers des bacs de Seine du 15/12/2017 à Duclair : A l’initiative de Martial Murray, Président de l'association des usagers des bacs de Seine, une réunion se tient à Duclair suite à tous les dysfonctionnements sur le bac de Quillebeuf et les autres bacs de Seine, qu'ils soient Fluviaux ou Maritime, depuis plusieurs mois.
Paris Normandie de décembre 2017 : Duclair : les usagers du bac sont en attente
Vendredi dernier, dans une salle du Clos Bolard archi-comble, les usagers de la rive gauche sont venus en nombre faire remonter leurs doléances aux responsables du Département, représentés par Alain Bazille, vice-président en charge des bacs et passages d’eau, accompagné de Jean-Pierre Lucas, directeur général adjoint des mobilités. Martial Murray, président de l’association des usagers des bacs, a ouvert la séance par la nomination d’une nouvelle secrétaire, en charge de faire remonter les problèmes des riverains. La construction d’un nouveau bac 24 se précise. Le président a ensuite dressé les résultats obtenus par l’association des usagers des bacs avec l’arrivée d’un atelier de réparation à Yainville, la création d’inforoute www.inforoute76.fr pour les renseignements sur la disponibilité des bacs, etc. Ensuite, la parole a été donnée à l’assemblée pour une discussion très animée et très remontée de la part des usagers suite aux nombreuses suspensions des passages d’eau. Ces avaries successives des bacs ont des conséquences très importantes pour les entreprises et sont très difficiles à gérer pour les familles des 130 collégiens de la rive gauche qui doivent effectuer des passages par le pont de Brotonne quand le bac est à l’arrêt. L’assistance a également fait remarquer le manque de prévisions face aux difficultés rencontrées avec le bac 21 (grand bac blanc) et la non-prévision de son remplacement par la mise en chantier d’un nouveau bac dont les délais sont au minimum de dix-huit à vingt-quatre mois pour la construction. Alain Bazille a très bien compris le message et donné des nouvelles précises sur la construction d’un nouveau bac 24 pour Quillebeuf-sur-Seine. Il sera opérationnel fin 2019 ou début 2020 et la commande de deux bacs fluviaux, capables d’assurer le remplacement des bacs 23, à Duclair, et 24, à Quillebeuf-sur-Seine, lors des contrôles de sécurité indispensables du cabinet Véritas tous les deux ans et des réparations d’entretien des bacs transportant des usagers.
Assemblée Générale des usagers des bacs de Seine de 17/01/2020 à Duclair : Lors de cette assemblée générale les responsables du Conseil départemental évoquent la prochaine mise en service du nouveau bac de Quillebeuf-sur-Seine. L’association des usagers des bacs réclame un service minimum lors des jours de grève pour les scolaires, matin et soir, et les piétons.
Vernissage du 20 juillet 2019 de l’exposition de maquettes de bacs par Eric Delisle et de cartes postales par Maurice Lanos.
Jean Delalandre a rappellé que « le bac de Duclair est une particularité de la Ville, il est un des éléments de son identité, de plus les embarcations font parties de notre quotidien et c’est une vraie chance pour les duclairois de vivre aux bords de Seine et de pouvoir bénéficier chaque jour de ce cadre de vie agréable ».
Éric Delisle confectionne des maquettes de bacs plus vraies que nature, un travail impressionnant par sa rigueur et sa précision. Maurice Lanos, est un collectionneur aguerri, en effet ses 51 années de recherche et de collecte lui offre un large panel de collections, il est en effet capable de proposer de nombreux thèmes d’exposition.
Photographie avec panneau de péage de Pierre Coquil
Paris Normandie du 15 août 2011 : L'homme des deux rives
Eric Lefebvre passe sa vie sur la Seine. Sur le bac 19, il voyage de Dieppedalle au Grand-Quevilly. Il poursuivra sa carrière sur le bac de la Bouille.
Photographie de Fernande Obselin
Vue aérienne de 1957 des installations de Grand-Quevilly
Vue aérienne de 1990 des installations de Grand-Quevilly
Les horaires du Bac de Grand-Quevilly
LES EMBARCATIONS SUCCESSIVES
Le bac avec son canot à moteur à Grand-Quevilly avant-guerre
Le bac n°19 a été mis en service en 1976. C'est le cinquième bac fluvial commandé par le Port Autonome de Rouen mis en service entre 1973 et 1976. Il assure la liaison entre la Ville de Canteleu (Dieppedalle) sur la rive droite et la Ville de Grand Quevilly sur la rive gauche.
Thomas Cribelier le 25/08/2012 : « Le bac remorqué aurait pu rester plus longtemps en service. Le BAC N°19 avait, à l'origine été construit pour remplacer le BAC N°9 à La Mailleraye après l'ouverture du pont de Brotonne. Mais les élections et les changements au sein des municipalités ont fait avorter ce projet. »
Photographies de Nicolas Rouly Président du Département de Seine Maritime de 2014 à 2015
Photographies du 6 juin 2019 du Marco Polo pendant l’Armada
Le bac n°20 a été mis en service en 1988. Construit par Villeneuve La Garenne. C'est un bac fluvial d'une capacité de 12 véhicules. Il a remplacé le bac n°11. Il est remplacé en 2022 par le bac n°26. C'est le bac de Seine le plus photographié.
La vie de tous les jours prise en photo. Passionné de photo, d'histoire et de modélisme, ce blog vous permettra d'allier culture et loisir. Je recherche également à ...
Souvenir d’Hautot de Constance Delapierre datant d’environ 1806, on distingue le château d’Hautot-sur-Seine et l’église Saint Antonin.
Conseil municipal d’Hautot-sur-Seine du 9 novembre 1845 : Dans la même séance, le Maire a annoncé au conseil au conseil que l’établissement d’un débarcadère au bout de la chaussée de Hautot sur Seine demandé par le conseil municipal dans sa séance du mois de mai dernier est autorisé. Le Maire a proposé au conseil municipal de voter une somme de cinquante francs à prendre sur les fonds de l’exercice 1846 pour être employée à l’établissement du dit débarcadère en lui annonçant qu’il sera pourvu à l’insuffisance de cette somme par une souscription de plusieurs habitants qui reconnaissant l’importance pour la commune de ce débarcadère. Sur quoi le conseil ayant délibéré et les voix ayant été recueillies, et a décidé à l’unanimité qu’une somme de cinquante francs sera prise sur l’exercice de 1846 pour concourir aux frais de l’établissement du débarcadère au bout de la chaussée de Hautot, fait et signé les jour mois et an susdits.
Madame Trugard de Maromme (1773 - 1860), qui possède une maison de campagne à Hautot-sur-Seine, évoque dans ses « Radotages » la barque à Zacharie Au recensement de 1851, on trouve Zacharie LEMIRE profession de « passager » âgé de 67 ans, c'est-à-dire le passeur. Né le 20/01/1784 à Grand-Couronne, c’est un ancien marin, veuf remarié en 1835 à Rosalie Duramé, il décéde à Hautot-sur-Seine le 15/04/1860.
Conseil municipal d’Hautot-sur-Seine du 21 juin 1885 : Passage d’eau d’Hautot
Après avoir pris communication de la lettre préfectorale du 22 avril 1885, le Conseil municipal a l’honneur de remercier Monsieur le Préfet de l’avoir consulté à l’occasion de l’affermage du passage d’eau de Grand Couronne et de son annexe située à Hautot-sur-Seine, et il s’empresse de lui répondre qu’il tient beaucoup à ce passage qui abrège sensiblement le chemin pour se rendre au chef-lieu de canton avec les rapports sont fréquents et indispensables en raison des ressources qu’on y trouve en ouvriers et provisions de tout genre, et enfin pour se rendre à la Justice de Paix et aux gares de Grand-Couronne et de Moulineaux.
Une étude a été faite récemment pour relier ce passage à la route nationale par un chemin carrossable à travers les prairies ; ce qui prouve l’utilité d’une voie de communication ; mais la dépense élevée en a fait ajourner l’exécution jusqu’à ce que le Département soit assez riche pour le faire. Le Conseil promet que les travaux projetés pour le remblaiement sur bas-fonds de Couronne et de Moulineaux régularisant en cet endroit le cour de la Seine, permettant la construction d’un quai qui, comme on le dit, servirait de débarcadère pour les marchandises destinées à la ville d’Elbeuf ; ce chemin et passage deviendrait alors indispensables.
Messieurs les ingénieurs avaient été mal renseignés en disant que ce passage ne servait pas et il est regrettable qu’ils ne se soient pas adressés aux habitants de Hautot qui sont les plus intéressé à la question, et le plus apte à leur répondre. On leur aurait dit que ce passage était très fréquenté pendant de longues années quand il y avait pour faire le service un homme valide et un bateau convenable et si depuis quelques temps on n’a pas tenu la mai à ce que fermier principal continua à remplir les engagements que lui impose le cahier des charges, c’est parce qu’on a eu égard aux réclamations qu’il a fait en raison du tord que lui causait le chemin de fer d’Orléans ; il serait très fâcheux que la concession qui lui a été faite par humanité et pour son intérêt personnel, privât indéfiniment la commune de Hautot, de Saint-Pierre-de-Manneville et une partie de celle de Sahurs d’un chemin et passage qui leur est si utile (1).
En conséquence le Maire et les Conseillers municipaux de Hautot-sur-Seine comptant sur l’esprit de justice de Monsieur le Préfet pour leur conserver ce passage.
‘(1) Il doit encore y avoir erreur tant l’allégation sur l’absence de terrain de débarquement sur la rive gauche attendu que l’endroit du débarquement actuel appartient à l’Etat et est en communication avec le chemin de la douane qui permet de se rendre au chef-lieu de canton et aux gares de chemin de fer.
En 1886 le passeur d’Hautot-sur-Seine est aussi abonnataire du fanal de l’île aux Oiseaux et employé au service des bateaux de Bouille.
Journal de Rouen du 1er mai 1908: Le passage d’eau d’Hautot-sur-Seine
On nous écrit : Rouen, 30 avril. Monsieur le Directeur du Journal de Rouen,
Je crois devoir signaler à l’autorité compétente le cas du passage d’eau d’Hautot-sur-Seine à Grand-Couronne. Il arrive fréquemment que des voyageurs arrivant par la gare de Grand-Couronne sont obligés d’attendre quelques fois plusieurs heures et souvent sont même obligés d’aller passer la Seine au Val-de-la-Haye ou à Moulineaux. Dimanche dernier, le cas s’est présenté pour un ouvrier venant de Rouen. Fatigué d’attendre, il est allé jusqu’à Moulineaux. De plus, après 4 h.45 du soir, pourquoi n’y a-t-il plus de passeur. Y a-t-il un règlement spécial pour cette petite commune, ou bien veut-on tout simplement faire perdre à tous l’habitude de passer à cet endroit ? Veuillez agréer, etc.
A. CORBRAN, Voyageur, 13, rue Beffroi, Rouen
Journal de Rouen du 31 décembre 1908 : le passage d’eau ?
HAUTOT-SUR-SEINE - On nous écrit : « Au mois de mai dernier, j’ai lu et approuvé de tout cœur la réclamation qui avait été faite dans votre estimable journal au sujet du passage d’eau d’Hautot-sur-Seine. Tout le monde était satisfait de la légère amélioration apportée au service du bac et cela marchait à peu près. Le passeur est décédé le 27 novembre. Or, depuis cette date, la commune d’Hautot est privée de communication avec l’autre rive. Le fermier du passage d’eau de Grand-Couronne est cependant tenu par le cahier des charges de fournir un homme et une barque au passage d’eau d’Hautot-sur-Seine. Qu’attend-il donc pour cela ? Est-ce que la réclamation du conseil municipal resterait lettre morte ? UN DE VOS ABONNÉS »
Le passeur décédé le 27 novembre 1908 est à identifier.
Conseil Municipal d’Hautot-sur-Seine du 29 mai 1910 : Passage d’eau de Hautot à Grand Couronne.
Le Conseil considérant qu’à la date de ce jour le passeur d’Hautot à Grand-Couronne, lequel est tenu aux termes de son cahier des charges de faire le service régulièrement, a refusé de passer une personne aux heures réglementaires, et que ce fait se répète souvent. Emet le vœu que l’Administration prenne les mesures pour assurer ce passage et pour obliger le fermier à faire son service.
Gaston PICARD (1864-1924) passeur autour de 1921
Souvenir de Fernande Obselin : Au sujet du nom PICARD, j’ai connu un Gaston Picard qui était passeur au passage d’eau d’Hautot-sur-Seine, passage avec une barque à rames. J’étais enfant. (Quelques précisions obtenues plus tard). Il s’agir de Gaston Gustave Edouard Picard, né le 29 août 1864 à Rouen, fils de feu Stéphane Désiré et de Rose Honorine Marchand, domiciliée à Rouen, rue de Buffon, 2. Il fut dispensé du service militaire étant fils unique de veuve. A accompli une période d’exercice dans le 239° Régiment d’Infanterie, du 30 sept. Au 27 octobre 1895 (il avait donc 31 ans). C’est à Rouen qu’il mourut à l’ex-Hospice général appelé maintenant Hôpital Charles Nicolle. Il avait fait des études secondaires, chez les Frères de la rue St Gervais, je crois.
Acte de naissance de Gaston Gustave Edouard PICARD à Rouen le 29 août 1864 : Du trente août mil huit cent soixante-quatre, à deux heures et demie après midi, acte de naissance de Gaston Gustave Edouard PICARD, du sexe masculin, à nous présenté, né hier, à cinq heures après midi au domicile de ses père et mère, rue de Buffon, fils du sieur Stéphanie Désiré PICARD, âgé de quarante-quatre ans marchand de grains et de Rose Honorine LEMARCHAND, âgée de trente-sept ans, mariés en cette ville le vingt et un octobre mil huit cent quarante-sept. Etc. Etc.
Son pèreStéphanie Désiré PICARD, fils de Nicolas Benjamin Désiré PICARD et de Marie Barbe FLEURY, né le 19 janvier 1820 est décédé le 13 avril 1883. Selon le relevé de sa pierre tombale fait en 1962, il fut bon époux et bon père. Selon la fiche matricule Gaston PICARD de 1884 n°193 de Rouen nord, il habite Hautot-sur-Seine depuis 1899 Au recensement de 1906 Gaston PICARD vit aux Terres-Quemines avec sa mère Rose LEMARCHAND.
Acte de décès de Rose Honorine LE MARCHAND à Hautot-sur-Seine le 30 juillet 1906 : L’an mil neuf cent six, le trente et un juillet à huit heures du matin. Acte de décès de LE MARCHAND Rose Honorine, propriétaire, âgée de soixante-dix-neuf ans, décédée hier, à huit heures du soir, à son domicile en cette commune où elle est née le deux août mil huit cent vingt-six, fille de feu LE MARCHAND François Théodore (*) et de feue HUBLÉ Catherine Rosalie, veuve de PICARD Stéphanie Désiré, avec lequel elle avait contracté mariage en la mairie de Rouen, le vingt et un octobre mil huit cent quarante-sept. Sur la déclaration à nous faite, par les sieurs PICARD Gaston, sans profession, âgé de quarante et un ans, domicilié en cette commune, fils de la défunte, et HODAN Dominique, instituteur, âgé de quarante-trois ans, domicilié à Sahurs, de ce département, ami de la défunte. Lesquels ont signé après lecture faite le présent acte qui a été fait double en leur présence, et constaté suivant la loi ainsi que par nous maire de la commune de Hautot sur Seine remplissant les fonctions d’officier public de l’Etat civil. (*) adjoint au Maire de 1844 à 1853 & médaillé de Sainte-Hélène en 1857.
Il est libéré du service militaire en 1910. Il est pontonnier sur la liste électorale de 1913.
C’est au recensement de 1921 que Gaston PICARD apparait avec la profession de passeur, cette année là Fernande OBSELIN a 12 ans. Cela corrobore ses souvenirs. Gaston PICARD habite L’OSIER, c’est-à-dire qu’il est domicilié dans la cabane du passeur.
Gaston Gustave Edouard PICARD est décédé à l’Hospice général de Rouen le 31 août 1924. Le trente et un août mil neuf cent vingt-quatre, deux heures, est décédé rue de Germont, 1, Gaston Gustave Edouard PICARD, né le vingt-neuf août mil huit cent soixante-quatre à Rouen, journalier, domicilié à Hautot-sur-Seine (Seine-Inférieure), fils de Stéphanie Désiré PICARD et de Rose Honorine LEMARCHAND, époux décédés. Etc. Etc.
Journal de Rouen du 19 juin 1925 : Vol d’une barque
Une barque appartenant à la commune d’Hautot-sur-Seine, et se trouvant à sec au passage de cette commune, a été mise à l’eau par un nommé Lemonnier, domestique chez M. Besnard, à Sahurs. L’inculpé étant monté dans cette barque sans avirons est allé, poussé par le courant s’échouer au passage de Moulineaux, où il a été secouru dans la situation périlleuse où il se trouvait par M. Scalat, passager. Interrogé par la gendarmerie, il a déclaré avoir pris cette barque dans le simple but de se rendre à Moulineaux chercher du tabac et des allumettes. L’inculpé ne parait pas jouir de la plénitude de ses facultés mentales.
Au recensement de 1926, le passeur d’eau est Ismaël BILLARD, né à Petit-Couronne en 1898. Il habite Le Rouage avec son épouse Suzanne DELANIS et son fils Ismaël né à Petit-Couronne en 1923. Son fils sera après-guerre passeur à Petit-Couronne. Il décède à Heurteauville en 1986.
Journal de Rouen du 22 janvier 1929: Le passage d’eau
Un de nos lecteurs se plaint du peu de bonne volonté du passeur de Hautot-sur-Seine à Grand-Couronne. Ce matin 20 janvier, ayant besoin d’aller de Grand-Couronne à Hautot-sur-Seine, j’ai dû remettre à un autre jour mon excursion, après avoir sonné une dizaine de fois et attendu vainement de 8h. 45 à 9h. 20. Une attente aussi longue au bord de la Seine par cette température n’a rien de bien attrayant.
DUVRAC, passeur d'Hautot-sur-Seine, photographié en 1939
Photographie du débarcadère du bac d’Hautot sur Seine prise vers 1942
Photographie de Fernande Obselin prise le 26 mai 1959
Paris Normandie du 7 décembre 1960 : Le passeur d’Hautot-sur-Seine se noie
7 décembre 1960. Drame au passage de la Seine Hautot-sur-Seine - Grand-Couronne assuré par une petite vedette pouvant transporter une quinzaine de personnes. L’un des passeurs, M. Lefebvre, à la suite d’un choc provoqué par l’ancre qui s’était accrochée, fut en effet projeté dans le fleuve. Il nageait furieusement contre un fort courant, bien qu’il fut habillé et chaussé. L’un de ses compagnons, sautant dans une barque, se rapprochait de lui lorsqu’il coula à pic. Il était marié et père ce cinq jeunes enfants.
Acte de décès de Roland Célestin Isidore LEFEBVRE à Hautot-sur-Seine le 18 /01/1961 :
Le dix huit janvier mil neuf cent soixante et un, nous avons constaté le décès remontant au six décembre mil neuf cent soixante de Roland Célestin Isidore LEFEBVRE, domicilié à Sahurs (Seine Maritime), né à Canteleu (Seine Maritime), le vingt deux mai mil neuf cent vingt neuf, passeur, fils de Célestin Léon Emile Georges LEFEBVRE, passeur, et de Marthe Odette LEBLOND, sans profession, époux domiciliés à Sahurs (Seine-Maritime) époux de Jacqueline Jeanne Marthe HUSSON. Le corps a été retrouvé à douze heures vingt à Hautot-sur-Seine, en Seine, au passage d’eau. Dressé le dix huit janvier mil neuf cent soixante et un, quatorze heures sur la déclaration de Célestin Léon Emile Georges LEFEBVRE, cinquante cinq ans, passeur, domicilié à Sahurs (Seine Maritime) père du défunt qui lecture faite a signé avec nous Georges POULLARD Maire de Hautot-sur-Seine.
En 1972 Mr LEFEVRE passeur du bac d’Hautot pendant vingt ans part en retraite. Célestin LEFEBVRE décède à Rouen le 26 décembre 1972 peu après son départ en retraite. Né à Tancarville en 1905, il est charpentier avant de devenirpasseur d'eau à Hautot-sur-Seine.
Le passage d'eau d'Hautot-sur-Seine a été le dernier passage d'eau pour piétons et cycles en aval de Rouen. Localement il était connu comme étant la barque à Tintin.
Lors le Conseil Municipal du 17 janvier 1987 le Maire annonce la suppression du passage piéton d’Hautot-sur-Seine qui se poursuit grâce à son intervention jusqu’à la fin du fermage.
La Bouillote n°3 de mai 1990 : Témoignage de Maurice SIMON remplaçant polyvalent
Monsieur Maurice Simon du parle du passage d’eau autrefois. C’est le régional de l’étape puisqu’il habite Sahurs où il remplit d’ailleurs les fonctions de Maire-adjoint. L’eau, c’est son milieu, il travaille sur la Seine depuis 28 ans. J’ai travaillé 25 ans au passage d’eau Hautot-sur-Seine - Grand-Couronne, on peut dire que je suis le dernier rescapé des passages d’eau à fermage ; anciennement, tous les passages d’eau étaient à fermage, même celui de la Bouille il y a une centaine d’années. C'est-à-dire que le département établissait un contrat de 5 ans avec un artisan qui assurait le service du passage d’eau. Le matériel lui étant fourni, l’artisan avait à sa charge l’entretien, le carburant et le salaire des ouvriers qu’il employait. Le passage d’eau d’Hautot-sur-Seine était un passage piéton-cycle. Il était gratuit. Il y avait trois passages par jour : un le matin, un le midi, un le soir. Après 16 ans de fermage, le bac a changé de statut, alors, j’ai travaillé avec un patron (capitaine de bac) toujours sur la vedette d’Hautot et ceci pendant 9 années. Ensuite le passage d’eau a été supprimé. J’ai connu les dernières vedettes. J’avais 5 ans, la cale de la Bouille était en face de l’église et un peu plus en aval à Sahurs. La vedette de la Bouille sortait de sa cale à reculons et faisait demi-tour pour traverser, les vedettes n’avaient qu’un seul sens de marche. Depuis la cale a changé d’endroit, les vedettes ont disparu, la Seine a été élargie, une trentaine d’hectares ont été ponctionnés sur la commune de Sahurs entrainant la destruction de fermes et de maisons. Par le passé, le bac c’était la vie des deux communes, l’absence de commerces, de pharmacie à Sahurs amenait tout naturellement ses habitants à pendre le bac pour se rendre à La Bouille. Aujourd’hui, le bac contribue toujours à l’animation des deux communes et leur donne un charme particulier : qui n’a pas pris plaisir à effectuer la traversée simplement à pied pour se donner un petit air de vacances et jouir du paysage imprenable vu du bac.
Maurice SIMON, natif de Sahurs le 11 janvier 1934, est décédé le 22 avril 2005 à l'âge de 71 ans.
Article d’Alain Langlois paru dans le n°9 d’Infos d’Hautot-sur-Seine en 2005
Journal de Sahurs n°76 de l’automne 2011 : inauguration du stade Maurice SIMON
Samedi 3 Septembre, les amis et la famille de Maurice SIMON étaient réunis pour l’inauguration du stade municipal qui porte dorénavant son nom. Enfant de SAHURS, Maurice SIMON a été pendant près de 60 ans un acteur important du monde footballistique de notre boucle. Successivement joueur (il a joué dans le club de SAHURS dès sa création en 1945), puis Vice-président et enfin Président du club, Maurice SIMON a toujours fait preuve de gentillesse, de respect des autres, de droiture et d’un grand dévouement. Après que la plaque portant son nom ait été dévoilée, un pot de l’amitié a clos cette sympathique manifestation qui a réuni un grand nombre d’habitants de Sahurs et des autres communes de la boucle.
Bouée du bac d’Hautot-sur-Seine
(Collection du Parc naturel régional des Boucles de la Seine Normande)