Suite aux difficultés rencontrées pour organiser une nouvelle édition et au souhait de retrait de certains villages, il n’y a pas eu d’Intervillages en 2013 et 2014. En 2014, les villages se sont mis d’accord pour une nouvelle formule se déroulant sur une journée le dimanche 14 juin 2015 à Saint Pierre de Manneville, avec un nombre d’activités réduit à 14 et un pique-nique le midi sous forme de repas des voisins. Le thème retenu est « la Normandie ». Le programme comprend les épreuves d’athlétisme enfants, de pétanque, de baby-foot, de tennis de table, de trivial-poursuit, de fléchettes, de dominos, de manille, de cyclotourisme, de lancer d’œufs et les jeux de questions.
C’est sous un soleil resplendissant que l’équipe de Val de La Haye-Hautot a remporté le trophée « week-end sports et culture » lors de cette édition de ces jeux intercommunaux, organisée par Saint-Pierre-de-Manneville, dimanche 14 juin 2015.
Journal de Sahurs n°91 de l’été 2015 : C’est sous un soleil resplendissant que l’équipe de Val de La Haye-Hautot a remporté le trophée «week-end sports et culture» lors de la 26ème édition de ces jeux intercommunaux, organisée par Saint-Pierre-de-Manneville, Dimanche 14 juin. Malgré le peu de participants Salhuciens, la commune de Sahurs se retrouvait en 2ème position à l’issue de l’ultime épreuve des questions. Mais, il faut avouer que les questions portant sur le thème de la Normandie étaient particulièrement difficiles. Sahurs perdit 8 points et se retrouva à la dernière place.
Paris Normandie du 9 mai 2015 : Opération orchidée, l’un des premiers spectacles du festival Curieux printemps
Samedi 9 mai, dans l’après-midi, le GLB, Groupe de libération du béton a emmené le public à travers le parc du château d’Hautot-sur-Seine, à la recherche du dernier spécimen d’orchidée naine du Bengale. Objectif : sa destruction, et pendant qu’on y est celle du parc, « véritable aberration urbanistique ».
Mister Pink fait la moue en mangeant le dernier spécimen d’orchidée naine du Bengale. « Pouah, on dirait les légumes tout pourris de l’Amap... ». Militant du GLB, le Groupe de libération du béton, lui et ses deux complices ne reculent devant rien pour emmener le public à travers le parc du château d’Hautot-sur-Seine et mener à bien « L’opération Orchidée ». « N’hésitez pas à piétiner l’herbe pour faire souffrir la pelouse ».
La compagnie des frères Georges assurait l’un des premiers spectacles du festival de la Métropole de Rouen « Curieux printemps, qui se poursuit jusqu’au 31 mai. Théâtre, concerts, spectacles de rue et de cirque, lectures, etc, la plupart du temps gratuits, sont au programme dans 36 communes de l’agglo. Il se terminera par les fêtes Jeanne d’Arc, sur le thème « J’entends de voix ».
Le Musée maritime, fluvial et portuaire de Rouen s’enrichit d’une nouvelle thématique : les docks flottants de Rouen de 1921 à nos jours, en maquettes, photos et panneaux.
Article de Thierry Chion (Actu76) publié le 30 novembre 2014
Le Musée maritime de Rouen a ses fidèles et ses soutiens, des partenaires qui lui permettent de fonctionner avec 18 salariés. Marie-Odile Degon, présidente du musée, l’a rappelé récemment : « sans les collectivités locales, sans le port de Rouen et d’autres encore, le musée tomberait à l’eau. Et puis le bénévolat a ses limites. »
Développement du musée :
Loin de se scléroser après 25 ans d’existence, le musée se développe, participe à des événements extérieurs, abrite un chantier d’insertion, restaure les vieux gréements, bénéficie de l’enthousiasme et de la compétence des Maquettistes navals Rouennais et de l’association des Amis du Musée maritime. Il reçoit des dépôts de matériels, de photos, de maquettes, accueille de plus en plus de visiteurs, joue son rôle pédagogique, social, culturel et artisanal. 2 000 élèves du primaire et collégiens ont visité le musée lors de la dernière année scolaire. Pour encadrer les visites, les membres actifs de l’association sont toujours présents. « Ils ont tissé des liens entre eux, solides comme des amarres d’un navire », insiste madame Degon.
Jacques Fortier, vice-président honoraire du musée, fréquente le Hangar 13 depuis plus de 20 ans. Son expérience professionnelle sur les docks flottants lui permet de parler savamment de cette technique de réparation navale.
C’est lui qui a eu l’idée de rajouter cette thématique au musée maritime.
Un peu d’histoire :
Avant 1920, le port de Rouen n’ayant qu’un slipway en travers pour la mise à sec des navires, la Chambre de commerce adopte la génération des docks flottants. Le premier dock - 4 200 tonnes - arrive à Rouen en 1919 en provenance d’un chantier de Hambourg, dans le cadre de dommages de guerre. Il est positionné d’abord au bassin au pétrole de Petit-Quevilly puis en 1930 à la darse de Petit-Couronne. Cette darse, aménagée en centre de réparation navale, recevra plus tard les quatre docks flottants qui seront exploités par les Chantiers de Normandie, deux de 8 000 tonnes et deux de 4 200 tonnes.
La darse des docks à Petit Couronne a accueilli les docks flottants avant leur déménagement au bassin Gervais à Rouen. La darse s'envase progressivement en attendant la réalisation d'une nouvelle installation.
De 1940 à 1944, l’occupant monopolise la darse de Petit-Couronne et réquisitionne la jeunesse de Rouen. En quittant Rouen, l’armée allemande coulera trois des quatre docks. Ils seront renfloués après la guerre et leur exploitation sera intense. De 1940 à 1986, 3 660 bateaux passeront sur les docks flottants de Petit-Couronne.
Par la suite le port de Rouen se débarrasse de trois de ces docks flottants. Il garde, le plus volumineux, celui de 14 000 tonnes qui sert encore aujourd’hui dans le bassin Saint-Gervais.
Entretien du bac n°18 aux docks flottants
Photographie d’Hugues Herment
Cette histoire et cette technique sont relatées dans la nouvelle exposition du musée maritime grâce à des maquettes sur bassin avec leurs ballasts, 24 panneaux explicatifs et beaucoup de photos pour mieux comprendre cette activité qui fut prépondérante dans le port de Rouen.
Les ours et les poupées de collection font salon, le dimanche 18 mai 2014, dans les salons du château d’Hautot-sur-Seine, à l’ouest de Rouen. L’organisation de ce rendez-vous est assurée par Jérôme Maillot qui a repris le salon de Fleury-sur-Andelle l’année dernière. Il y exposait déjà depuis huit ans.
Paris Normandie du 15 mai 2014 : Nounours et poupées vintage
Le salon européen de l’ours et de la poupée de collection se déroulera dimanche 18 mai. Jusqu’alors organisé à Fleury-la-Forêt, il se transforme et déménage, afin de profiter d’une surface plus importante. Bébés « reborn » et miniatures : Situé dans le cadre idyllique du château d’Hautot-sur-Seine, au cœur du parc naturel des boucles de la Seine normande, à seulement 15 mn de Rouen, l’espace d’exposition se compose de deux salles lumineuses qui permettent d’accueillir une quarantaine d’exposants. « L’objectif du salon, à l’image de celui qui se tient chaque année à La Rochelle, est de promouvoir l’ours et la poupée de collection, sous toutes ses formes, ainsi que toutes les disciplines qui s’y rattachent », explique l’organisateur, Jérôme Mailot. « Bébés « reborn » (nouveaux nés), miniatures, mais aussi ours anciens et poupées anciennes seront exposés. La manifestation accueillera des passionnés de toute l’Europe, parmi lesquels des artistes créateurs, des miniaturistes, des peintres, des restaurateurs, ainsi que des fournisseurs d’accessoires et de matériaux ». Salon de l’ours et de la poupée de collection dimanche 18 mai, de 10 h à 17 h, au château. Entrée : 5 €. Gratuit pour les moins de 12 ans accompagnés.
Salon Ours et poupées de Collections / Hautot-sur-Seine
Je vous fait partager un petit tour du Salon Ours et poupées de collections qui a eu lieu à Hautot-sur-Seine (76) ce Dimanche 18 Mai 2014. Ce salon aura lieu tout les an a la même periode pour ...