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10 septembre 2015 4 10 /09 /septembre /2015 06:52

La musique des Gardiens de la Paix de Rouen animant la fête patronale de la Saint-Antonin.

La fête patronale de la Saint-Antonin à Hautot-sur-Seine
La fête patronale de la Saint-Antonin à Hautot-sur-Seine
La fête patronale de la Saint-Antonin à Hautot-sur-Seine
La fête patronale de la Saint-Antonin à Hautot-sur-Seine

L’Avenir Normand du septembre 1947 : Fête patronale

La Fête Patronale dite de Saint-Antonin, aura lieu les 7 et 8 septembre.

Le dimanche 7 septembre à 9 h., messe ; à 15 h., courses à bicyclettes ; 15 h. 30 concert par l’Harmonie de Grand-Quevilly (30 exécutants). Fête foraine : manèges, stands, attractions diverses, buvette. A 21 h., grand bal avec le virtuose Stani et son ensemble swing. A 23 h. 30, embrasement de ma fête.

Le lundi 8 : continuation de la fête. A 15 h., jeux divers pour enfants ; 21 h., grand bal de l’ensemble Stani. Hautot-sur-Seine, cadre charmant, sera une promenade agréable le dimanche 7 septembre. De la gaieté assurée.

La fête patronale de la Saint-Antonin à Hautot-sur-Seine

Journal de Rouen du 4 septembre 1937 : Assemblée

L’assemblée dite de Saint-Antonin aura lieu les dimanche et lundi 5 et 6 septembre, sur la place de la Mairie, nombreuses attractions. Jeux divers et bal le soir.

 

 

Journal de Rouen du 2 septembre 1936 : Fête annuelle

La fête annuelle Saint-Antonin aura lieu le dimanche 6 septembre avec le concours de la société de gymnastique de Petit Quevilly La Renaissance. Le lundi 7, la fête se poursuivra par des jeux divers pour les enfants et un bal.

Journal de Rouen du 29 août 1935 : Fête patronale

Dimanche prochain 1er septembre, aura lieu, au carrefour de la Mairie, la fête patronale dite de Saint Antonin. De nombreuses attractions avec tirs, manège, jeux divers, etc. attireront les fidèles visiteurs. Les promeneurs se donneront rendez-vous dans ce cadre verdoyant, pour y goûter le charme et la gaîté d’un des derniers dimanches de la saison estivale. Le soir, feu d’artifice, bal gratuit avec jazz et illuminations. Service d’autobus assuré toute la journée, avec dernier départ d’Hautot à 0h.30. Le lendemain lundi, continuation de la fête, avec jeux, concours, collations réservées aux enfants de la commune.

Journal de Rouen du 31 août 1931 : Fête patronale

Le dimanche 7 septembre, aura lieu la fête annuelle d’Hautot. En dehors des nombreuses attractions foraines, le comité s’est assuré le concours de la société de gymnastique « La Persévérante » de Maromme et de la fanfare de cette société. Poses plastiques, pyramides et autres exercices, audition musicale. Le soir, bal avec jazz de dix musiciens. Le tout dans le cadre verdoyant des bords de la Seine.

Journal de Rouen du 17 août 1928 : Fête de Saint-Antonin

Cette fête se déroulera à Hautot-sur-Seine les dimanche 2 et lundi 3 septembre, sur la place de la Mairie. En voici le programme :

Le dimanche 2 septembre, à 16 heures : grand concert par la Société des trompettes et clairons de Grand-Couronne ; à 17 h. 30 : jeux divers. Le soir, brillantes illuminations. Bal à grand orchestre avec jazz, public et gratuit. A 10h. 30, feu d’artifice.

Le lundi 2 septembre, continuation de la fête : A 3 heures, jeux divers. Les courses et jeux sont réservés aux  jeunes gens et jeunes filles de Hautot-sur-Seine et Sahurs. Le soir : bal, illuminations.

Les marchands étalagistes et forains disposeront de places gratuites. Les habitants sont invités à pavoiser et à illuminer leurs maisons. Le comité décline toute responsabilité en cas d’accident.

Journal de Rouen du 3 septembre 1921 : La fête patronale

La fête patronale dite de Saint-Antoine, se tiendra demain 4 et 5 septembre. Programme : le matin après la messe, bénédiction et remise du drapeau des anciens combattants. (Président M. Emile Fauquet). De 3 à 6 heures, jeux divers, maquillage, collation seau d’eau, etc. Le soir, grand bal public.

Le lundi : Jeux divers, le soir, bal.

Journal de Rouen du 4 septembre 1909 : Assemblée

Hautot-sur-Seine. Demain dimanche aura lieu l’assemblée dite de Saint-Antonin. Sur la place de la Mairie et dans le clos communal, jeux divers, distribution de gâteaux, fête foraine. Le soir, retraite aux flambeaux, danses publiques et gratuites.

REVUE DE ROUEN ET DE NORMANDIE (1836) : Canton du Grand Couronne : Fêtes et assemblées

Lorsque le soleil semble quitter à regret les campagnes qu'embellit déjà une active végétation, le signal d'une longue série de plaisirs champêtres est donné par la fête de l'Ascension, qui se tient, tant sur la place Bonne-Nouvelle, territoire de Rouen, que sur la place des Chartreux, dépendante en partie de Rouen et en partie du Petit-Quevilly. Attendue depuis longtemps, cette fête n'en est que plus animée et il s'y rend une foule d'habitants de la ville et des environs. Elle est bientôt suivie de celle du lundi de la Pentecôte, à Dieppedalle. Celle-ci a pris son nom d'un ancien couvent de Sainte-Barbe existant en ce lieu. Les danseurs du Petit et du Grand-Quevilly, du Petit-Couronne, du Val-de-la-Haye, et même de communes plus éloignées, ne manquent pas de s'y trouver, et, malgré la terrible concurrence des bateaux à vapeur, la rivière se couvre encore de batelets remplis de promeneurs, qu'ils transportent à l'envi l'un de l'autre au rendez-vous commun, soit de Rouen ou de la Basse-Seine, soit des rives opposées. La veille de Saint-Jean est un jour de réjouissance pour les habitants du Val-de-la-Haye, qui ont conservé le vieil usage d'allumer de grands feux dans une des avenues du château. Le clergé y assiste et y donne sa bénédiction, sans doute en mémoire des anciens chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem, successeurs des Templiers dans la possession de la commanderie de Sainte-Vaubourg. L'assemblée a lieu le dimanche d'après, et il y en a aussi une, de nouvelle création, au Petit Quevilly, sur la place des Chartreux. Elles sont suivies par celles de Saint-Pierre-de-Manneville, du Grand-Quevilly et d'Oissel, qui doivent mettre les amateurs dans une grande perplexité, puisqu'elles se tiennent souvent toutes trois ensemble ; mais cet embarras ne se renouvelle pas, et c'est successivement que le tambourin les appelle au Petit et au Grand Couronne, à la Bouille, à Moulineaux, au Petit-Quevilly, à Saint-Etienne et à Sahurs. Cette série de fêtes assez monotones est terminée d'une manière brillante, au mois d'août, par l'assemblée de Sotteville qui attire une affluence considérable ; des tentes, dressées de côtés et d'autres, reçoivent, pendant trois jours consécutifs, de nombreux convives qui, après avoir bien diné, vont, si de trop copieuses libations ne s'y opposent pas, essayer leur adresse, soit sur les chevaux de bois, soit à divers jeux, puis se rapprochent des orchestres où le beau sexe les attend avec impatience. Le premier jour on cherche à lier connaissance, le second on jouit du plaisir de se revoir, on fait des projets pour le lendemain, mais le troisième jour est celui des regrets ; il faut se quitter, sans savoir quand on se retrouvera, car, à moins d'être des communes d'Hautot ou de Sahurs, il n'y a pas d'apparence qu'on aille aux petites assemblées qui s'y tiennent dans le mois de septembre. Cependant minuit vient de sonner, les orchestres redoublent leur charivari ; à voir l'ardeur des danses, la foule qui les entoure, l'allégresse générale, on croirait que le bal ne doit pas finir, mais malheureusement on se lasse de tout ; déjà les lanternes pâlissent, les danseuses s'esquivent et les danseurs les plus pressants obtiennent à grand'peine une contredanse de grâce ; puis l'obscurité succède à l'éclat des lumières, le silence au tapage, le repos à l'activité : c'est en raccourci l'image de la vie, agitée, tumultueuse, et qui se termine par la mort.

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