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15 juillet 2022 5 15 /07 /juillet /2022 05:21
Chevaux en pâture à Hautot-sur-Seine
Chevaux en pâture à Hautot-sur-Seine
Chevaux en pâture à Hautot-sur-Seine
Chevaux en pâture à Hautot-sur-Seine
Chevaux en pâture à Hautot-sur-Seine
Chevaux en pâture à Hautot-sur-Seine
Chevaux en pâture à Hautot-sur-Seine
Chevaux en pâture à Hautot-sur-Seine
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Chevaux en pâture à Hautot-sur-Seine
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13 mars 2021 6 13 /03 /mars /2021 14:38
Haras des Fendanges à Hautot-sur-Seine
Haras des Fendanges à Hautot-sur-Seine

L’objet social de la société exploitante est l'enseignement de l'équitation sous toutes ses formes et pour tous publics ; la prise en pension, les soins, le dressage, le travail et le transport d'équidés ; la production, l'élevage, l'achat, la vente et la location d'équidés et d'animaux de compagnie ; l'achat, la vente et la location de matériels, équipements, vêtements et tous articles de sport et d'équitation ; l'organisation de stages, de manifestations diverses et de compétitions sportives dans ou hors des de ses locaux et terrains ; l'édition et la vente sur tous supports d'images ainsi que la promotion du monde de l'équitation et ce qui s'y rattache.

Haras des Fendanges à Hautot-sur-Seine
Haras des Fendanges à Hautot-sur-Seine

Concours du 7 mai 2023

Haras des Fendanges à Hautot-sur-Seine

Le haras des Fendanges d’Hautot-sur-Seine est définitivement fermé le 30 mars 2024.

Comptes Facebook du haras des Fendanges et de Rémy Piépart du 30 mars 2024 : Nouvelle Aventure ⭐️

Après quelques années passées à Hautot Sur Seine, il est l’heure de prendre un nouveau virage et d’ouvrir un nouveau chapitre ! Je suis maintenant installé à Saint Georges sur Fontaine, au sein d’une écurie haut de gamme dédiée au bien-être du cheval et tournée vers le sport. J’ai le plaisir de vous proposer le travail de vos chevaux ainsi que le coaching adapté et personnalisé afin que chacun puisse s’épanouir en fonction de ses objectifs. Je suis également disponible pour la valorisation de vos jeunes chevaux en concours. N’hésitez pas à me contacter pour plus d’informations et échanger sur vos projets. Merci à mes nombreux cavaliers et partenaires qui me suivent dans cette belle aventure.

Haras des Fendanges à Hautot-sur-Seine
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22 mars 2020 7 22 /03 /mars /2020 16:01

Journal des débats politiques et littéraires du 6 janvier 1857 : Maladie contagieuse des animaux. La cocotte. Défense de l'administration. Infraction.

 

COUR IMPERIALE DE ROUEN (chambre correctionnelle). Présidence de M. LETENDRE DE TOURVILLE. Audience du 2 janvier.

 

Ce procès soulevait une question dont les agriculteurs du département de la Seine-Inférieure et la Société centrale d'agriculture elle-même se sont, dans ces derniers temps, assez vivement préoccupés.

Il s'agissait de savoir si l'on doit considérer comme une maladie contagieuse, dans le sens de la loi pénale, une affection propre aux bestiaux, vulgairement appelée cocotte (*), et dont sont atteints depuis 1840 un grand nombre de vaches et de bœufs. Cette maladie, contagieuse dans le sens littéral du mot, puisqu'elle se communique soit par le virus physique, soit par le virus volatil, pour parler le langage de l'art vétérinaire, n'est pas mortelle et ne porte aucune atteinte à la qualité de la viande, mais elle fait baver les bestiaux, peut les priver de lait pendant quelques jours et rend leur marche difficile. Jamais l'administration n'avait pris aucune mesure préventive contre la circulation des bêtes atteintes, et il parait que dans ces dernières années la maladie a pris de tels développements, qu'une grande partie des bœufs et des vaches amenés aux marchés de Poissy et de Sceaux en sont affectés. Voici dans quelles circonstances le tribunal correctionnel, puis la Cour, ont été amenés à s'occuper, au point de vue pénal, du caractère de cette maladie :

Le 1er septembre dernier, le sieur DUMENIL, cultivateur à Hautot-sur-Seine et fils du maire de la commune, avait acheté deux vaches à la foire d'Elbeuf. Ramenées chez lui, elles furent  peu de temps après atteintes de la cocotte; il les avait laissées pendant quelques jours dans l'herbage de son père, quand le 14 septembre, jour de l'ouverture du pâturage commun, en vertu du droit coutumier normand, il les envoya à la prairie sans qu'elles fussent encore guéries. Des réclamations s'étant élevées de la part de quelques habitants, le maire invita le sieur DUMENIL fils à les retirer; mais celui-ci n'ayant pas tenu compte de l'injonction, et des plaintes ayant été portées à l'adjoint, ce fonctionnaire, délégué par le maire, donna, le 15 septembre dans la matinée, au sieur DUMENIL l'ordre formel de retirer ses vaches de la pâture commune (*). Cet ordre ne fut pas immédiatement exécuté. Un douanier, le sieur CORBRAN, qui avait lui aussi, une vache dans la prairie, voulut faire sortir celles de DUMENIL, qui persista à les y laisser jusqu'à deux heures de l'après midi.

Procès-verbal de ces faits fut dressé par l'adjoint et transmis au procureur impérial, qui fit citer le sieur DUMENIL en police correctionnelle, comme prévenu d'avoir, au mépris des de l'administration, laissé des bestiaux infectés de maladies contagieuses communiquer avec d'autres, délit aggravé de cette circonstance qu'il en serait résulté une contagion parmi les autres bestiaux, vingt-huit vaches et un porc ayant été, à Hautot, atteints de la cocotte dans les derniers jours de septembre.

Les articles 459, 460 et 461 du Code pénal sont ainsi conçus :

« Art. 459. Tout détenteur ou gardien d'animaux ou de bestiaux soupçonnés d'être infectés de maladie contagieuse, qui n'aura pas averti sur-le-champ le maire de la commune où ils se trouvent, et qui, même avant que le maire ait répondu à l'avertissement, ne les aura pas tenus renfermés, sera puni d'un emprisonnement

de six jours à deux mois et d'une amende de 16 Fr. à 200 Fr.

» Art. 460. Seront également punis d'un emprisonnement de deux mois à six mois et d'une amende de 100 Fr. à 500 Fr., ceux qui, au mépris des défenses de l'administration, auront laissé leurs animaux ou bestiaux infectés communiquer avec d'autres.

» Art. 461. Si de la communication mentionnée au présent article il est résulté une contagion parmi les autres animaux, ceux qui auront contrevenu aux défenses de l'autorité administrative seront punis d'un emprisonnement de deux ans à cinq ans, et d'une-amende de 100 Fr. à 1,000 Fr. le tout sans préjudice de l'exécution des lois et règlements relatifs aux maladies épizootiques et de l'application des peines y portées. »

Par application de ces dispositions, le tribunal de police correctionnelle de Rouen, qui avait reconnu en même temps l'existence de circonstances atténuantes en faveur du prévenu, avait, le 26 novembre dernier, condamné le sieur DUMENIL à un mois de prison et à 500 Fr. d'amende. Celui-ci a interjeté appel, M. LE CONSEILLER JUSTIN a présenté le rapport de l'affaire, et dans une étude complète de la législation sur la matière, a cherché à quelles conditions il était possible de reconnaître, au point de vue légal, une maladie contagieuse. Me RENAUDEAU-D’ARC, avocat du sieur DUMENIL, a commencé en signalant à la Cour tout qui s'attachait à ce procès. S'il fallait, en effet, admettre avec les premiers juges que la cocotte est une maladie contagieuse, il en pourrait résulter comme conséquence l'interdiction de faire circuler sur les routes, de vendre aux foires et dans les marchés les bestiaux atteints de cette affection, sous peine de se voir frapper par des rigueurs du genre de celles dont le prévenu a été victime. Or, les marchés auxquels s'approvisionnent Paris et Rouen reçoivent chaque jour, sous les yeux des préposés de l'administration des bœufs et des vaches malades de la cocotte, envoyés à ces marchés par des cultivateurs de tout pays. Si le jugement pouvait être confirmé, cette simple circulation deviendrait un délit, et le cultivateur serait obligé de tenir ses bestiaux renfermés, sinon menacé de prison et d'amende. C'est ce qui fait que les agriculteurs se sont émus de la décision rendue par le tribunal de Rouen et que l'attention de la Société d'agriculture a été appelée sur cette question. Voyons donc si, dans la décision dont est appel, on ne s'est pas complètement trompé sur le sens et la portée des dispositions pénales qu'il s'agissait d'appliquer. L'avocat entre ici dans l'examen des lois antérieures au Code pénal qui se sont occupées des maladies contagieuses. Il cite notamment l'arrêt du conseil du 16 juillet 1784 et l'arrêté du Directoire du 27 messidor an V, pour en conclure que l'esprit de toutes ces lois démontre qu'elles n'étaient faites qu'en vue de maladies contagieuses d'une gravité suffisante pour entraîner la mort des bestiaux. L'article 1er de l'arrêt de 1784 révèle bien cette pensée, lorsqu'il cite, comme exemples la morve, le charbon, la clavetée, le farcin, la rage. Si le Code pénal ne contient pas d'énumération du même genre, il se reporte lui-même à ces anciennes lois non abrogées, et la sévérité des peines qu'il édicte est la meilleure preuve du caractère de gravité que doit avoir la maladie à propos de laquelle il s'agirait de l'appliquer. Or, qu'est-ce que la cocotte ? C’est une affection qui n'offre aucun danger et se guérit d'elle-même; les vaches mangent et ont peu de lait pendant quelques jours; elles ont mal dans la bouche et au fourchet des pieds, puis tous ces accidents disparaissent sans qu'il soit même besoin de l'homme de l'art. S’il est permis d'appliquer aux bêtes, pour caractériser cet état, une expression dont notre langue française ne les a pas honorées, il serait vrai de dire que ce n'est pas une maladie, ce n'est qu'une indisposition. Aussi n'a-t-elle jamais donné lieu à aucune mesure de police administrative. C'est ce qu'atteste M. FELIZET, vétérinaire désigné par l'administration pour les cantons d'Elbeuf et du Grand-Couronne, qui avait été appelé, par l'adjoint d'Hautot pour visiter les vaches de DUMENIL, et ce dans un certificat qu’il a délivré à ce dernier postérieurement à dirigée contre lui.

« Je certifie, dit-il, que depuis 1840, date de l'invasion de la maladie appelée vulgairement cocotte, il n'a été pris nulle part ni recommandé aucune mesure de police sanitaire contre cette affection généralement très simple et sans aucune suite fâcheuse ; que l'abord d'aucunes foires ni d'aucuns marchés n'a été interdit aux bêtes infectées, que tous les jours on voit librement circuler sur toutes les routes. »

Et, de leur côté, tous les maires des communes voisines d'Hautot attestent que jamais ils n'ont pris aucune mesure contre les bestiaux atteints de cette maladie, et qu'ils ne les ont jamais exclus du pâturage. Lé jugement doit donc être réformé.

M. JOLIBOIS, premier avocat général, tout en rendant hommage à l'honorabilité personnelle du sieur DUMENIL, le signale comme un entêté qui, malgré la défense de son père, malgré 1’ordre formel de l'adjoint, a voulu envoyer au pâturage commun des vaches qu'il savait malades, et il persistait à tel point dans son entêtement que quand un douanier, le sieur CORBRAN, vint les faire sortir du pâturage, il les y fit rentrer, comme pour braver l'autorité. Il faut que ces faits soient réprimés s'ils constituent un délit. Or, à cet égard, les articles 460 et 461 du Code pénal punissent les individus qui auront laissé communiquer avec d'autres des bestiaux atteints de maladies contagieuses. Il n'y a rien de plus dans la loi : les indications contenues dans les anciens arrêts n'ont pas été reproduites, et il n'y a que deux choses à voir la cocotte est-elle une maladie? Est-elle une maladie contagieuse ? C'est évidemment une maladie, puisqu'elle rend difficile la marche des bestiaux qui en sont atteints, puisqu'elle les empêche de manger, et surtout puisqu'elle les prive de lait. Il n'est pas contesté qu'elle se communique par un agent intermédiaire qui porte le nom scientifique de virus, élément contagieux; c'est donc bien une maladie contagieuse.

La Cour, dans un arrêt motivé avec beaucoup de soin, a décidé que le maire d'Hautot, légalement représenté par son adjoint, était en droit de faire défense au sieur DUMENIL fils d'introduire ou de maintenir dans une prairie commune ses vaches atteintes de la cocotte, et qui devaient s'y trouver en contact avec le bétail des autres habitants de la commune ; que ce droit, formellement établi par les articles 3, n° 5, du titre XI de la loi des 16-24 août 1790, et 46 du titre X de celle des 19, 22 juillet 1791 a été consacré de nouveau par l'article 460 du Code pénal et sanctionné par les peines que prononce cet article; que, d'après l'ensemble de la législation sur les pouvoirs administratifs, et notamment aux termes de la loi du 18 jui1let 1837, obéissance provisoire était due à la défense faite par l'adjoint d'Hautot au sieur DUMENIL, en vue d'une maladie qu'il considérait comme contagieuse, et ce jusqu'à la décision de l'autorité supérieure en cas de recours, sans quoi d'ailleurs les précautions prescrites par les lois et les défenses dont parle l'article 460 du Code pénal seraient illusoires.

Mais la Cour a reconnu en même temps qu'il n'était pas suffisamment prouvé que la maladie qui s'était déclarée parmi les bestiaux de la commune d'Hautot fut due à leur communication avec les vaches de DUMENIL ; qu'il y avait des circonstances atténuantes; pourquoi la Cour a confirmé le jugement, quant à la déclaration de culpabilité sur le fait de la part de DUMENIL, d'avoir au mépris des défenses de l'administration laissé communiquer avec d'autres bestiaux des vaches infectées de la cocotte, confirmé aussi pour les circonstances atténuantes, mais a déclaré DUMENIL acquitté de la prévention d'avoir, par la communication de ses bestiaux infectés, déterminé une contagion parmi les autres bestiaux de la commune d'Hautot ;

En conséquence, émendant quant à la peine, Cour a déchargé DUMENIL de l'emprisonnement prononcé contre lui, et a réduit l'amende à 100 Fr.

 

 (*) C'est à Francisco Toggia et à ses observations dans le Piémont en 1799 que la fièvre aphteuse doit son nom. La maladie est appelée communément surlangue, claudication ou encore cocotte.

(**) l’actuel bois communal

Le virus de la Cocotte à Hautot-sur-Seine
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19 septembre 2019 4 19 /09 /septembre /2019 18:00
Le centre équestre Télémaque à Hautot-sur-Seine
Le centre équestre Télémaque à Hautot-sur-Seine
Le centre équestre Télémaque à Hautot-sur-Seine
Le centre équestre Télémaque à Hautot-sur-Seine
Le centre équestre Télémaque à Hautot-sur-Seine

Paris Normandie du 30 octobre 2012 : Le cheval, c'est leur dada

Le centre équestre Télémaque, repris il y a un an, a effectué sa rentrée au galop.

Depuis un an, Sabine et Romain Lescanne sont les propriétaires du centre équestre Télémaque, à Hautot-sur-Seine. « Nous avions envie de nous installer à notre compte dans la région rouennaise et quand on a visité ce centre équestre, on a craqué pour la qualité du cadre, de ses installations et de la proximité avec Rouen », nous confie Sabine Lescanne. De la rando à la compétition En effet, sur un domaine de six hectares, entre les chemins de halage et la forêt de Roumare, le centre propose à tous, enfants et adultes, amateurs ou professionnels, une école d'équitation, une écurie de propriétaire poneys et chevaux, l'organisation de concours, de stages de découverte ou de perfectionnement tous niveaux et des promenades ou randonnées. Passionnés, ils ont à cœur d'accueillir les cavaliers dans un cadre agréable et soigné. Ils disposent d'importantes infrastructures telles que deux carrières, un manège, un barn, 12 paddocks et un club house. Cent cinquante cavaliers, de 3 à 70 ans, sont inscrits et pratiquent l'équitation, soit en loisirs soit en compétition, encadrés par des moniteurs diplômés d'Etat. « J'adore le cheval car on apprend plein de choses et c'est ma passion », confie Lana, 6 ans. Le club se veut aussi formateur car il accueille trois élèves monitrices. Très dynamiques, les époux ont développé des séances d'équitation adaptées permettant au public de partager un moment de convivialité avec le cheval. Par ailleurs, Thimothée Anciaume (cavalier international de saut d'obstacles et membre de l'équipe de France) est partenaire du centre. Il vient une fois par semaine au club pour faire bénéficier son expérience du haut niveau aux cavaliers qui le souhaitent.

Le centre équestre Télémaque à Hautot-sur-Seine
Le centre équestre Télémaque à Hautot-sur-Seine
Le centre équestre Télémaque à Hautot-sur-Seine

Tendance ouest du 2 mai 2018 par Elodie Laval : Un laser-game équestre !

Vous connaissez peut-être l'aqua-poney ? Découvrez maintenant le laser-game équestre : une nouvelle discipline à la fois sportive et ludique proposée par le centre équestre Télémaque à Hautot-sur-Seine (Seine-Maritime) le samedi 5 mai 2018. C'est tout à fait inédit et vraiment insolite, le centre équestre de Hautot-sur-Seine situé à 30 minutes de Rouen propose une nouvelle activité depuis septembre dernier : le laser-game équestre.

Un centre équestre à la pointe : Sabine et Romain Lescanne, propriétaires du centre équestre Télémaque depuis 2011 ont découvert cette activité par hasard dans les Yvelines : "Nous offrons une large gamme d'activité au centre, explique Sabine, de l'obstacle, du dressage, de l'équitation de loisir, de l'attelage, mais nous avons aussi à cœur d'accueillir un public handicapé et nous nous intéressons à l'éthologie [étude du comportement du cheval et de ses modes de communication]. Pour enrichir notre programme d'activité nous avons eu l'idée de mettre en place des séances de laser-game. Jusqu'alors nos homologues de Longueville-sur-scie étaient les seuls à proposer cette activité en Normandie".

Une dimension pédagogique et sportive : "À l'automne dernier nous avons commencé à proposer cette activité au grand public pendant les vacances scolaires mais nous utilisons aussi le laser-game comme un moyen pédagogique pendant nos cours". Le laser-game équestre, s'il peut s'adresser à des débutants ou des néophytes permet en effet de travailler l'équilibre : "il faut être bien stable sur sa monture, précise Sabine, car on tient dans une main le pistolet et dans l'autre les rennes. Cette activité fait travailler tous les muscles du corps !". Le Laser-game équestre permet de découvrir par le jeu l'équitation : "Avant l'activité en soi, les participants apprennent à seller et à brosser leurs chevaux et une fois en selle il faut apprendre à diriger le cheval, à le freiner, à passer du pas au trot".

Détruire les Toupabos et s'amuser ! : "Le concepteur du jeu de laser-game équestre ne voulait pas d'un jeu de guerre, précise Sabine, il a donc imaginé une petite histoire dans laquelle le centre est contaminé par une vilaine bactérie, les Toupabos, qu'il faut éliminer". L'activité s'organise en deux temps : dans un parcours de maniabilités les écuyers doivent viser des cibles fixes pour apprendre à diriger leur monture mais dans la deuxième partie du jeu, deux équipes s'affrontent : "Il y a deux équipes de quatre personnes qui se font face, cependant, puisque ce n'est pas un jeu guerrier ce ne sont pas les personnes que l'on doit viser mais l'arme de l'adversaire". Des capteurs situés dans l'arme elle-même déterminent le nombre de vies restantes." Le jeu s'organise en plusieurs parties de 10 minutes pour ne pas trop fatiguer les chevaux. Les poneys et les chevaux s'amusent vraiment et jouent le jeu, il a fallu cependant les habituer au bruit des pistolets mais c'est aussi du divertissement pour eux !"

Le centre équestre Télémaque à Hautot-sur-Seine
Le centre équestre Télémaque à Hautot-sur-Seine
Le centre équestre Télémaque à Hautot-sur-Seine

Depuis 2020 Romain Lescanne est cavalier professionnel. Il défend les couleurs de Madagascar à l’international. On peut le suivre sur le site de la Fédération Equestre Internationale.

https://www.fei.org/athlete/10060387/lescanne-romain

 

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10 mars 2017 5 10 /03 /mars /2017 04:29

Le Conseil Municipal d’Hautot-sur Seine du 21 septembre 1817 délibère sur la réglementation de l’usage des prairies (vaine pâture) et du transport des bestiaux, la délibération est suivie de l’arrêté préfectoral. Cela concerne plus particulièrement les « Près d’Hautot » en bord de Seine.

Au Moyen Âge et sous l'Ancien Régime la vaine pâture est un droit d'usage qui permet de faire paître gratuitement son bétail en dehors de ses terres, dans les bords des chemins, les friches, les « terres vaines et vagues », les terres nues de leurs cultures, les bois de haute futaie, les taillis de plus de 4 ou 5 ans et, aussi sur l'ensemble des terres, après la récolte.

Les Conseils Municipaux des 12 septembre 1850, 10 novembre 1850 et du 8 décembre 1850 traite de l’ affaire de Mr de Bonneval pour le droit de passage datant de 1838 qu’exerce la commune sur une portion de terrain appartenant à ce propriétaire, pour accéder à la prairie commune.

Le Conseil Municipal du 10 juin 1867 délibère au sujet de la vaine pâture des prairies d’Hautot (23 ha et 21 ares). La loi du 22 juin 1890 supprime le droit de vaine pâture en France, sauf si le maintien est demandé par le conseil municipal.

Les près d'Hautot-sur-Seine en bord de Seine
Les près d'Hautot-sur-Seine en bord de Seine
Les près d'Hautot-sur-Seine en bord de Seine
Les près d'Hautot-sur-Seine en bord de Seine
Les près d'Hautot-sur-Seine en bord de Seine
Les près d'Hautot-sur-Seine en bord de Seine
Les près d'Hautot-sur-Seine en bord de Seine
Les près d'Hautot-sur-Seine en bord de Seine
Les près d'Hautot-sur-Seine en bord de Seine
Les près d'Hautot-sur-Seine en bord de Seine
Les près d'Hautot-sur-Seine en bord de Seine
Les près d'Hautot-sur-Seine en bord de Seine
Les près d'Hautot-sur-Seine en bord de Seine

Photographies de Fernande Obselin (1909-1986) prises entre 1961 et 1981

Les parcelles « AC des Près d’Hautot » (de 1 km de long) sont mitoyennes des parcelles « AD du Grand Pré » à Val-de-la-Haye (également de 1 km de long jusqu’à la colonne Napoléon) et elles ont en tout et pour tout qu’une seule évacuation en Seine, située sur la commune d’Hautot, au droit de la maison du marais.

Les près d'Hautot-sur-Seine en bord de Seine
Les près d'Hautot-sur-Seine en bord de Seine

Photographies de GEODEV de 2014

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20 novembre 2016 7 20 /11 /novembre /2016 06:33
La ferme des Farceaux à Hautot-sur-Seine
La ferme des Farceaux à Hautot-sur-Seine
La ferme des Farceaux à Hautot-sur-Seine
La ferme des Farceaux à Hautot-sur-Seine
La ferme des Farceaux à Hautot-sur-Seine
La ferme des Farceaux à Hautot-sur-Seine
La ferme des Farceaux à Hautot-sur-Seine
La ferme des Farceaux à Hautot-sur-Seine
La ferme des Farceaux à Hautot-sur-Seine
La ferme des Farceaux à Hautot-sur-Seine
La ferme des Farceaux à Hautot-sur-Seine
La ferme des Farceaux à Hautot-sur-Seine
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12 août 2016 5 12 /08 /août /2016 05:45
La grange de l'Osier en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange de l'Osier en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange de l'Osier en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange de l'Osier en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange de l'Osier en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange de l'Osier en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange de l'Osier en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange de l'Osier en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange de l'Osier en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange de l'Osier en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange de l'Osier en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange de l'Osier en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
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7 août 2016 7 07 /08 /août /2016 05:02
La grange des près en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange des près en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange des près en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange des près en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange des près en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange des près en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange des près en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange des près en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange des près en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
La grange des près en bord de Seine à Hautot-sur-Seine
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6 mars 2016 7 06 /03 /mars /2016 08:36
Hautot-sur-Seine au temps des fermes et des tracteurs
Hautot-sur-Seine au temps des fermes et des tracteurs
Hautot-sur-Seine au temps des fermes et des tracteurs
Hautot-sur-Seine au temps des fermes et des tracteurs
Hautot-sur-Seine au temps des fermes et des tracteurs
Hautot-sur-Seine au temps des fermes et des tracteurs
Hautot-sur-Seine au temps des fermes et des tracteurs
Hautot-sur-Seine au temps des fermes et des tracteurs
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Photographies des bâtiments de la ferme « Mimi » Poullard - Louis Démarais en 2014

Hautot-sur-Seine au temps des fermes et des tracteurs
Hautot-sur-Seine au temps des fermes et des tracteurs
Hautot-sur-Seine au temps des fermes et des tracteurs
Hautot-sur-Seine au temps des fermes et des tracteurs
Hautot-sur-Seine au temps des fermes et des tracteurs
Hautot-sur-Seine au temps des fermes et des tracteurs

Photographie des bâtiments de la ferme Bourdeau en 2014

Dans le cadre de l’élaboration du PLU d’Hautot-sur-Seine, un diagnostic agricole a été réalisé en 2015.

DIAGNOSTIC AGRICOLE DE 2015 (élaboration du PLU) : 4 exploitations agricoles et le centre équestre exploitent des parcelles à Hautot-sur-Seine :

 

- SARL Télémaque (n°4) : 6,2 hectares utilisés par le centre équestre (données SIG) ;

- SCEA Ferme de Soquence (n°1) : 198,10 hectares dont 99,80 ha sur la commune (données SIG) ;

- EARL des Marronniers (n°3) : 127 hectares dont 9,8 ha sur la commune (données SIG) ;

- Ferme de la Seine (non conviée à l’enquête agricole) : 3,1 hectares exploités sur la commune (données SIG) ;

- Mme POULLARD Nelly : 38 hectares dont 1,2 ha sur la commune (données SIG).

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15 octobre 2015 4 15 /10 /octobre /2015 05:46

La création du CENTRE EQUESTRE DE SOQUENCE date de 1991 à l’initiative de Mr Henry de Beaupuis dans les bâtiments de la ferme Démarais. L’Association du Cercle Hippique de Hautot-sur-Seine est créée le 01/11/1992 avec pour activité l’élevage de chevaux et autres équidés.

En 2006, le centre équestre est repris par Thomas Brochot via la SARL ADONIS.

Le centre équestre de Soquence est devenu le CENTRE EQUESTRE TELEMAQUE en 2011.

LA SOQUENCE : Tout sur le centre équestre de la Soquence d'Hautot sur Seine et Seine Maritime...

Le centre équestre de Soquence est devenu le CENTRE EQUESTRE TELEMAQUE en 2011.

Le centre équestre d'Hautot-sur-Seine
Le centre équestre d'Hautot-sur-Seine
Photographie de Pascal Fromentin

Photographie de Pascal Fromentin

Le centre équestre d'Hautot-sur-Seine
Le centre équestre d'Hautot-sur-Seine
Le centre équestre d'Hautot-sur-Seine

Paris Normandie du 14 mai 2010 : Leprévost, l'étoile d'Hautot

Installée depuis cet hiver à Hautot-sur-Seine, la Rouennaise Pénélope Leprévost retrouve l'équipe de France, tenante du titre, cet après-midi à La Baule. Après avoir passé plusieurs années dans le pays d'Auge, Pénélope Leprévost, qui a grandi et débuté l'équitation dans l'agglomération rouennaise, a posé ses valises à Sahurs et installé son écurie (dix-sept chevaux actuellement) au centre équestre de Soquence, à Hautot-sur-Seine, en novembre dernier. « Je cherchais vers Deauville mais je n'ai rien trouvé, raconte-t-elle. Ici, je loue de très belles installations. Le cadre et l'emplacement sont parfaits. » Entraînements et concours confondus, quatre salariés font fonctionner cette structure professionnelle de très haut niveau, bâtie autour de la cavalière, 13e au classement mondial de la FEI. Entre deux tours d'entraînement, mardi, la jeune Normande (29 ans) a évoqué ses ambitions, à commencer par la Coupe des nations, dont la première étape est disputée cet après-midi à La Baule (…).

L'entreprise ECURIE PENELOPE LEPREVOST, basée à Mézidon, a un établissement secondaire au 6 rue des Fendanges à Hautot-sur-Seine du 1er janvier 2010 au 15 octobre 2010.

Le centre équestre d'Hautot-sur-Seine
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