Les panneaux d’entrée et de sortie d’agglomération sont les deux panneaux de signalisation routière français placés le long des voies pour signaler aux conducteurs qu’ils pénètrent ou qu’ils quittent une agglomération. Entre les deux panneaux s’applique les règles de conduite, de police ou d’urbanisme particulières aux agglomérations, c’est du ressort du Maire.
Au-delà des deux panneaux la zone « hors agglomération » est du ressort de la Métropole Rouen Normandie après avoir été du ressort du Département de la Seine Maritime jusqu’en 2016. Ces limites peuvent évoluées dans le temps. Les panneaux sont de type EB10 pour le panneau d'entrée et EB20 pour le panneau de sortie.
Les recensements des puits et cavité ont été faites par le cabinet IGETEC en 2002 pour la carte communale et en 2017 pour le Plan Local d’Urbanisme.
Le code BSS est le code national de la Banque du Sous-Sol (BSS) attribué par le Bureau de Recherche Géologique et Minière (BRGM) aux ouvrages souterrains notamment aux captages d'eau.
Les recensements se font sur du déclaratif et la consultation d’archives. Les rapports ne mentionnent pas de visites de terrain. Plusieurs puits visibles de la voirie ne sont pas recensés rue Saint Antonin, en haut de la rue du Rouage et en contrebas de la rue des Farceaux.
LE PUITS BANAL (COMMUN) D'HAUTOT SUR SEINE
Le 1er novembre 1780 la Fabrique d’Hautot-sur-Seine adopte une délibération pour clore le puits commun donnant sur le grand chemin de Hautot à Sahurs, à la place de la marelle actuelle et de l’élever et d’installer une poulie pour éviter les accidents
Le Conseil Municipal du 8 juin 1963 donne l’autorisation de jeter des détritus de jardin afin de combler le puits qui n’est plus utilisé. Le puits communal (ou banal) n'est plus en service depuis son obstruction, mais il est toujours en place à côté de la Mairie.
Le puits banal correspond à la cavité n°6 du Plan Local d’Urbanisme.
LE PUITS DE LA LANCE INCENDIE DEVANT LA MAIRIE
Conseil Municipal du 23 juin 1870 : délibération pour le creusement d’un puits communal avec une pompe à proximité de la Mairie et l’amélioration du puits communal du Rouage.
LE PUITS CACHÉ DE LA RUE DU ROUAGE
LE PUITS DU ROUAGE
LE PUITS DU HAUT DU ROUAGE
LE PUITS DU TOUT LE HAUT DU ROUAGE
Il correspond à la cavité n°30 du Plan Local d’Urbanisme.
PUITS DES FARCEAUX
Il correspond à la cavité n°7 du Plan Local d’Urbanisme.
Son code BSS est le n°99-7x-162 au lieu dit « ROGER DE MOMBINE - AU MONT MIRE ».
LE PUITS DU BOULANGER
Il correspond à la cavité n°23 du Plan Local d’Urbanisme.
LE PUITS DE LA FERME
Il correspond à la cavité n°24 du Plan Local d’Urbanisme.
Son code BSS est le n°99-7x-158 au lieu dit « MONSIEUR DE BONNEVAL - ROUTE DE SAHURS ». Il est d’une profondeur de 23,35 mètres.
LE PUITS ROUTE DE SAHURS
Il correspond à la cavité n°25 du Plan Local d’Urbanisme.
LE PUITS DU PIGEONNIER
LE PUITS DE L'ECOLE
C’est un puits mitoyen. Il correspond à la cavité n°27 du Plan Local d’Urbanisme.
Son code BSS est le n°99-7x-156 au lieu dit « ECOLE COMMUNALE - ROUTE DE SAHURS ». Il est d’une profondeur de 27,4 mètres.
Extrait de la délibération du Conseil Municipal du 9 février 1833 : classification des chemins communaux
N°7 : Chemin dit de la chaussée de la rivière, sert à l’exploitation des prairies située dans la commune et par embranchement vers le sud, il traverse une propriété particulière bornée par la rivière de Seine, mais cette communication indirecte est considérée comme tolérance, il part de la côte du puits ou il fait embranchement avec les chemins n°1 et 3, et serait d’une grande utilité pour la commune si l’on pouvait le faire aboutir au chemin de halage de la rivière de Seine, mais des propriétés particulières interfèrent cette communication importante et s’opposent à l’achèvement de cette chaussée. Sa longueur est de 424 mères, sa largeur doit être de 5 mètres.
Le Conseil Municipal du 10 mai 1838 délibère pour obtenir un accès au chemin du hallage et à la Seine à travers la prairie qui empêche l’accès. Le Conseil Municipal du 4 septembre 1838 donne son accord du conseil pour traiter, avec le Comte Oscar de Bonneval, du terrain nécessaire à la prolongation de la chaussée vers la Seine. Lors du Conseil Municipal du 23 septembre 1839 il est fait état de la fin des travaux de la chaussée qui mène à la Seine, que la commune désirait depuis longtemps. Lors du Conseil Municipal du 15 février 1844 Pierre Lemoine est installé comme maire suite à sa nomination par le Préfet. Dans l’inventaire des objets communaux en possession de l’ancien maire Charles Dominique Mazier, il manque l’acte d’acquisition du terrain de la Chaussée.
Le Conseil Municipal du 19 août 1880 valide la cession à l’amiable à Monsieur le Marquis de Bonneval le fossé communal longeant son terrain, la parcelle de terrain vague de 76 centiares et la propriété et l’usage des saules sous la réserve expresse de les maintenir à perpétuité (le long du chemin n°51 entre la sortie du village et le chemin du hallage).
Le Conseil Municipal du 25 juin 2013 évoque l’aménagement de l’antenne de la piste Agglo vélo. Le revêtement de l’antenne est en sable concassé, la nouvelle largeur de route répond aux normes.
En décembre 2018, le curage des fossés et des travaux d’élagage le long de la chaussée allant de la Place Poullard au belvédère de la zone d’évitage, ont été fait à la demande des services de la Métropole par la société Seine Eure TP.
Le Décret portant renouvellement du classement du parc naturel régional des boucles de la Seine normande (région Haute-Normandie) est publié le 19 décembre 2013.
Panneau d’entrée dans le Parc d’Hautot-sur-Seine
Paris Normandie du 8 mai 2017 : Nouvelle signalétique au parc naturel régional des Boucles de la Seine Normande
Parc naturel régional : Le Parc naturel et les EPCI adhérentes procèdent depuis le mois de février à l’implantation d’une nouvelle signalétique. Les travaux doivent vraisemblablement s’achever au mois d’août. Le parc naturel régional (PNR) des Boucles de la Seine Normande a renouvelé sa charte de territoire en 2013. Et par là même, sa charte graphique. Jeudi, son président, Jean-Pierre Girod, entouré des représentants des établissements publics de coopération intercommunale (EPCI), présentait la nouvelle signalétique routière du PNR qui est aujourd’hui en cours d’installation dans les entrées des communes partenaires du parc. L’opération vise à mieux identifier le PNR et permet de « renforcer le sentiment d’appartenance envers un territoire exceptionnel ».
(Jean-Pierre Girod, ici photographié à la Maison du parc de Notre-Dame-de-Bliquetuit, posant fièrement avec l’un des 250 panneaux qui seront implantés sur le territoire du parc d’ici le mois d’août)
Implantation de 250 panneaux normés : « Nous avons bien identifié que les panneaux existants n’étaient pas conformes et n’étaient pas bien lisibles. De plus, est incorporé dans notre charte un règlement sur les publicités extérieures. À l’exemple de Duclair, qui a dernièrement fait retirer les panneaux illégaux présents dans la commune. C’était la moindre des choses en tant que PNR d’être dans les clous en termes d’affichage et de réglementation », indiquait Jean-Pierre Girod lors de la présentation du nouveau balisage. 250 panneaux seront ainsi implantés d’ici l’été. Un budget de 18 000 euros a été dédié à l’opération. Cette nouvelle signalétique, affichant fièrement « Commune du Parc naturel régional des Boucles de la Seine Normande », a été fabriquée conformément aux normes réglementaires (format et lieux d’implantation) et répond parfaitement aux exigences de la fédération des parcs naturels qui centralise les actions de 51 PNR que compte le territoire national, notamment sur les codes couleurs et typographiques. Aménagements et montage sur site des pancartes sont à la charge des EPCI partenaires. En local, 43 panneaux seront implantés sur le territoire de la Communauté d’agglomération Caux vallée de Seine ainsi que 16 panneaux sur la Communauté de communes de la région d’Yvetot. Vice-président du PNR en charge du tourisme et du golf de Jumièges Normandie, et représentant de la métropole Rouen-Normandie, Joël Temperton se félicite de ces acquisitions : « Dans le cadre de nos actions, cette nouvelle identification permet de mieux situer les activités touristiques du PNR dans sa communication générale par une mise en avant claire et précise des territoires concernés. »
Le Parc naturel en chiffres : Le Parc naturel régional des Boucles de la Seine Normande, anciennement Parc naturel régional de Brotonne, a été créé le 17 mai 1974. Il s’étend aujourd’hui sur 89 700 hectares et comprend trois villes « portes » : Yvetot, Pont-Audemer et Canteleu. Suite à la fusion de certaines communes décidée par la loi NOTRe, le Parc compte aujourd’hui 77 communes depuis le 1er janvier 2017. 103 000 se répartissent sur son territoire. Il compte une grande diversité de milieux naturels (forêts, marais) et un riche patrimoine bâti comme des châteaux, abbayes, chaumières, moulins et autres fours à pain. 52 salariés exercent au Parc. Le golf de Jumièges compte également 10 employés. Le nombre de visiteurs du parc est difficilement chiffrable. Notons néanmoins la venue, l’an passé, de 90 000 visiteurs à l’abbaye de Jumièges, 70 000 croisiéristes sur les rives de Caudebec-en-Caux et 4 000 personnes qui ont fait étape à la Maison du Parc. Son budget a été fixé à 3,8 millions d’euros pour l’exercice 2017.
Suite aux échecs répétés de montage d’opérations depuis 2016, ces panneaux sont retirés en 2018 et le paiement de la cotisation annuelle est suspendue : plantation d’un arbre par naissance faute d’une logistique communale adéquate, rénovation des balustrades du parc du château et création d’un arboretum, faute de moyens humains pour définir et écrire le projet positionné sur un financement européen (programme LEADER) et non réalisation de la réfection de la mare aux loups du bois communal faute de pérennité de l’environnement.
Le Conseil Municipal d’Hautot-sur Seine du 21 septembre 1817 délibère sur la réglementation de l’usage des prairies (vaine pâture) et du transport des bestiaux, la délibération est suivie de l’arrêté préfectoral. Cela concerne plus particulièrement les « Près d’Hautot » en bord de Seine.
Au Moyen Âge et sous l'Ancien Régime la vaine pâture est un droit d'usage qui permet de faire paître gratuitement son bétail en dehors de ses terres, dans les bords des chemins, les friches, les « terres vaines et vagues », les terres nues de leurs cultures, les bois de haute futaie, les taillis de plus de 4 ou 5 ans et, aussi sur l'ensemble des terres, après la récolte.
Les Conseils Municipaux des 12 septembre 1850, 10 novembre 1850 et du 8 décembre 1850 traite de l’ affaire de Mr de Bonneval pour le droit de passage datant de 1838 qu’exerce la commune sur une portion de terrain appartenant à ce propriétaire, pour accéder à la prairie commune.
Le Conseil Municipal du 10 juin 1867 délibère au sujet de la vaine pâture des prairies d’Hautot (
Photographies de Fernande Obselin (1909-1986) prises entre 1961 et 1981
Photographies de GEODEV de 2014
Flickriver: Most interesting photos from Hautot-sur-Seine, Upper Normandy, France
Flickriver - view images as a 'river of photos' and more...
http://flickriver.com/places/France/Upper+Normandy/Hautot-sur-Seine/